3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Abbé Zins »

Merci à celui qui m'a fait connaître cette réaction de soi salutaire quant au fond pour une large part ; sans approuver la part d'aveuglement sur l'usurpation des intrus, surtout vers la fin, d'autre part.
Le blog de Jeanne Smits


Eglises confinées : Mgr Viganò appelle à mettre fin au délire de toute-puissance de l'autorité civile

Posted: 30 Apr 2020 07:08 AM PDT
Dans un nouvel entretien revigorant avec le vaticaniste Marco Tosatti (publié en italien hier sur son blog Stilum curiae), Mgr Carlo Maria Viganò exprime une sainte colère face à la servilité de la Conférence des évêques d'Italie vis-à-vis des exigences du pouvoir qui interdit toujours les messes publiques dans le pays.

Il donne également des raisons possibles de la soumission de l'Eglise en Italie, et rappelle que les évêques ne sont pas les pions des conférences épiscopales, mais pasteurs et responsables dans leurs diocèses, notamment lorsqu'il s'agit de faire respecter les droits des fidèles à qui l'Eglise doit pouvoir donner les moyens du salut par les sacrements.

Il va plus loin, accusant les autorités de se servir abusivement de l'épidémie du coronavirus, en recourant à la tromperie à des fins dictatoriales.

Mgr Viganò déclare notamment : « Croyez-vous que, lorsqu’au Mexique ou en Espagne on a fermé les églises, interdit les processions, interdit l’usage de l’habit religieux en public, les choses ont commencé autrement ? Ne permettez pas que la liberté de l’Église soit entravée sous prétexte d’une supposée épidémie ! »

Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale (et non officielle) cet entretien, à l'heure où plusieurs évêques de France n'ont pas hésité à dire, d'une autre façon, mais également avec vigueur, leur colère devant la fermeture des messes aux fidèles. – J.S.


*

Marco Tosatti : Excellence, le dernier décret du Président Giuseppe Conte a déçu les espoirs de la Conférence des évêques d’Italie (CEI) et a prorogé le confinement des messes dans l’ensemble de l’Italie. Certains canonistes et des experts en droit concordataire ont émis de nombreuses réserves à propos du comportement du gouvernement. Qu’en pensez-vous ?

Mgr Carlo Maria Viganò : Le Concordat entre le Saint-Siège et l’État italien reconnaît à l’Église comme relevant de son droit « natif », la pleine liberté et autonomie dans le développement de son propre ministère, qui voit dans la célébration de la sainte messe et dans l’administration des sacrements l’expression sociale et publique qui lui est propre, dans laquelle aucune autorité ne peut interférer, fût-ce avec le consentement de l’Autorité ecclésiastique elle-même, qui n’est pas propriétaire mais administratrice de la grâce véhiculée par les sacrements.

La juridiction sur les lieux de culte appartient donc pleinement et exclusivement à l’Ordinaire du lieu, qui décide en toute autonomie, pour le bien des âmes confiées à ses soins pasteur, des offices qui y seront célébrés et par qui. Il n’appartient pas au Premier ministre d’autoriser l’accès aux églises, et encore moins de légiférer sur ce que les fidèles ou le ministre du culte peuvent ou ne peuvent pas faire.

En outre, les déclarations sont nombreuses qui, faisant autorité et émanant d’éminents juristes et magistrats – mais aussi de la Cour suprême – soulèvent des doutes quant à la légitimité de légiférer par le biais de décrets du président du Conseil, en violation des droits supérieurs dont la prévalence est garantie par la Constitution de la République italienne. Sans même parler de la religion catholique, qui bénéficie d’une protection particulière en vertu de son statut spécial, la suspension du droit à la liberté de culte qu’impliquent les décrets du Premier ministre est clairement illégitime, et j’espère qu’il se trouvera quelqu’un pour bien vouloir le déclarer officiellement, mettant ainsi fin à ce délire inconvenant de toute-puissance de l’autorité civile non seulement devant Dieu et son Église, mais aussi devant les fidèles et les citoyens.

De nombreux fidèles et de prêtres se sont sentis abandonnés et bien peu protégés par la conférence épiscopale et les évêques.

Il faut préciser, pour éviter tout malentendu, que la Conférence des évêques n’a aucune autorité sur les évêques, qui ont pleine juridiction dans leur propre diocèse, en union avec le Siège Apostolique. Et cela est d’autant plus important que nous avons compris à quel point la CEI est trop conciliante, voire inféodée vis à vis du gouvernement italien.

Les évêques ne doivent pas attendre qu’un organisme sans juridiction leur dise quoi faire : c’est à eux qu’il appartient de décider comment se comporter, avec prudence et sagesse, afin de garantir aux fidèles les sacrements et la célébration des messes. Et ils peuvent le faire sans avoir à demander l’autorisation de la CEI et encore moins de l’État, dont l’autorité va jusqu’à la porte de nos églises, mais qui doit s’arrêter là.

Il est inouï que la Conférence épiscopale italienne continue de tolérer de tels abus, qui portent atteinte au droit divin de l’Église, violent une loi de l’État et créent un précédent très grave. Je crois aussi que le communiqué publié dimanche dernier représente la preuve du consentement du sommet de l’épiscopat, non seulement aux moyens mais aussi aux fins que ce gouvernement propose.

Le silence servile de la CEI et de la quasi totalité des Ordinaires, témoigne d’une situation de subordination à l’État qui est sans précédent ; elle a été perçue à juste titre par les fidèles et les prêtres comme une sorte d’abandon à eux-mêmes : elle se manifeste de manière emblématique à travers les cas d’incursions scandaleuses des forces de l’ordre dans les églises, pendant la célébration de la messe pour couronner le tout, avec une arrogance sacrilège qui aurait dû provoquer une protestation immédiate et très ferme de la part de la Secrétairerie d’État. L’ambassadeur d’Italie près le Saint-Siège aurait dû être convoqué, pour lui présenter une vive note de protestation en raison la très grave violation du Concordat par le gouvernement, tout en se réservant de rappeler le Nonce apostolique en Italie, au cas où la mesure illégitime ne serait pas retirée.

Le cardinal Parolin, en tant que « sponsor » du président Conté, se trouve dans l’embarras, et dans une situation de conflit d’intérêts. Il semble évident qu’au lieu de protéger la souveraineté et la liberté de l’Église, par fidélité à sa haute fonction institutionnelle de Secrétaire d’État, le cardinal Parolin a honteusement préféré se ranger du côté de son ami juriste. Même les intérêts de ce qu’on appelle le bénévolat catholique ne pouvaient justifier un tel choix.

De quels intérêts parlez-vous ?

Je veux parler de la scandaleuse répartition des fonds publics destinés à l’accueil des immigrés clandestins, dont le pape Bergoglio et la CEI sont les principaux bénéficiaires et, en même temps, de vigoureux promoteurs. Il y a encore un autre conflit d’intérêts, qui fait de l’Église l’obligée de l’État ; il ne rend pas totalement illégitime le soupçon que les multiples silences de la CEI, y compris ceux dont nous avons été témoins durant ces mois de la supposée pandémie, sont motivés par la crainte de voir partir en fumée les revenus lucratifs de l’« hospitalité ». N’oublions pas que les fonds provenant du « 8 pour mille » se réduisent de plus en plus, ce qui confirme l’éloignement des fidèles italiens par rapport à une Église qui semble n’avoir d’autre objectif que de favoriser la substitution ethnique fortement souhaitée par l’élite mondialiste. Je crains que cette tendance ne se confirme dans les prochains mois, en réponse au silence des évêques.

Dans toute cette affaire, la position du pape François semble contradictoire : au départ, il a ordonné au cardinal-vicaire de fermer les églises de Rome avant que Conte ne publie le Décret ; puis il l’a mis dans l’embarras en le contredisant publiquement, et il les fait rouvrir. Il a encouragé les messes en ligne pour ensuite parler de gnose, incitant la CEI à prendre position contre le gouvernement ; mais pas plus tard qu’hier il a au contraire recommandé que les fidèles obéissent aux dispositions des décrets.

Bergoglio n’est pas étranger à ce genre de changement subit. Comme chacun se le rappellera, avant que n’éclate le scandale au sein de l’Ordre de Malte sur la distribution de préservatifs dans les hôpitaux, François avait écrit une lettre au cardinal patron, le cardinal Raymond Burke, dans laquelle il lui donnait des instructions très claires sur son devoir de veiller sur l’Ordre afin que la morale catholique y soit scrupuleusement respectée. Mais lorsque la nouvelle est devenue publique, il n’a pas hésité à désavouer Son Eminence. Il plaça l’Ordre sous commissaire et exigea la démission du Grand Maître et la réintégration du Conseiller qui avait été expulsé précisément parce qu’il était responsable de cette déplorable violation de la morale.

Dans le cas que vous avez rappelé, le cardinal-vicaire a cherché à défendre la justesse de son action, expliquant que l’ordre de fermer les églises avait été donné par Sa Sainteté. Dans l’affaire plus récente de la CEI, la déclaration publiée dimanche après-midi avait manifestement l’approbation de son président, le cardinal Bassetti, qui à son tour devait avoir consulté François. Il est déconcertant qu’en l’espace de quelques heures, la chaire de Sainte-Marthe désavoue la CEI en invitant les fidèles et les prêtres à obéir aux dispositions du gouvernement qui non seulement sont abusives, mais qui constituent une violation des consciences, au détriment du salut des âmes.

