L'INFÂME TRAHISON, par Gabrielle Rochon

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InHocSignoVinces
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Re: L'INFÂME TRAHISON, par Gabrielle Rochon

Message par InHocSignoVinces »

Mais pour Paul VI, le Christ-Roi n'était plus rien sinon qu'un obstacle à cette utopie anti-catholique qui était sienne, la
réunion de tous les hommes dans "l'amour et la fraternité."
Lisez ce discours qu'il prononça le 9 août 1970 au sujet du
Moyen-Orient :

"Le conflit engage trois expressions ethnico-religieuses qui reconnaissent toutes un unique et vrai Dieu : le peuple
Hébraïque, le peuple Islamique et, au milieu d'eux, répandu dans le monde entier, le peuple Chrétien.

Il s'agit de trois expressions qui professent un identique monothéisme, par ces trois voies les plus authentiques, les
plus anciennes, les plus historiques et même les plus tenaces et les plus convaincues. Ne serait-il pas possible que le
nom même de Dieu, au lieu d'irréductibles oppositions, engendre un sentiment de respect mutuel, d'entente possible, de
coexistence pacifique ? La référence au même Dieu, au même Père, sans préjuger des discussions théologiques, ne
pourrait-elle pas un jour servir à la découverte si évidente, mais si difficile et si indispensable, que nous sommes fils du
même Père et que nous sommes donc tous frères."
33.

Voilà Jésus-Christ écarté du revers de la main, renié, relégué au plan des discussions théologiques. Mais laissons
plutôt ce saint Pape Pie X répondre à une telle proposition :

"Étranges, effrayantes et attristantes à la fois sont l'audace et la légèreté d'esprit d'hommes qui se disent catholiques,
qui rêvent de refondre la société dans de pareilles conditions et d'établir sur la terre, par dessus l'Église Catholique, "le
règne de la justice et de l'amour" avec des ouvriers venus de toutes parts, de toutes religions ou sans religion, avec ou
sans croyance pourvu qu'ils oublient ce qui les divise : leur conviction religieuse et philosophique, et qu'ils mettent en
commun ce qui les unis : un généreux idéalisme et des forces morales prises "où ils peuvent". On est effrayé...Le résultat
de cette promiscuité au travail, le bénéficiaire de cette action sociale cosmopolite ne peut être qu'une démocratie qui ne
sera ni catholique, ni juive, ni protestante ; une religion plus universelle que l'Église Catholique, réunissant tous les
hommes devenus enfin frères et camarades dans "le règne de Dieu." On ne travaille pas pour l'Église, on travaille pour
l'humanité...C'est l'apostasie organisée."
34.

Et quiconque adhère en toute connaissance de cause à cette idéologie ne se rend-t-il pas coupable d'apostasie et de
schisme envers la Sainte Église de Dieu et son Divin Époux, Jésus-Christ, Fils de Dieu ?


Continuons, descendons encore plus creux dans cet abîme infernal ! Ne fermez pas cette brochure ! La réalité commence-t-elle à vous faire frémir, à se dresser devant vous dans toute sa monstruosité ? Continuez de lire, car vous en avez déjà trop lu pour arrêter sans prendre devant Dieu une terrible responsabilité !

Vous ignorez sans doute que l'Église Catholique, avant Paul VI, ne savait plus annoncer le Christ au monde ; que le pont entre l'Église et les hommes était coupé ; que vous-mêmes, vos parents, il y a à peine vingt ans, étiez dans la noirceur spirituelle. Laissez Paul VI vous l'apprendre :

"Le concile a donné à l'Église une grande et difficile consigne, celle de rétablir le pont entre elle et l'homme d'aujourd'hui...Cela suppose en tout cas que, pour le moment, ce pont n'existe pas ou bien qu'il est peu praticable, sinon complètement effondré. Si nous y réfléchissons bien, cet état de chose représente un terrible et immense drame historique social et spirituel ; cela veut dire que, dans l'état actuel des choses, l'Église ne sait plus présenter le Christ au monde d'une façon et dans une mesure suffisantes." 35.

Blasphème exécrable contre l'Esprit-Saint car si l'Église avant Paul VI ne savait pas annoncer le Christ au monde, c'est donc que pendant des siècles le Saint Esprit aurait fait défaut à son Église et que les hommes ont erré dans les ténèbres spirituels ; accepter une telle idée c'est renoncer à être catholique.


A SUIVRE...


33. Documentation Catholique 1970, p. 759.
34. "Lettre sur le Sillon" , Saint Pie X, pp.38-40.
35. Documentation Catholique, 12 juillet 1965, p. 67.

