Contre les délirantes inepties et contradictions d’ultima ratio à l’expiratio
Ayant d’abord pensé avoir affaire avec quelqu’un de quelque peu déboussolé par la crise apocalyptique en laquelle nous sommes plongés, tout heureux d’avoir trouvé chez “CMI” une série de citations qui l’obnubilent au point qu’il se focalise dessus en ne considérant qu’un aspect de la réalité, ma démarche a été :
1̊ De lui rappeler que des réponses avaient déjà été faites sur ce site à ses mêmes objections :
« Si l'histoire nous montre des Evêques remplissant cet office de médecin des églises défaillantes, elle nous raconte en même temps les conjonctures impérieuses qui ont dicté cette conduite. Il a fallu, pour la rendre légitime, des nécessités telles que l'existence même de la religion y fût engagée, que le ministère des pasteurs particuliers fût entièrement anéanti ou rendu impuissant, et qu'on ne pût espérer aucun recours au Saint-Siège.» (Dom Gréa, L'Eglise et sa divine constitution, Casterman 1965, t. 1 p. 237)
2̊ Puis, constatant qu’il n’en avait nullement cure, en voulant rester en son optique de normes interprétées de façon restrictive comme si l’on était en temps normal, de chercher à le dégriser par une simple question. Elle revenait à lui faire toucher du doigt que s’il voulait appliquer à une situation absolument hors normes les normes prévues pour les temps normaux, il ne lui resterait plus qu’à s’abstenir lui-même de toute tentative d’explications publiques en matières ecclésiastiques.
Comme il s’avère à présent de plus en plus que non seulement il n’a cure de saisir la vérité sous tous ses angles, mais qu’il cherche à dénigrer systématiquement qui n’a pas ses oeillères, il convient donc de lui remettre le nez en ses inepties et contradictions.
Car il a ainsi montré qu’il ne sait ni de quoi il parle, ni à qui il s’adresse, et qu’il n’est pas à une contradiction près pour sembler retomber sur ses pieds, ou plus exactement pour revenir sans cesse à l’unique objet de son obsession.
1̊ Il ne sait ni de quoi il parle ni ce qu’il dit :
Devant la claire explication donnée par Dom Gréa, et lui avec imprimatur, concernant des situations exceptionnelles impliquant des exceptions hors des données et normes communes, il s’est d’abord imaginé pouvoir en fermer l’application en affirmant ceci :
Pour déterminer si l’on est en temps normal ou pas, il faut avoir Autorité !
Aux divers rappels de ma simple question s’il avait ou pas cette autorité, ou s’il était envoyé ou agréé par elle, il n’a cessé de l’esquiver, et n’y a toujours pas répondu.
Il a aussi d’abord essayé de s’en sortir en affirmant :
Ceci, juste avant d’affirmer cela :A contrario de vous, je ne prétend rien !..
Et puisque cela contredisait à la fois ses affirmations : je ne prétend rien et : Pour déterminer si l’on est en temps normal ou pas, il faut avoir Autorité, il lui a été demandé par quelle autorité, affirmée par lui comme absolument nécessaire pour déterminer quoi que ce soit, il affirmait cela, il s’est empressé de se contredire à nouveau en parlant en sens opposé :le Siège n’est que vacant !…
Donc un Siège vacant avec pourtant le devoir d’obéissance au Pontife Romain non encore déclaré déchu ; qui serait donc curieusement vacant tout en étant occupé par un Pontife Romain. Qu'il aille demander à "CMI", dont il ne cesse de pomper les citations, s'il est d'accord avec une si inepte contradiction !?cela laisse intact malgré tout le devoir d’obéissance au Pontife Romain non encore déclaré déchu (puisque l’Autorité ne s’est pas encore prononcé) …
Ne semblant pas comprendre par lui-même le naufrage public que sa piètre logique venait de démontrer explicitement de la sorte, au lieu d’avoir la sagesse, que précisément il montre ainsi ne pas avoir, de le reconnaître au moins implicitement en s’abstenant de poursuivre, il a choisi d’attaquer personnellement celui qui cherchait à le faire réfléchir.
2̊ Il ne sait pas à qui il parle, puisqu'attribuant à l'un ce qui concerne d'autres :
Il ne cesse de prétendre me faire dire et faire ce qui n’est pas mien, ce que mes travaux ont même réfuté depuis longtemps, comme le montre notamment le fil sur lequel il a mis son attaque de plus en plus personnalisée à mon encontre.
Commençant par se servir d’un échange privé avec un de ses correspondants, qui paraît l’avoir fortement piqué, il a cherché à m’en appliquer les propos.
Poursuivant, tel un Don Quichotte brassant du vent, en me disant notamment :
ah ! lesquelles ?vos organisations autocéphales,
ah ! lesquelles ? .... vos sectes autocéphales ..
Il se montre ainsi prisonnier de son univers mental très rétréci.