Personne n’a l’intention d’exposer les fidèles à une éventuelle contagion, en admettant sans pour autant le reconnaître qu’il s’agisse là une éventualité justifiant une telle crainte, mais la taille de nos églises et, malheureusement, le nombre si exigu des fidèles qui les fréquentent habituellement, permettent de respecter des distances de sécurité tant pour la prière individuelle que pour la célébration du saint sacrifice ou d’autres cérémonies. Il est évident que les législateurs zélés ne vont plus à l’église depuis longtemps...

N’oublions pas que les fidèles ont le droit, et pas seulement le devoir, d’assister à la messe, de se confesser, de recevoir les sacrements : c’est un droit qui leur vient du fait qu’ils sont des membres vivants du Corps mystique en vertu du baptême. Les pasteurs ont donc le devoir sacré – même au risque de leur santé et de leur vie même, si nécessaire – de respecter ce droit des fidèles, et pour cela ils doivent rendre compte à Dieu, et non au président de la conférence épiscopale italienne ni au président du Conseil.

Ces derniers jours, S.E. Mons. Giovanni d’Ercole a lancé un sévère avertissement à Conte et au « comité scientifique » dans lequel il a intimé : « Vous devez nous donner le droit de pratiquer le culte, sinon nous le reprendrons. » Des paroles fortes et courageuses qui semblent suggérer un certain réveil des consciences chez les pasteurs.

Monseigneur D’Ercole a parlé en vrai évêque, avec l’autorité qui vient du Christ. Comme lui, j’en suis sûr, il y a beaucoup d’autres pasteurs et prêtres qui se sentent responsables des âmes qui leur sont confiées. Mais ils sont si nombreux à rester silencieux, davantage pour ne pas provoquer un soulèvement des âmes que par peur. C’est précisément en ce temps de Pâques que la parabole évangélique du Bon Pasteur résonne dans la liturgie ; Jésus y évoque également les mercenaires qui ne se soucient pas du salut des brebis : ne rendons pas vain l’avertissement divin et l’exemple du Sauveur, qui donne sa vie pour les brebis !

Je me permets de m’adresser à mes confrères de l’épiscopat : croyez-vous que, lorsqu’au Mexique ou en Espagne on a fermé les églises, interdit les processions, interdit l’usage de l’habit religieux en public, les choses ont commencé autrement ? Ne permettez pas que la liberté de l’Église soit entravée sous prétexte d’une supposée épidémie ! Ne le permettez ni de la part de l’État, ni de la part de la CEI ! Le Seigneur vous demandera de rendre compte des âmes qui sont mortes sans les sacrements, des pécheurs qui n’ont pas pu se réconcilier avec Lui, d’avoir interdit aux fidèles, pour la première fois dans l’histoire depuis l’édit de Constantin, de célébrer dignement la Sainte fête de Pâques. Vos prêtres ne sont pas des timorés mais des témoins héroïques, et ils souffrent par les ordres arbitraires que vous leur donnez. Vos fidèles vous implorent : ne restez pas sourds à leur cri !

Voilà des paroles qui semblent inviter à la désobéissance vis-à-vis de l’autorité ecclésiastique, avant même la désobéissance aux autorités civiles.

L’obéissance est ordonnée à la Vérité et au Bien, sans quoi c’est de la servilité. Nous sommes arrivés à un tel affadissement des consciences que nous ne réalisons plus ce que signifie « témoigner de la Vérité » : croyez-vous que Notre Seigneur nous jugera pour avoir été obéissants à César, alors que cela signifie désobéir à Dieu ? Le chrétien n’est-il pas tenu à l’objection de conscience, même au travail, lorsque ce qui lui est demandé viole la loi divine ? Si notre Foi n’était fondée que sur l’obéissance, les Martyrs n’auraient même pas eu à affronter les tourments auxquels la loi civile les condamnait : il aurait suffi d’obéir et de brûler un grain d’encens devant la statue de l’Empereur.

Nous ne sommes pas encore, du moins en Italie, confrontés au choix crucial entre la vie et la mort ; mais on nous demande de choisir entre le devoir d’honorer Dieu et de l’adorer, et l’obéissance aux diktats des soi-disant experts, mille fois contredits par l’évidence des faits.

Je trouve paradoxal que dans cette tromperie, qui est désormais manifeste même pour les observateurs les plus modérés de ce qui se passe autour de nous, on impose au peuple de Dieu la tâche ingrate de devoir témoigner de sa propre Foi devant les loups, sans pouvoir avoir ses bergers à ses côtés. C’est pourquoi j’exhorte mes frères à reprendre fièrement leur rôle de guides, sans invoquer le prétexte du respect de normes illégitimes et déraisonnables. Je fais miennes les paroles de Mgr D’Ercole : « Nous n’avons pas besoin de faveurs de votre part : nous avons le droit de réclamer et ce droit doit être reconnu » !

Certains pourraient penser que vos propos sont source de division à un moment où il est facile d’exaspérer les âmes déjà si éprouvées des citoyens.

L’unité dans la foi et la charité se fonde sur le salut des âmes, et ne se fait pas à leur détriment : ni les « entretiens » de la CEI, ni les réunions papales souriantes avec le Premier ministre, à qui l’on a accordé une collaboration indulgente, révélatrice de connivence et de collaboration, ne suffisent. Proclamer la vérité est nécessairement « diviseur », car la vérité s’oppose à l’erreur, tout comme la lumière s’oppose à l’obscurité. Ainsi a dit le Seigneur : « Pensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais la division. » Lc. XII, 51.

En admettant sans pour autant le reconnaître que le coronavirus soit si virulent et si mortel qu’il justifie la ségrégation d’un peuple entier, voire du monde entier, eh bien : les sacrements et la messe ne sont-ils pas justement refusés aujourd’hui qu’ils sont justement les plus nécessaires au salut éternel ?

D’après tout ce que vous avez dit, Excellence, je crois saisir certaines de vos perplexités quant à la nature du coronavirus : est-ce mon impression ou croyez-vous – comme le disent de nombreux médecins – que quelqu’un a voulu profiter de la pandémie à d’autres fins ?

Ce n’est pas ici le lieu pour exprimer mes réserves sur la soi-disant « pandémie » : je crois que des scientifiques faisant autorité ont pu démontrer ce qui se passe réellement, et ce que les masses croient, à l’inverse, grâce à un contrôle minutieux de l’information qui n’hésite pas à recourir à la censure pour faire taire les voix de la dissidence. Il me semble cependant évident que le COVID-19 a fourni une excellente occasion – voulue ou non, nous le saurons bientôt – d’imposer à la population une restriction de la liberté qui n’a rien de démocratique, ni encore moins de bon.

Ce sont des preuves techniques de la dictature, où l’on programme le « tracking » des personnes sous prétexte de santé et d’une hypothétique future résurgence du virus. On pense pouvoir imposer un régime tyrannique dans lequel des personnes qui n’ont été élues par qui que ce soit prétendent déterminer ce qui est légal et ce qui ne l’est pas, le traitement à imposer et la punition à infliger à ceux qui veulent y échapper. Plus grave encore, tout cela se passe avec le soutien d’une partie de la Hiérarchie : s’ils nous avaient raconté il y a quelques années, nous ne l’aurions pas cru.

Une parole d’espoir, pour conclure ?

Il y a toujours une raison d’espérer, dès lors qu’on a un regard surnaturel. Tout d’abord, cette épidémie a fait tomber de nombreux masques : ceux des pouvoirs réels, des lobbies internationaux qui brevètent un virus et s’apprêtent également à breveter le vaccin, tout en faisant pression pour qu’il soit imposé à tous, dans un conflit d’intérêts criant. Au moins, nous savons maintenant qui ils sont et à quoi ils ressemblent.

Les masques de ceux qui se prêtent à cette farce sont également tombés, sonnant des alarmes injustifiées et semant la panique parmi la population, créant une crise non seulement sanitaire, mais aussi économique et politique aux dimensions mondiales. Ici aussi, nous savons qui ils sont et quel est leur plan.

Enfin est tombé le masque de l’anonymat de tant de bonnes gens. Nous avons pris conscience de ce que tant de générosité, d’abnégation, de bonté sont toujours là, malgré tout. Médecins, infirmières, prêtres et bénévoles, certainement ; mais aussi de nombreuses personnes sans visage et sans nom qui aident leurs voisins, qui apportent du réconfort à ceux qui souffrent, qui se réveillent de la torpeur et commencent à comprendre ce qui se passe autour d’eux. C’est un réveil du Bien, dont le Seigneur est sans aucun doute l’auteur. C’est Lui qui gouverne le destin de l’Église et du monde, et Il ne permettra pas au Mal de prévaloir.

N’oublions pas que – comme je l’ai rappelé récemment – Notre-Dame de Fatima a promis à Sœur Lucie qu’avant la fin des temps un Pape consacrerait la Russie à son Cœur Immaculé, et que ce geste d’obéissance serait suivi d’une période de paix. Remettons nous donc nous-mêmes, nos familles et notre chère Italie à la Très Sainte Vierge, sous son manteau, avec toute la confiance de notre foi en ses paroles.

Propos recueillis par Marco Tosatti



© leblogdejeannesmits pour la traduction.
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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Abbé Zins »

A titre d'information,

même si pour le moment il s'agit plus de rumeurs que d'une démonstration :


Les enfants en ligne de mire pour le vaccin

Un professeur en pharmacologie, toxicologie, agrégé de chimie thérapeutique et de pharmacocinétique nous révèle ce qui suit :

Le lobbying est en train d'être activé dans toutes les entreprises et dans les médias pour une vaccination de masse...
Deux composants de ce futur vaccin sont classifiés secret défense...
Un troisième et pas des moindres est le "squalène"...