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Message par InHocSignoVinces »

Luther, hérésiarque condamné par l'Église, auteur d'un schisme et responsable de l'égarement de plusieurs milliers
d'âmes, personnage qui avait en horreur l'Auguste Sacrifice de la Messe ; lui, cet instrument du diable, n'a reçu de l'Église conciliaire que des louanges !


Lisez toutes ces déclarations aberrantes ! L'Osservatore Romano (journal officiel de Saint-Siège) rapporte, sans
émettre aucun commentaire ou rectification, cette déclaration du délégué suédois au congrès laïc :

"La réforme liturgique a fait un notable pas en avant dans le champ de l'œcuménicité et elle s'est approchée des
formes liturgiques mêmes de l'Église Luthérienne."
36.

Mais, direz-vous peut-être, ce Suédois n'est pas en autorité dans l'Église. Nous le savons et, pour prouver que ce laïc
ne s'est pas trompé, lisez la déclaration de l'envoyé spécial de Paul VI, le cardinal Willebrands à l'assemblée luthérienne
mondiale à Évian, au mois de juillet 1970 :

"Une plus juste appréciation de la personne et de l'œuvre de Luther s'impose... Le Concile Vatican II n'a-t-il pas lui-même accueilli des exigences qui avaient, entre autres, été exprimées par Luther et par lesquelles bien des aspects de la Foi Chrétienne s'expriment mieux actuellement qu'auparavant ? Luther a fait, d'une manière extraordinaire pour l'époque, le point de départ de la théologie et de la vie chrétienne." 37.

O vous, Éminence, qui avait été élevé à la dignité du sacerdoce, vous, "le sel de la terre", pourquoi ces paroles scandaleuses ? Avez-vous oublié que vous devez être le défenseur du Christ et de son Église ? Alors dites-nous pourquoi êtes-vous devenu un tel ennemi du Christ car, en exaltant la personne et l'œuvre de Luther, c'est le diable que vous exaltez et le Christ que vous reniez !

Par ce discours scandaleux du cardinal Willebrands voilà Luther réhabilité. Peut-être assisterons-nous un jour à sa
canonisation par "l'Église conciliaire" et à l'excommunication du pape qui l'avait solennellement condamné !


Et la liste des méfaits pourrait s'allonger de façon presqu'indéfinie. Sous Paul VI les pires hérésies et scandales se
sont répandus sans jamais être condamnés. Cardonnel, Schillebeck, Six (protégé de Paul VI), Kung, Besret, Hourdin,
Léon-Dufour, etc. ; autant d'hérésiarques qu'il aurait fallu condamner mais que Paul VI a protégés pour mieux assassiner
les âmes.



A SUIVRE...


36. Osservatore Romano, 13 octobre 1967, p. 3.
37. "Forts dans la Foi", n° 41, p. 335.
Dernière modification par InHocSignoVinces le mar. 12 oct. 2021 11:52, modifié 1 fois.
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Message par InHocSignoVinces »

LA NOUVELLE CATECHESE, POISON MORTEL INOCULÉ À DES ÂMES INNOCENTES

"Pie, évêque, serviteur des serviteurs de Dieu promulgue ce document avec l'approbation du Saint Concile (Vatican I)
pour qu'il soit à jamais conservé."


De la rédaction et de l'usage d'un catéchisme unique pour l'Église Catholique.

"Notre Sainte Mère l'Église, instruite par les préceptes et les exemples de son Époux, Notre Sauveur Jésus-Christ, a
toujours montré un soin et une sollicitude particulières à l'égard des enfants, afin que nourris du lait de la céleste doctrine,
ils soient formés de bonne heure à toute pratique de la piété. C'est pourquoi le Saint Concile de Trente ne s'est pas borné
à recommander aux Évêques de prendre soin que l'on enseignât diligemment aux enfants les rudiments de la foi et
l'obéissance envers Dieu et leurs parents
(Concile de Trente. Sess. XXIV ch. 4. De reform.), il a encore estimé qu'il devait
fixer une règle ou une méthode pour instruire le peuple chrétien à partir de ces rudiments de la foi, méthode que devraient suivre, dans toutes les églises, tous ceux à qui incomberaient légitimement les fonctions de pasteur et de docteur...Pour que désormais on observât partout une seule et même façon d'enseigner et d'apprendre la doctrine, il approuva un petit catéchisme destiné à l'instruction des enfants...Il appartiendra aux Évêques de composer des manuels catéchétiques plus développés pour compléter leur instruction et pour réfuter les erreurs qui pourraient sévir dans leur région...Enfin, comme il ne suffit pas de faire apprendre par cœur aux fidèles les formules de catéchisme mais qu'il convient d'y ajouter de vive voix des explications adaptées à l'intelligence de chacun..., on observe une règle et une méthode communes pour transmettre les vérités de la Foi."
38.