COVID-19 veut dir Certificat Of Vaccination IDentity avec 19 1=a et 9=i pour AI=Intelligence Artificielle.

Ce n'est pas le nom du virus mais celui du Plan international d'asservissement et de réduction des populations élaboré depuis des dizaines d'années et lancé en janvier 2020 lors du dernier DAVOS.

(....)

Ne vous faites pas dépister, les tests ne sont pas fiables..

Les fabricants de tests le disent, aucun des tests ne peut détecter le virus Sras-Cov-2 mais seulement une infinitude de petits virus inoffensifs ou déchets de cellule qui font naturellement partie de notre microbiote.

Les gens testés apparaîtront de plus en plus positifs sur les tests, avoisinant les 90 %. C’est leur Objectif !

C’est pour cette raison qu’ils font sortir nos enfants en premier car ils ne peuvent pas encore imposer le test aux adultes.

En revanche, à compter du 11 Mai en France, sera imposé un dépistage massif dans toutes les écoles (700.000/semaine).

Chaque directeur d'établissement scolaire recevra sous peu l'obligation de la part du Rectorat d'imposer le test sans en informer au préalable les parents.

Une fois votre enfant dépisté, ils obligeront toute la famille proche et contacts à se faire dépister, reconfiner... (puis vacciner...).

Vous serez dans l'obligation d'accepter ce dépistage, sinon on vous enlèvera votre enfant; ceci apparaîtra entre les lignes dans cette Ordonnance envoyée dans chaque établissement scolaire.

Nous ne sommes pas malades, juste porteurs sains... Porteurs de tas de petits virus qui apparaîtront sur les tests comme positifs ...

Il ne leur manque que cela : "Faire croire au monde entier que le monde est malade".

Ils ont mis en place ce plan stratégique : PASSER PAR NOS ENFANTS.

Leur point d'attaque : nos enfants

Leur stratégie : le dépistage.

(....)

chartreux
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par chartreux »

La fameuse "étude européenne" que Macron et d'autres imposaient comme condition sine qua non de l'autorisation de la choloroquine, sera vraisemblablement avortée faute de participants et à cause de la lenteur procédurale de l'Union Européenne :
Le Parisien, 10 mai 2020 a écrit : (...)
l'étude devait porter sur 3200 malades soignés dans différents pays partenaires. Or, à ce jour, seul le Luxembourg a apporté une contribution avec… un seul patient intégré aux essais.
(...)
Il semble que ce soit les lourdeurs administratives liées au lancement d'une telle étude qui soient à l'origine du retard pris par nos voisins. « Il faut un accord du comité d'éthique national, un accord du ministère de la Santé, et ensuite il faut que la logistique suive… », énumérait récemment Thérèse Staub, cheffe du service des maladies infectieuses du centre hospitalier du Luxembourg
(...)
D'autres pays ont par ailleurs décidé de faire faux bond à la France et de privilégier d'autres études, parfois moins coûteuses ou contraignantes. L'Espagne et l'Italie ont par exemple choisi de rejoindre l'essai Solidarity, lancé par l'Organisation mondiale de la santé.
Lien vers l'article du Parisien
chartreux
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par chartreux »

Le Pr. Denis Rancourt nous démontre avec toutes les preuves scientifiques à l'appui que

1) Les masques sont inutiles (le filtrage qu'ils effectuent n'est pas assez fin)

2) Les "gestes barrière" sont inutiles par ce que la transmission ne se fait pas par contact mais par voie respiratoire : on attrape le virus en respirant de l'air contaminé, qu'on soit à 1,2, ou 10 mètres de la personne qui a expiré le virus

3) Enfin, des graphiques statistiques de mortalité toutes causes confondues montrent que l'épisode du Covid-19 ne se démarque pas par une mortalité plus grande que les autres années à la même période, mais par un pic plus aigu dans le temps et plus concentré dans l'espace, résultat non pas du virus lui-même mais de politiques résultant d'un "peur panique" en prévision d'une pandémie qui n'est jamais arrivée.


Lien vers la vidéo avec le Pr. Denis Rancourt
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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Abbé Zins »


Les diverses mesures qui se succèdent, dont la prochaine sur le "port obligatoire de masque dans tous les lieux publics en France à partir du 1er août", n'ont pour but que 1̊ de faire obéir de plus en plus, quel que soit ce qui est exigé (préparations des esprits à accepter une dictature ouverte) ; 2̊ de pousser les gens à l'exaspération, entre assignations à demeure et masque imposé, avant de leur dire que le seul moyen de se sortir de cela est d'accepter de se faire vacciner. C'est le but de tout ce qui précède. Vaccin avec nanopuce intégrée, ou autre système de repérage de qui est ou pas vacciné, avec interdiction d'accès à tout ce qui est public (travail, courses, soins, etc) à ceux qui ne le sont pas.

Il importe de s'habituer .. non à céder .. mais à .. résister autant que possible, et on peut plus qu’on ne croit par la résistance passive, en "traînant les pieds" au maximum, en protestant publiquement devants les injonctions indues, et en expliquant autour de soi ce qui se passe et où l'on cherche à nous mener. La "trouille" est contagieuse ; le courage moins, mais malgré tout, aussi.

COVID-19 - Remdesivir: permis de tuer. Hydroxychloroquine: interdiction de guérir

Dr Pascal Sacré
Mondialisation.ca
lun., 13 juil. 2020 11:48 UTC

Le combat du Remdesivir contre l'Hydroxychloroquine (HCQ), c'est un peu le symbole du combat de la médecine des revues, des institutions corrompues contre la médecine de terrain, celle des médecins généralistes, nombreux, qui sont au chevet des malades.

Le Remdesivir est une molécule coûteuse, propriété d'une compagnie pharmaceutique, Gilead. Dans la course au traitement miracle du COVID-19, Gilead essaie de remporter la palme car cela peut lui rapporter gros [1].

L'Hydroxychloroquine est une molécule libre de droit, passée dans le domaine public et très peu coûteuse. Autrement dit, bien que fabriqué au départ par une compagnie pharmaceutique, Sanofi, ce traitement ne rapportera rien à l'industrie et donc rien à tous les gens corrompus par elle.

Le combat du Remdesivir contre l'Hydroxychloroquine, c'est le symbole du combat de la médecine mensongère, la médecine des gros sous, contre la médecine factuelle, une médecine qui peut rapporter gros au malade (sa santé), sans rien coûter ou presque à la société.

On dit que l'Hydroxychloroquine (traitement défendu par le professeur Raoult à Marseilles, France, entre autres) est inefficace dans le COVID-19, voire dangereux [2].

C'est faux.

Suffisamment d'indices laissent à penser que l'Hydroxychloroquine, associée ou non à l'azythromycine et au zinc, est efficace pour inhiber la réplication virale du SRAS-CoV-2, avec un profil de sécurité tout à fait satisfaisant en particulier pour des médecins habitués et habilités à le prescrire. Ces molécules, la chloroquine et l'Hydroxychloroquine, sont connues depuis des dizaines d'années [3]. Voilà la vérité.

Inversement, on dit que le Remdesivir est efficace et sans danger particulier.

C'est faux.
Le Remdesivir peut engendrer insuffisance rénale sévère (nécessitant dialyse, greffe rénale), insuffisance hépatique (foie), mutation génétique, problèmes cardiaques allant jusqu'à l'arrêt cardiaque, entre autres [4]. Voilà la vérité.
D'un côté, le Lancet essaie de démolir l'hydroxychloroquine [5], de l'autre, le New England Journal of Medicine fait l'éloge du Remdesivir [6-7].

Dans un article précédent, j'ai écrit que ce que les anciens rédacteurs en chef de ces revues disent ce qu'il faut en penser : corruption et mensonges à tous les étages [8].

Pour tous les médecins intègres, les véritables scientifiques, le public, cela pourrait même devenir un critère de discernement :
quand une « grande » revue médicale encense un médicament, méfiez-vous ! Quand elle démolit un traitement, alors, vous feriez bien de vous y intéresser.
Remdesivir contre Hydroxychloroquine, c'est encore et toujours une histoire de gros sous.

La médecine, ce n'est plus que cela, à présent.

Le Remdesivir rapporterait 4500 dollars par traitement à Gilead [9].

L'hydroxychloroquine, même associé à l'Azithromycine, ne coûte que 10 euros par traitement et ne rapporte rien à l'industrie.

Au lieu de culpabiliser et de faire peur à tout le monde avec des chiffres de mortalité exagérés et des deuxièmes vagues qui n'existent pas, au lieu d'imposer des mesures aussi inefficaces que toxiques comme le port du masque partout pour tous, au lieu de faire croire aux gens que des médicaments efficaces et bon marchés sont dangereux et que des médicaments chers et dangereux sont la solution, au lieu de se prosterner devant la vaccination, Graal illusoire dans la lutte contre le COVID-19, voici ce que nos hautes autorités de santé devraient faire :
Prendre les conseils de scientifiques appelant à plus de calme et de réalisme sur le modèle du professeur John Ioannidis de Stanford
Observer et mesurer les faits réels, et non des modèles mathématiques statistiques
Ne pas confondre test RT-PCR positif et maladie COVID-19
Prévoir des mesures de protection drastiques seulement pour les personnes fragiles et à haut risque
Laisser circuler librement, sans masques, les personnes saines, en bonne santé et surtout, les jeunes et les enfants
Proposer à toute la population des prises en charge psychologiques adaptées pour gérer les états de stress post-traumatiques générés par les médias anxiogènes
Permettre à tous les médecins de première ligne de prescrire aux vrais malades du COVID-19, dès les premiers signes, l'association hydroxychloroquine-azythromycine-zinc, selon les modalités de sécurité bien établies depuis toutes ces années où ces médicaments sont prescrits dans leurs diverses indications
Ce n'est possible que si ces hautes autorités de santé ne sont pas corrompues par tout l'argent des compagnies pharmaceutiques telles que Gilead.

Pour le dernier point, numéro 6, le médecin généraliste bruxellois Éric Beeth et moi-même avons envoyé à tous les responsables concernés, ministre de la santé, membres du conseil COVID-19 au sein de SCIENSANO qui encadre le gouvernement dans la gestion de la crise, une lettre requérant la liberté pour tous les médecins belges de prescrire l'hydroxychloroquine dans le COVID-19 et surtout, la constitution au sein des pharmacies belges, d'un stock suffisant de ce médicament.

Nous attendons réponse.


Notes :

[1] Une brève histoire du remdésivir (GS-5734), 17 juin 2020, mise à jour le 25 juin 2020

[2] Hydroxychloroquine versus Remdesivir, 8 juillet 2020

[3] Hot Topic, Chloroquine for the 2019 novel coronavirus SARS-CoV-2, International Journal of Antimicrobial Agents, February 2020

[4] L'entreprise Gilead aurait-elle dissimulé la vraie toxicité du Veklury© (remdesivir) ?, 8 juillet 2020, « Il semble donc qu'au regard des éléments présentés précédemment, nous puissions fortement penser que le Veklury (remdesivir) est un médicament nocif et que ces éléments ont été dissimulés par Gilead. Nous pensons que l'opération de lobbying conduite dans les médias et certaines instances de santé publique afin de décrédibiliser l'hydroxychloroquine, spécifiquement en milieu hospitalier, avait vocation à faire du Velkury (remdesivir) la seule solution dans cette situation. »

[5] RETRACTED: Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19: a multinational registry analysis

[6] Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe Covid-19, NEJM 10 avril 2020

[7] Remdesivir for the Treatment of Covid-19 — Preliminary Report, NEJM 22 mai 2020

[8] COVID-19: le côté obscur de la science révélé, « Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse, affligée d'études avec des échantillons réduits, d'effets infimes, d'analyses préliminaires invalides, et de conflits d'intérêts* flagrants, avec l'obsession de suivre les tendances d'importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. »

[9] Remdésivir : une molécule d'intérêt thérapeutique très discutable sur le COVID-19

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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

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Le Pr. PERRONNE balance sur « les magouilles et les attaques dégueulasses contre Raoult » 591052 vues•2 juil. 2020 14'

Pr Perronne- "Ceux qui critiquent le protocole Raoult malgré les preuves sont achetés par les labos" 718082 vues•16 juin 2020 1h02


CDL42 - COVID19 - 30 questions pour ébranler les certitudes - Conversation du lundi #42 par Jean-Jacques Crèvecoeur 142 000+ vues 15/06/2020 46'
(Sans pour autant le recommander, lui qui par ailleurs n’hésite pas à cautionner de sa présence des pratiques “chamaniques”.)
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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Abbé Zins »


Devant l'accélération d'une part du matraquage médiatique, des mesures dictatoriales disproportionnées et inappropriées, voici un autre professeur dénonçant l'inutilité des masques :

Covid-19 : Les masques sont inutiles (Pr Denis Rancourt) 42'
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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Abbé Zins »


A titre d'information et de réflexion :


Le covid pour « reprogrammer » l’homme ?
16 Juil 2020 | Actualités, Premier plan

AM Valli propose une réflexion très longue mais essentielle d’un intellectuel catholique italien Massimo Viglione (*). Le COVID est bien autre chose qu’un ensemble de faits concrets désagréables qui perturbent notre quotidien mais qui ne laisseront pas de trace une fois la maladie bien gérée, plus, même qu’un événement historique, c’est L’ÉVÈNEMENT de ce début de siècle, qui changera à jamais non pas seulement notre vie, mais tout simplement l’homme, et sur lequel il est indispensable de méditer encore et encore si l’on veut comprendre la gravité de ce qui est en jeu… et comment résister.

(*) Selon sa notice wikipedia en italien qui est tout un programme :

Viglione est anti-vaccin, anti-européiste, il est contre la théorie du genre, « l’homosexualisme et le transsexualisme », « l’immigrationisme » (considéré, à tous points de vue, comme une invasion), le féminisme et le laïcisme « anti-chrétien » des institutions, autant de phénomènes qu’il attribue à un complot général maçonico-protestant contre l’Église catholique. Théorie que des historiens comme Paolo Mieli [ex-directeur de la Stampa et du Corriere, ndt] ont jugée infondée et à prouver.

Le vrai problème, la racine profonde de la tragédie actuelle, réside dans la grande masse indistincte de ceux qui ne veulent pas comprendre – pour diverses raisons : peur, désintérêt, paresse, pseudo-ruse, égoïsme, raisons psychologiques variées, erreurs intellectuelles obstinées, scrupules spirituels, ou autres – la réalité de ce qui se passe.

C’est, pour ceux qui comprennent, la blessure la plus douloureuse.


*

Massimo Viglione

Le Covid et après.
Untori (**) transhumains pour le nouvel ordre mondial?
(**) Expression idiomatique intraduisible: ceux qui étaient accusés de transmettre la peste, cf. I Promessi Sposi; ici, transmetteurs potentiels du Covid



Pr. Massimo Viglione
Le slogan adopté dans notre pays – que nous entendons répéter chaque jour depuis des mois un nombre incalculable de fois, partout, à partir des médias « de régime » – est en soi tout à fait juste : « Rien ne sera plus jamais comme avant! »

Mais dans quel sens? Et que cache réellement cette menace terroriste massive faite à la « hache » par l’élite du « pouvoir », que nous appellerons désormais le « pouvoir » du Léviathan?

Les déclarations récentes, empreintes de totalitarisme sanitaire, du gouverneur de Vénétie Luca Zaia, l’un des principaux représentants de l’opposition à l’actuel gouvernement de gauche en Italie [il est membre de la Ligue du Nord] , concernant l’obligation de traitement (Trattamento sanitario obbligatorio: TSO) pour ceux qui refusent de se soumettre aux contrôles et aux traitements, avec menace d’emprisonnement pour ceux qui expriment leur scepticisme quant au danger de Covid-19 (càd pour ceux qui ne sont pas d’accord avec le Léviathan) , ont suscité beaucoup de perplexité et de colère chez de nombreux électeurs de centre-droit .

Et ce qui est encore plus significatif, c’est que cette déclaration déconcertante a eu droit aux applaudissements du leader de la Ligue (et de l’opposition), Salvini, ainsi qu’à ceux du plus célèbre journaliste national, Bruno Vespa, incarnation vivante du modérantisme italien.

Tout cela alors que de plus en plus de gens sont reclus en quarantaine chez eux non pas parce qu’ils sont infectés, mais uniquement parce qu’ils sont accusés d’avoir été en contact avec des présumés infectés, et tandis qu’on craint les tests sérologiques et les prélèvements obligatoires systématiques, en particulier pour certaines catégories de travailleurs (avant le vaccin obligatoire pour toute la population).

Un peuple de malades ou d’untori [**].
En pratique, le virus – au-delà du discours sur son origine (sur laquelle peu de doutes subsistent) et sur sa gravité réelle plus ou moins grande – est devenu l’instrument pour transformer des dizaines de millions de personnes en bonne santé (les fameux « asymptomatiques »: les nouveaux untori) en malades et pour construire sur cette instrumentalisation indigne un totalitarisme effroyablement envahissant, qui envahit tous les domaines de la société humaine et la vie des individus. Et qui s’inscrit naturellement dans le contexte global du virus lui-même. Une des preuves les plus immédiates de ce qui vient d’être dit réside dans la volonté obstinée du Léviathan de faire croire que le virus persiste encore en été à 35 degrés – ce qui est déclaré improbable par de plus en plus de médecins et de virologues libres, et évidemment par les faits – et dans la menace persistante de nouvelles terribles pandémies à l’automne.

En un mot, vous êtes « dangereux » parce que vous êtes infecté (cas très rares), et vous êtes dangereux parce que vous êtes en bonne santé: les asymptomatiques, autrement dit toute la population. Nous sommes tous devenus un danger vivant pour tous, que nous soyons en bonne santé ou malades.

Résumer schématiquement les articulations fondamentales de cette dérive totalitaire, à travers laquelle se profile de plus en plus concrètement le danger de délit d’opinion, peut être utile pour mieux comprendre le mécanisme actuellement imposé par le Léviathan de la santé, antichambre évidente de la dernière phase du Nouvel Ordre Mondial.

La première étape: le « Confinement »
1) Pendant trois mois, soixante millions d’habitants ont été « confinés » dans leurs maisons, sur la base des critères du jacobinisme sanitaire, selon lesquels l’ensemble du Pays devait être bloqué de la même manière, même si la grande majorité de son territoire n’a pratiquement pas connu la mort par le Covid, tout au plus par la maladie, ou la mort de causes lointaines et graves, comme cela s’est toujours produit avec toute autre grippe du passé.

2) Le confinement a été imposé – pour la première fois dans l’histoire – avec l’utilisation de drones et d’hélicoptères, avec des amendes ponctuelles même pour ceux qui couraient seuls sur une plage déserte ou dans une forêt ou qui emmenaient un parent à l’hôpital, avec des messes interrompues, créant en fait une situation générale qui était perçue comme une sorte d’État policier.

3) On a mis en place des task force de virologues, de médecins et d’opérateurs de la haute finance internationale nommés sans consulter le Parlement, sans expliquer à quel titre les membres ont été nommés, qui opéraient en dérogation à toute règle de transparence et d’économie, mettant l’économie entre les mains d’un fonctionnaire de la haute finance qui vit à Londres [allusion à Vittorio Colao, ex-pdg de Vodaphone, chargé de la mise en place de la « phase II » du déconfinement, cf. Les imprésarios de la terreur], créant une situation de suspension de la démocratie et de la liberté en Italie.

4) Il est maintenant établi que le nombre quotidien de décès par Covid qui nous a été fourni était (et reste) largement erroné par excès, également parce que toutes sortes de décès ont été imputés au Covid (au point qu’il semble que depuis des mois en Italie, il n’y a plus eu de décès par cancer, crise cardiaque, accident, etc.) En outre, de nombreux spécialistes déclarent aujourd’hui que le Covid-19 n’est pas plus grave que d’autres épidémies du passé pour lesquelles rien de tel n’a jamais été fait; il est également établi que les task force de virologues ont commis des erreurs et continuent de se tromper dans leur traitement, voulant à tout prix le confier à un vaccin qui n’est pas encore arrivé et qui, surtout, quand il arrivera, ne servira à rien: cette accusation très grave est formulée par de nombreux virologues et médecins de renommée internationale. Enfin, il est également certain que depuis le mois de mars, de nombreux spécialistes, différents hôpitaux et instituts de recherche, avaient proposé des traitements médicaux qui se sont alors avérés efficaces, du moins dans certains cas, mais qui n’ont jamais été pris en compte par le gouvernement et les diverses task force gouvernementales. Et c’est un motif de profonde inquiétude pour les personnes qui sont encore libres et rationnelles.

5) Dans ce contexte, il y a eu une violation constante et répétée des exigences constitutionnelles (comme l’ont dénoncé certains constitutionnalistes), avec une suspension ou du moins une réduction dangereuse des droits garantis: la liberté de circulation, d’entreprise, de soins, d’éducation, de rassemblement, tant public que privé; et, avec la suspension du culte public, au point qu’il est impossible de ne pas poser sérieusement le problème de la violation des droits personnels et civils de l’homme garantis par la Constitution italienne et par tous les traités internationaux, ainsi que des idéaux de l’idéologie libérale-démocrate sur laquelle est fondée la République elle-même et avec elle tout l’Occident.

Deuxième étape comme conséquence: la peur, nouvelle « lutte des classes ».
Un des principaux signes du bouleversement actuel est celui de la division très profonde entre les personnes qui s’est créée ces derniers mois précisément en relation avec ces événements. Une division qui n’est plus idéologique, sociale, politique, raciale, religieuse, ou entre hommes et femmes, comme cela s’est toujours produit depuis que le pouvoir de la Révolution libérale et égalitaire a existé dans la société autrefois chrétienne, mais absolument au-dessus de toutes les catégorisations possibles toujours présentes de l’histoire des hommes et des sociétés. Nous sommes divisés face à la peur. Et c’est un facteur absolument individuel qui en tant que tel ne peut être catalogué.

C’est une division asymétrique, comme la Révolution d’aujourd’hui.

Nous avons en fait deux types de peur induite (qui introduit ensuite immanquablement la future « Terreur », dont nous avons déjà eu les symptômes en mars et avril), qui a provoqué une sorte de guerre civile totale dans tous les secteurs et dans toutes les structures humaines et civiles: on pourrait l’appeler la nouvelle « lutte des classes », par classes asymétriques. D’une part, les effrayés par le virus, donc obéissants au changement et en tant que tels, opposants aux dénonciateurs de la réalité et des conséquences en cours, et partisans à outrance des masques, gants, visières, bracelets sonores, distanciateurs sociaux, plexiglas, applis, vaccins etc ; d’autre part, les effrayés par le changement de réalité, mais qui sont aussi les seuls à vouloir réagir pour la liberté et le salut de tous.

L’histoire dira immanquablement laquelle des deux parties a compris la situation et, par conséquent, ce qu’il faut vraiment craindre et comment réagir au mal.

Cette peur est induite, comme l’enseigne l’histoire de la Révolution, et a produit une division pérenne. Une nouvelle division, que nous pouvons définir comme anthropologique, car elle détermine la vie et la façon d’être même de chaque homme: la révolution anthropologique a en fait déjà commencé dans les années 60 (quatrième révolution), mais elle semble maintenant avoir fait un saut de qualité impressionnant, au point d’apparaître comme le prélude d’un tournant historique.

En ce sens, comme nous le disions, la menace du TSO assume les contours d’un pas supplémentaire vers la Terreur de masse, surtout si elle est mise en avant par des politiciens de la majorité (le ministre [de la santé] Speranza) et en même temps par des politiciens de l’opposition, par des journalistes notoirement « modérés », ainsi que par des médecins « de régime« .

Mais pourquoi est-il nécessaire de créer cette peur, ou plutôt cette terreur?

L’objectif anthropologique: la monadisation
Pour pouvoir obtenir une nouvelle dimension humaine – anthropologique, formative (scolaire), professionnelle, économique, spirituelle, mentale – il est nécessaire de créer les conditions qui permettent l’acceptation passive en masse de cette nouvelle condition et la punition (partagée) des réfractaires au changement, comme cela s’est produit dans toutes les Révolutions de l’histoire.

Nous invitons ceux qui ont des doutes sur la volonté de créer cette nouvelle condition de la part de ceux qui gouvernent le monde – et l’Italie, y compris des secteurs de l’opposition – aujourd’hui, à réfléchir sur ces éléments.

1) On a établi sine die l' »interdiction de réunion » , ce qui est peut-être l’aspect le plus inquiétant du drame actuel, dans la mesure où elle a entraîné la suspension des droits démocratiques et constitutionnels, faisant des forces de police des sentinelles du peuple, sur la base de règles restrictives et répressives totalement génériques et, en tant que telles, entachées d’arbitraire et donc fortement interprétables. Ce n’est certes pas un hasard si les forces du Léviathan en Italie parlent depuis longtemps de déployer l’armée dans les rues à l’automne pour prévenir les soulèvements sociaux.
Cette interdiction [de réunion] est sous une certaine forme toujours en vigueur aujourd’hui, et a conditionné de manière décisive la psychologie de millions d’Italiens et leur vie quotidienne. En plus de provoquer la ruine économique de nombreux entrepreneurs et commerçants.

2) Le culte idolâtre du vaccin, un vaccin qu’une partie qualifiée (parfois très qualifiée, même à un niveau mondialement reconnu) des experts en la matière déclare inutile ou même nocif, produit directement ou indirectement sous l’égide de l’ancien patron de Microsoft Bill Gates, aujourd’hui reconverti en paladin de la « santé » (mais aussi de la réduction de la population mondiale: en pratique, le vaccin est produit par ceux qui veulent réduire la population mondiale), figure capable de déterminer les politiques de l’OMS, qui apparaît comme une sorte d' »actionnaire majoritaire », et pour beaucoup comme le grand architecte de tout ce qui se passe. Et, malgré cela, le gouvernement italien continue à soutenir et même à payer avec des chiffres astronomiques les plans de Gates et de l’OMS, sans même avoir vu le vaccin lui-même.

3) Les enfants sont reclus à l’intérieur de la maison depuis des mois et il leur est interdit de sortir avec leurs parents, de courir dans les parcs, de profiter des jeux publics, de recevoir la lumière du soleil, si bonne pour leur santé (et pas seulement celle des enfants), y compris en réponse au virus. Et le pire reste la perspective d’une future scolarisation, soutenue une fois de plus par la peur induite par un retour du virus à l’automne: il faudra rester à l’école par petits groupes puis à tour de rôle, tandis que les autres devront continuer à suivre les enseignements depuis chez eux. Les enfants devront être séparés les uns des autres par du plexiglas, porter des masques tout le temps (c’est démentiel!), peut-être même des gants, et on redoute un bracelet sonore qui avertit lorsqu’un enfant s’approche trop près. Ils ne pourront plus courir et jouer ensemble, ils ne pourront plus se parler, s’amuser, se disputer, apprendre à se connaître et apprendre la vie elle-même dans ce monde, mais seulement se craindre (et peut-être seront-ils éduqués à la délation, une tendance déjà présente à cet âge). L' »autre » devient un ennemi à craindre dès la plus tendre enfance. Il est évident que tout cela va créer une peur innée dans la psyché des mineurs, déterminant à jamais leur personnalité en négatif et créant des hommes faibles et soumis au pouvoir plus que nous, les adultes, ne le sommes déjà maintenant.

Et si un écolier a de la fièvre, la classe sera mise en quarantaine, y compris l’enseignant, et l’enfant sera emmené par le 118, puis retiré aux parents. Certaines municipalités ont fait connaître leur intention d’organiser des tests sérologiques périodiques (voire mensuels) sur les enfants et les enseignants. Nous sommes au bord du totalitarisme de masse le plus terrifiant.

4) Et n’oublions pas non plus la solitude à laquelle ont été condamnés des millions de personnes, soudainement enfermées dans leurs maisons, dont la vie a été brisée à bien des égards. Même du point de vue professionnel, avec l’institution forcée, prolongée et totalitaire du « smartworking » à domicile, qui sépare les travailleurs les uns des autres pendant des mois, voire des années, les enfermant à l’intérieur, séparés de la réalité et donc énormément affaiblis socialement et économiquement.

5) En ce sens, comment ne pas avoir le soupçon que le fameux « revenu de citoyenneté », tant désiré par cette force politique qu’est le parti majoritaire de l’actuel gouvernement (« 5 étoiles« ), n’a pas été préparatoire à la volonté d’enfermer les travailleurs et aussi les non-travailleurs, les enfants et les étudiants, à l’intérieur de la maison, afin de créer une humanité d’oisifs, reprogrammée mentalement et psychologiquement pour les maintenir hors du travail à des niveaux de pauvreté et de misère, et « abrutis » sur internet, éduqués par internet à l’acceptation passive de leur nouvelle condition? Bref, nous trouvons une belle coïncidence dans le fait que deux personnages certainement liés au Léviathan comme Casaleggio [cofondateur du mouvement 5 étoiles avec Beppe Grillo] et Grillo aient voulu à tout prix le revenu de citoyenneté à la veille du confinement et de l’abolition de l’argent liquide, éléments dévastateurs qui favorisent grandement la formation d’un peuple d’isolés, pauvres, sans liquidités, incapables de produire du travail et de la richesse, contrôlés, socialement soumis au chantage et obéissants hébétés, qui pour un plat de lentilles vendent leur dignité personnelle et donc leur propre dignité humaine.

C’est une véritable « monadisation » de l’être humain et une « reprogrammation » de l’enfant, dont, une fois de plus, l’avènement du virus apparaît comme un génial dédouanement.

Une catastrophe humanitaire subtile, invisible, mais cruellement réelle, comme jamais auparavant.

Vers la transhumanisation

Tout ce qui a été dit jusqu’à présent, évalué dans son ensemble, ne peut nous exonérer du soupçon que les véritables intentions de cet immense oeuvre de subversion en cours depuis la fin du mois de février, au niveau mondial et en particulier italien, sont une reprogrammation de la vie des gens selon des schémas idéologiques qui ouvrent la voie à la transhumanisation, phase nécessaire à l’acceptation complète du Nouvel Ordre Mondial et de son futur maître, dont on parle déjà dans divers forums, financiers, politiques, éditoriaux.

Autrement dit, il est impossible de ne pas voir dans tout cela, un désir réel de modification anthropologique de la vie quotidienne de l’homme, et de l’homme lui-même en tant qu’homme. La question est d’une immense importante, et mérite évidemment des études spéciales. En quelques lignes, nous ne pouvons que rappeler certains facteurs et les conséquences inévitables.

1) L’imposition du télé-travail de masse est en fait en train de subvertir le monde et le système de travail humain, en créant les conditions d’une mutation perpétuelle du travail lui-même, qui prélude à celle de l’homme lui-même en tant qu’homme. En particulier, cette situation rendra inutile une masse d’emplois et de travailleurs, qui se retrouveront inévitablement au chômage et donc sujets à n’importe quel chantage pour avoir de quoi se nourrir. Dans la pratique, nous nous dirigeons vers une population d’automates isolés à la maison et contrôlés en permanence au travail et dans la vie personnelle, et soumis à un chantage économique permanent.

2) Peut-on considérer comme totalement accidentel qu’en même temps que s’impose partout le « smartworking » solitaire à domicile, on déclare vouloir abolir progressivement l’argent liquide? En d’autres termes, la révolution la plus traumatisante jamais conçue par l’esprit humain, après les révolutions anthropologiques sur la sexualité polyforme?

3) Et l’on parle déjà de l’arrivée du « passeport sanitaire » et du « tatouage quantique » anti-Covid, prélude clair à la micropuce insérée dans le corps humain, sans laquelle il ne sera pas possible d’acheter, de vendre, d’agir, de voyager, etc.

4) En outre, au-delà de l’appli « Immuni » [Stop covid, en France, ndt] (qui, peut-être, est déjà dépassée, car des perspectives plus avancées se rapprochent), tout le discours de la 5G se matérialise, qui permettra la domination absolue sur nous à distance, voire la reconnaissance faciale et la direction de nos déplacements en voiture, outre, apparemment, la « cure » à distance de nos « pathologies » présumées. On est bien loin du complotisme! C’est une image de terreur scientiste, autrefois de science-fiction. A tel point que l’on se demande si le conspirateur ne nie pas la réalité pour ce qu’elle est.

5) Mais ce n’est pas encore suffisant, pour ceux qui ne sont pas encore convaincus. Pour la première fois, nous avons pu voir à l’œuvre, dans certaines régions hyper-technologiques d’Asie, l’utilisation de la robotique pour contrôler les êtres humains. Toujours sous l’excuse du virus, en Indonésie et ailleurs, de monstrueux robots en forme d’animaux ont été mis en circulation, parcourant rapidement les rues et les jardins publics pour éviter les « rassemblements », terrorisant les mères et les enfants. Il va sans dire que ce qui se trouve aujourd’hui sur la voie publique peut être imposé demain dans les maisons privées. Ce qui aujourd’hui se limite à l’espionnage, demain pourrait aussi « punir ».

Comment ne pas penser que nous sommes face à la subversion anthropologique la plus radicale et la plus monstrueuse jamais conçue, surtout si l’on tient compte également des aspects totalitaires contemporains liés à la sphère morale (sexisme et homophobie) ? Et maintenant, nous en arrivons à cet autre aspect effrayant.

6) Pendant ce temps, le gouvernement italien veut faire passer une loi liberticide aux implications follement totalitaires comme la loi Zan-Scalfarotto qui, sous l’excuse habituelle de vouloir combattre l’homophobie inexistante et inventée, prévoit la prison pour ceux qui s’obstinent à dire que les enfants naissent de père et de mère, qu’ils naissent garçons ou filles, ou qui parlent encore de famille naturelle.

7) Ce n’est certainement pas une coïncidence si nous commençons à parler aussi de la nouvelle « éducation sexuelle » à l’ère du Covid… Même le sexe – qui évidemment se fait en privé -, il faudra l’espionner et le reprogrammer, peut-être avec l’utilisation de drones-insectes dans les maisons (ils existent déjà).

8) Comme si cela ne suffisait pas, les « 5 étoiles » ont également proposé la libéralisation du cannabis. Il est superflu de rappeler comment la drogue obscurcit l’esprit et écrase la volonté: bref, fait de parfaits esclaves du pouvoir.

Comme chacun peut l’évaluer, toutes ces mesures dissolutives, d’ordre moral, n’ont aucun lien avec le Covid-19, mais elles sont présentées comme absolument nécessaires à l’heure actuelle, et donc imposées précisément en raison de la situation générale créée par Covid-19.

Il est impossible de ne pas voir, que nous nous trouvons, en somme, au début de la mise en œuvre d’une véritable « reprogrammation » anthropologique, réalisée avec de nombreux instruments : juridiques, policiers, économiques, a-moraux, éducatifs, médico-sanitaires, informatiques, militaires, robotiques. Le tout soutenu par la « peur » d’un virus qui n’aurait pas pu être plus providentiel, au point qu’il semble que nos dirigeants espèrent qu’il ne finira jamais. Et en fait, ils ne l’ont jamais laissé se terminer: on apprend aujourd’hui la volonté prévisible du gouvernement de prolonger l’état d’urgence jusqu’à la fin de l’année. Cela va de soi pour la raison évidente que c’est précisément sur le virus que ce gouvernement est en train de réaliser la perspective décrite jusqu’à présent.

Le « ministère de la vérité », comme dans tout totalitarisme qui se respecte
Pour conclure ce tableau, mentionnons enfin l’aspect le plus subtil mais le plus toxique et donc le plus inquiétant, confirmation supplémentaire de tout ce qui précède. Celui du lavage de cerveau massif typique effectué depuis des mois par les médias.

Depuis des mois, le peuple italien est bombardé, des dizaines de fois par jour, par toutes les chaînes de télévision, par l’épuisante invitation à ne faire confiance qu’aux « professionnels de l’information », c’est-à-dire à eux-mêmes : leurs programmes d’information, leurs talk-shows, leurs journalistes et commentateurs, qui chaque soir répétaient en masse les mêmes slogans à inculquer dans la tête de soixante millions d’Italiens, qui créaient – comme toujours – des mots « talisman » à répéter de façon obsessionnelle pour changer la façon de penser du peuple (exemples: « foyer », « asymptomatique », etc.), sans hésiter à montrer des ambulances avec gyrophares et sirènes pour épouvanter (en même temps que l’instrumentalisation d’images de cercueils vides et de camions remplis de morts, qui se sont ensuite révélées « fausses »), pour créer la peur, la solitude, la haine mutuelle, la « lutte des classes » sanitaire.

En pratique, ceux qui ont gouverné durant ces mois ont en réalité établi une sorte de « ministère de la vérité » virtuel, organe typique des dictatures du XXe siècle, basé sur la peur de masse induite.

C’est une confirmation incontestable de ce qui a été dit jusqu’à présent.

Autres questions à examiner

Nous devrions maintenant ouvrir d’autres scénarios sur cet évènement. Qu’il suffise de penser:

à tous les discours sur la ruine économique – tant sur le plan entrepreneurial que familial et personnel ;
à l’incapacité absolue de ce gouvernement, esclave de l’UE – une institution qui s’est avérée être une fois de plus l’ennemi absolu et incontournable de l’Italie – et de la finance internationale, à faire face à ces exigences;
au contexte international dans lequel la crise mondiale du Covid-19 s’est abattue sur nous : c’est-à-dire les élections présidentielles américaines en premier lieu, avec le rôle très particulier de défenseur de la liberté humaine et des peuples que Donald Trump assume avec sa guerre historique contre le Deep State américain et international avec les « pouvoirs forts » qui instrumentalisent des révoltes raciales d’abord et le mouvement des destructeurs de statues ensuite (et qui sait ce qu’ils feront encore jusqu’en novembre…) ;
à la question du mouvement internationaliste qui démolit des statues et des monuments, prélude à l’élimination physique des églises et des chrétiens, et en même temps à la destruction de la mémoire, nécessaire à la reprogrammation transhumaine.
à tout le discours de l’Église catholique, à la situation de ruine de l’Église italienne, dont la hiérarchie a montré ici aussi son incapacité absolue à être pasteurs; mais, en même temps, à l’espoir d’une lumière nouvelle fondée sur une prise de conscience sérieuse de l’échec historique de l’Église conciliaire, comme le démontre une figure comme Mgr Viganò.
Enfin, nous devrions et nous voudrions également donner quelques réponses à ce que nous pensons être des interprétations erronées de l’actualité, fournies – parfois de manière déconcertante (et dans certains cas inquiétante) – même par certains représentants du monde catholique liés à la Tradition, plus préoccupés par le virus, ou par leurs propres interprétations du virus, ou par le fait de ne pas passer pour « complotistes », que par la compréhension de la réalité des choses telle qu’elle apparaît en plein jour [allusion à la querelle autour de Vatican II, Vigano versus « les autres », ndt ].
Et sans oublier, en même temps, toutes les raisons d’espérer, que chaque chrétien doit cultiver dans son cœur. Parce qu’il y a toujours de l’espoir, quand on est du côté du Bien et de Dieu.
Mais nous parlerons de tout cela dans un prochain article.

Pour l’instant, ce qui nous intéressait, c’était de dénoncer la dérive totalitaire de plus en plus évidente qui se produit en Italie, qui s’amplifie de jour en jour malgré le fait que nous soyons en été et sans aucune présence sérieuse de danger mortel dû au virus. L’Italie est certainement le pays choisi par les forces de la Révolution gnostique, mondialiste et synarchique pour l’initiation de la phase de transition vers le transhumanisme, prélude au Nouvel Ordre Mondial. Le comportement de l’ensemble de la scène politique italien en est la preuve concrète.

L’avenir des Italiens, comme celui de l’humanité tout entière, est entre les mains de Dieu et dans l’action des quelques personnes libres qui ne s’agenouillent pas devant le Seigneur du Nouvel Ordre Mondial. Dénoncer peut servir à faire comprendre, et c’est la première condition pour que les gens libres et rationnels se lèvent et réagissent.

Le vrai problème, la racine profonde de la tragédie actuelle, réside dans la grande masse indistincte de ceux qui ne veulent pas comprendre – pour diverses raisons : peur, désintérêt, paresse, pseudo-ruse, égoïsme, raisons psychologiques variées, erreurs intellectuelles obstinées, scrupules spirituels, ou autres – la réalité de ce qui se passe.

C’est, pour ceux qui comprennent, la blessure la plus douloureuse.

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Abbé Zins
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Abbé Zins »


A titre d'information et de réflexion :

(Merci à qui me l'a indiqué.)


La muselière, marche-pied de la « solution finale » de Bill Gates
Publié le 23 juillet 2020 par la Mésange

Voici un article intéressant du blog Leohohmann.com, dont je traduis de larges passages.

Je n’ai supprimé que quelques phrases s’adressant exclusivement aux Nord-américains et ne pouvant être adaptées aux Européens.

Le lien vers l’article original en anglais se trouve à la toute fin du texte.

J’adhère totalement à tout ce qu’écrit ici ce journaliste indépendant extrêmement lucide.



La politisation des masques faciaux devient chaque jour de plus en plus évidente, excluant ceux qui n’en portent pas des magasins et des bureaux et les jetant de côté comme des dommages collatéraux destinés à la poubelle.

Nous ne devrions pas en être surpris.

Bill Gates nous a informés dès le début de la pandémie que nous ne serions pas autorisés à «revenir à la normale tant que le monde entier ne serait pas vacciné». Des reporters en adoration ont rapporté ses propos comme s’ils parlaient à Dieu lui-même.

Maintenant, ils imposent le masque pour s’assurer que la prophétie de leur dieu se réalise. Aucune normalité autorisée. Le vaccin n’est pas encore prêt!

Le masque est un signe de peur, de soumission et d’obéissance à la sur-réaction hystérique orchestrée par les media face à ce virus sous l’emprise des gouvernements et des lobbies. Ce virus n’est en fait pas plus mortel que la grippe saisonnière et beaucoup moins chez les enfants.

C’est une maladie très gérable, avec un taux de guérison de 99,7 %. Mais, quand vous voyez des masques partout, il est facile de croire que le pays qui a envoyé des hommes sur la lune ne peut même pas maîtriser cet ennemi invisible.

Si vous acceptez le décret sur le masque, grand bien vous fasse, c’est votre décision. Mais ne soyez pas naïf et réfléchissez une minute : le masque obligatoire ne fait-il pas partie d’un programme plus vaste comprenant la vaccination obligatoire – ce que Gates a appelé sa «solution finale» – ?

Et si vous croyez que ce sera seulement une autre de ces nombreuses «vaccinations normales», vous errez. Big Pharma n’a jamais développé un vaccin efficace contre un coronavirus [dont l’un est le rhume banal].

REPORT THIS AD

Ainsi, non seulement ils développent quelque chose de complètement nouveau, mais ils précipitent sa mise sur le marché.

Il est clair que le masque de la honte fait partie de la course pour le prochain vaccin, qui a été accélérée par l’opération « Warp Speed » du président Trump.

Le président Trump nous a assuré que le vaccin ne serait pas obligatoire.

Mais qui peut prendre cela au sérieux, qui est éveillé et voit comment les maires, les gouverneurs et les lobbies se comportent concernant le masque ?

Je vis en Géorgie, où le gouverneur Brian Kemp n’a pas rendu le masque obligatoire. Et pourtant, il devient très difficile de trouver une épicerie dans laquelle vous pouvez entrer sans masque. Nous les non-masqués avons été réduits au Dollar Général [une grande surface alimentaire des USA accessible sans muselière – N.d.l. M.], aux marchés à ciel ouvert et aux kiosques à fruits.

Pourquoi donc? Le gouvernement n’impose pas cela en Géorgie, alors qui l’impose ?

Ce qui se passe est un autre exemple dans lequel notre camp a été dépassé et organisé par la gauche.

J’ai été en contact avec des amis dans l’industrie de l’épicerie et ils me disent qu’ils sont bombardés quotidiennement d’appels et de plaintes personnelles de gens essayant de les intimider et exigeant le port du masque pour chaque client de leurs magasins.

Notre camp, celui des personnes qui croient encore que notre santé et notre façon de nous vêtir sont des décisions personnelles, reste largement silencieux.

Parce que les conservateurs ont tendance à accorder une plus grande valeur à la liberté individuelle, la grande majorité des pleurnichards qui téléphonent et vilipendent les directeurs de magasin pour ne pas avoir renu les masques obligatoires sont des démocrates.

Ceux qui s’en prennent aux personnes ne portant pas de masque dans les allées des magasins et les admonestent; sont pour la plupart des démocrates. C’est parce que les démocrates sont des collectivistes. ls ne voient pas les gens comme des individus créés à l’image de Dieu et capables de prendre leurs propres décisions.

Les conservateurs, même ceux qui portent des masques, ne souhaitent probablement pas en faire un crime pour ceux qui n’en portent pas. C’est ainsi que nous sommes. Mais le gauchiste est toujours intolérante envers les opinions opposées aux siennes et habile à utiliser des tactiques coercitives. Par conséquent, ils ont monté une campagne Twitter pour faire honte à toute entreprise n’imposant pas les masques, tout en bombardant ces entreprises de coups de téléphone, de courriels et de visites d’une grande agressivité. Certains ont même menacé ces entreprises de poursuites judiciaires si elles ne se pliaient pas à leurs demandes !



L’idée de fond des démocrates et de leurs laquais-media aux ordres est de créer suffisamment de panique pour que les gouverneurs fassent marche arrière et ré-enferment les citoyens dans leurs maisons, afin que l’économie s’écroule avant les élections du 3 novembre : ils imputeront ensuite le carnage à Trump.

Tout le monde sait cela. Alors pourquoi les aidons-nous à fomenter leur fausse panique en portant des masques ?

Si nous ne pouvons pas rivaliser avec la gauche en matière d’organisation, nous devons honnêtement évaluer nos options pour l’avenir. Nous pouvons maintenant nous voir refuser l’accès aux services en raison de notre vêtement et parce que nous refusons de suivre le troupeau mené par les media.

Et quand le troupeau mené par les media se précipite sur les diktats du savant fou, copain de Bill Gates, Anthony Fauci, qui s’est trompé sur chaque détail même de ce virus, nous nous retrouvons rapidement relégués au statut d’humains de deuxième classe.

Le seul moyen de survivre dans la «nouvelle normalité» de Gates sera de développer un réseau de fournisseurs de services qui travaillent en dehors du réseau de surveillance de Big Brother. Ce seront des mères et père de famille, des personnes individuelles. Il est maintenant temps de les rechercher. Médecins, dentistes, bouchers, producteurs de fruits, petites fermes vendant des œufs sur place..

Beaucoup devront accepter les espèces car le’argent physique est progressivement éliminé au profit de l’argent numérique. Finalement, nous devrons faire du troc une fois que l’argent physique aura disparu.

Vous pouvez encore trouver quelques chaînes qui permettentd’entrer dans leurs magasins sans masque. Certains ont commencé à vous demander de vous couvrir le visage, mais si vous leur dites que vous avez un problème de santé qui rend le port de masque intenable, ils vous laissent entrer. D’autres, comme Kroger, ont annoncé qu’ils n’accorderaient aucune exception : pas de masque, pas d’achat possible. Ils vous disent d’acheter par correspondance ou d’arrêter d’acheter chez eux. Je suis heureux de les satisfaire : exit Kroger.

Rien de tout cela n’est rationnel : chasser des clients qui ont dépensé des centaines de dollars dans des magasins comme Kroger ! La grippe a toujours constitué une menace (de contagion) dans les lieux fermés. Imposait-on le masque pour autant ?

[…]

Le contraire de « suivre » est de « résister ». Je ne vois pas beaucoup de résistance en ce moment en Amérique. Après chaque nouvelle histoire bizarre de Conservateurs victimes de discrimination, après chaque nouveau commerçant annonçant «pas de masque, pas de service aux clients», on peut entendre entendre un bâillement collectif.

Un immigrant chinois qui avait immigré en Amérique dans son enfance et qui est maintenant étudiant à l’Université Fordham de New York, Austin Tong, a publié une image sur Instagram le mois dernier à la mémoire du 31ème anniversaire du massacre de la place Tiananmen par le Parti communiste chinois. L’université a mis Tong en « probation », l’a banni du campus et lui a demandé de suivre une « formation de sensibilisation », rapporte WND.
Cisco Systems a licencié des dizaines d’employés qui ont critiqué Black Lives Matter lors d’une réunion en ligne à l’échelle de l’entreprise, a rapporté Zero Hedge.
Les entreprises américaines s’empressent de soumettre leurs employés à des séminaires de «justice raciale» dans lesquels ils sont forcés de reconnaître leur «blancheur» et leur «préjugé implicite», admettant en fait… qu’ils sont racistes.
La ville de Seattle, dans sa volonté de démanteler la police de 50%, envisage de ne renvoyer que des officiers blancs, rapporte WND.

On nous a déjà donné un aperçu de ce à quoi ressemblera la nouvelle Amérique :

Un endroit où la vie humaine est réduite à un numéro, sans nom, sans visage et portant un masque, et où les gens sont licenciés ou victimes de discrimination en raison de la couleur de leur peau. Restez ici. Ne restez pas là. Ne posez pas de questions. Faites ce qu’on vous dit ou affrontez la colère de la foule!

Un endroit où la vie de chacun se déroule sur un mode pilote automatique. Personne n’ose demander qui est chargé de diriger le navire, car cela pourrait signifier perdre son emploi. Ceux qui persistent à penser par eux-mêmes, à poser des questions, à mettre en lumière les mensonges et les doubles mesures, à dénoncer les lignes de « distanciations » tracées au sol et les mandats [l’auteur écrit « mandates », il veut peut-être désigner les « décrets » liberticides liés au « covid19 » publiés chaque jour pour asservir un peu plus le citoyen ? N.d.l.M] , sont désignés comme l’ennemi.

Ceci est l’esprit de l’Antéchrist qui se referme autour de nous. Certains laisseront cet esprit noyer l’Esprit de Dieu dans leur vie. C’est ce à quoi Jésus faisait référence lorsqu’il a dit dans les derniers jours, à cause de l’extrême violence et de l’anarchie, «l’amour de beaucoup se refroidira».

N’oubliez pas que l’Antéchrist n’a pas besoin de votre conversion. Il n’a besoin que de votre obéissance.

[…]

Dans la série télévisée britannique des années 1960, The Prisoner, il y a une phrase prémonitoire : «Vous n’avez que peu de temps pour leur donner ce qu’ils veulent, avant qu’ils ne vous le prennent. (L’arrivée, épisode I, série le prisonnier)

Vous ne pouvez résister qu’un temps avant de réaliser que vous avez été mis échec et mat. A la fin, vous devenez ou un criminel ou un malade mental. C’est ce qui est arrivé aux dissidents dans l’ancienne Union soviétique.

D’abord, ils effacent votre histoire nationale, vandalisent et brûlent les églises.

Une nation qui perd le contact avec son passé est incapable de calibrer son présent ou son avenir. Ils sont laissés confus, étourdis, divisés, démoralisés et sans stratégie cohérente pour riposter.

Le modèle pour les Gates, Fauci, Soros, Buffet, Bezos, Zuckerburg, les Rockefeller et le reste des technocrates est un État de surveillance totale à la chinoise. Dans leur monde idéal, votre capacité à fonctionner dans la société sera déterminée par une norme de «crédit social» définissant votre valeur en tant qu’être humain en fonction de votre degré d’obéissance aux normes sociales en vigueur. Toutes les attitudes, valeurs, croyances ou opinions ne figurant pas sur la liste approuvée seront étiquetées comme discours de haine.

Les coupables de crimes de pensée ne seront pas autorisés à travailler, acheter ou vendre dans le nouveau système de l’Antéchrist créé par des marxistes et des technocrates purs et durs dans notre gouvernement, nos églises, nos écoles et nos conseils d’administration.

Tout cela se met en place maintenant, grâce au « masquage » forcé de l’Amérique. Si vous ne le voyez pas, c’est que vous faites preuve d’inattention !

Ceux d’entre nous qui sont « coupables de mal penser » ne seront autorisés à entrer dans aucun magasin, se verront refuser un traitement dans des établissements de santé publics ou privés, ne seront pas autorisés à prendre l’avion ou à assister à un événement sportif, à entrer dans une salle de réunion, etc. Vous deviendrez effectivement une non-personne sans certificat numérique certifié prouvant que vous avez été vacciné. Pas de vaccin, pas de service. Bill Gates a dit cela. Tout ce qu’il a dit d’autre sur le fait de ne jamais revenir à la «normale» est exact. Je pense qu’il est temps que nous commencions à le prendre au sérieux.

Cette transformation de la société américaine en un état de surveillance verrouillé sera accélérée sous Joe Biden, s’il devait gagner le 3 novembre. Si c’est Trump gagne, ce ne sera pas une promenade de santé non plus, car la gauche contrôle toujours la bureaucratie, les écoles. , les universités, la plupart des services de police et des procureurs des grandes villes, les médiats et la majorité des églises. L’ampleur de ce contrôle a été visible au cours des cinq derniers mois. Chacune de ces institutions s’est conformée aux diktats de la gauche, et ceux qui ont refusé ont été qualifiés de meurtriers et d’égoïstes haineux.

Notre seul refuge est en Jésus-Christ, qui surveille sûrement tout cela et prépare son armée de saints anges à sonner le dernier appel des trompettes, lorsqu’il descendra des nues dans un éclair visible d’est en ouest. Alors chaque genou fléchira, non devant « Black Lives Matter » ou devant un technocrate milliardaire, mais devant le Roi de l’Univers.


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Laetitia
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Re: 3 médecins montent au créneau pour déplorer la gabegie sur le coronavirus

Message par Laetitia »


DÉCLARATION D’ILLÉGALITÉ PORT DU MASQUE par Maitre Carlo Alberto Brusa


DECLARATION QUI ETABLIT L’ILLEGALITE DE LA CONTRAVENTION DE 4EME CLASSE
QUI SERAIT IMPUTEE EN CAS DE DEFAUT DU PORT DU MASQUE
DANS LES LIEUX IMPOSES PAR LE DECRET DU 10/07/2020

Pour que l’infraction soit imputée et sanctionnée, il faut, aux termes du principe de légalité
prévu à l’article 111-3 du Code pénal et conformément à l’article 111-4 de celui-ci sur
l’interprétation stricte de la loi pénale, que les textes d’incrimination et de répression soient
clairement énoncés afin qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur l’incrimination et la répression.

Or, tout le monde prétend que le défaut de port du masque est sanctionné par une
contravention de quatrième classe telle que visée à l’alinéa 3 de l’article L-3136-1 du Code
de la santé publique.

Or, l’alinéa 3 du texte précité réprime par une contravention de quatrième classe les
infractions visées aux articles L 3131-1 et L 3131-15 à L 3131-17 dudit Code.
Toutefois, les textes précités ne peuvent en aucun cas être appliqués au « défaut de port de
masque » pour les motifs suivants :

          • L’article L 3131-1 ne s’applique qu’au règlement pris « par le Ministre chargé de la
santé et par arrêté motivé ». Or, les dispositions du décret du 10 juillet 2020 ont été
édictées par un décret du Premier Ministre et non par arrêté ;
          • S’agissant des dispositions des articles L 3131-15 à L 3131-17, celles-ci ne sont
applicables que dans les circonscriptions dans lesquelles l’état d’urgence est déclaré.
Les dispositions, relatives au port de masques, des articles 27 et 38 du décret du 10
juillet 2020, s’appliquent aux « territoires sortis de l’urgence sanitaire », et ne sont
donc pas applicables ;
          • Enfin, le texte de répression ne vise en aucun cas le décret du 10 juillet 2020, de sorte
qu’aucune répression ne peut être appliquée au défaut de port de masque.
Toutes verbalisations effectuées par un policier, un gendarme ou toute autre personne
habilitée par la loi sont ainsi entachées d’une illégalité manifeste, ainsi que d’un abus de
pouvoir.

Maître Carlo Alberto BRUSA, Avocat à la Cour
Président de l’Association REACTION 19
Et Président du Cabinet d’Avocats CAB ASSOCIES, Avocats à la Cour

Je vous autorise à imprimer le présent document, à le déposer dans tous les Commissariats et toutes les
Gendarmeries, afin qu’il soit donné large écho aux erreurs graves commises par la mise en œuvre d’une répression
qui n’a aucun fondement légal ni réglementaire .


REACTION 19
63, rue la Boétie - 75008, Paris, France
https://reaction19.fr/
reaction19fr@gmail.com
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