Que dire maintenant du catéchisme hollandais, de la catéchèse de France, d'Italie, d'Allemagne, des États-Unis et du Canada, oui, vous avez bien lu : du Canada et de la Province de Québec ! Peut-être pensiez-vous d'être à l'abri de cette contagion, mais non ? Ce sont vos enfants qu'on empoisonne ; ces âmes innocentes qui sont livrées aux mains des assassins avec le concours de votre indifférence coupable consciente ou non.

Vous ne nous croyez-pas ? Eh bien, laissez-nous vous montrer ce qu'on enseigne à vos enfants. Prenez pour
exemple le volume n° 2 : "Célébrons ses merveilles", le n° 3 "Rassemblés dans l'amour"

Vous y trouverez des phrases de ce genre :

"Pourquoi les chrétiens se rassemblent-ils à la messe ? Les chrétiens se rassemblent pour écouter la parole de Dieu,
pour rendre grâce au Père avec Jésus, partager le Pain de Vie.

"La messe est le sacrifice d'action de grâces de l'Église toute entière, de son chef Jésus et de ses membres."

"La messe est un repas de fête en l'honneur de Jésus ressuscité."


Voilà de l'hérésie à l'état pur ; la messe n'est pas une fête, la messe est le renouvellement non sanglant du sacrifice de la Croix où notre Divin Sauveur s'immole de façon non sanglante en victime de propitiation pour nos péchés et pour apaiser la juste colère de son Père.

Mais pour aller avec "l'Église conciliaire" il faut inculquer à ces jeunes une nouvelle conception de la messe pour en
faire plus tard de vrais protestants.


Et voyez la négation subtile du Sacrement de l'Ordre :

"Les chrétiens refont le repas du Seigneur pour être fidèles au commandement qu'il leur a donné : Faites ceci en mémoire de moi."

Plus de sacerdoce, plus de prêtres, mais simplement des chrétiens sans distinction qui refont le repas du Seigneur ;
voilà la théologie protestante.


Pour plaire aux protestants, pour ne pas les heurter dans cette catéchèse hérétique, les dogmes sont bafoués. Il le faut bien, l'œcuménisme satanique de Vatican II est aujourd'hui plus important que la Foi Catholique !

Vous voyez, demain vos enfants ne seront pas des catholiques mais des protestants empreints d'une mentalité libérale et qui, sous prétexte de liberté, refuseront de vous obéir !

Parents catholiques, réalisez-vous la grande responsabilité que vous prenez devant Dieu en acceptant que ces âmes
innocentes, les enfants que Dieu vous a confiés pour en faire ses élus, sont en train de mourir empoisonnés par toutes
ces hérésies.


Il est encore temps de réagir. Exigez que vos enfants n'assistent pas à ces cours de déformation spirituelle et montrez-leur vous-mêmes, selon l'enseignement traditionnel de l'Église de Jésus, le vrai visage de Jésus et de son Église.


A SUIVRE...


38. Catéchisme Catholique pour adultes, du Cardinal Gaspari, pp. 285 à 287, éd. Nazareth, 1959.
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Message par InHocSignoVinces »

LA SATANIQUE RÉFORME LITURGIQUE DE PAUL VI


Lisons d'abord cet extrait de la bulle "Quo Primum" de Saint Pie V :

"...Et que, dans la célébration de la messe, ils n'aient l'audace d'ajouter ou de réciter d'autres cérémonies ou prières que celles qui sont contenues dans ce Missel.

En outre, en vertu de l'autorité apostolique, par la teneur des présentes, concédons et donnons l'Indult suivant, et cela
même à perpétuité :

"Que désormais, pour chanter ou réciter la Messe en n'importe quelle église on puisse, sans aucune réserve, suivre
ce même Missel, avec permission donnée ici et pouvoir d'en faire libre et licite usage, sans aucune espèce de scrupule
ou sans qu'on puisse encourir aucune peine, sentence et censure..."


"Ainsi donc, qu'il ne soit, à personne absolument, permis d'enfreindre ou, par téméraire entreprise, contrevenir. Que s'il avait l'audace de l'attenter, qu'il sache qu'il encourra l'indignation du Dieu tout-puissant et des bien-heureux apôtres Pierre et Paul." 39.

Paul VI ne devait pas s'opposer à toute cette catéchèse hérétique puisqu'elle ouvrait la voie au PIRE DES CRIMES
QU'IL DEVAIT COMMETTRE, AU PLUS SACRILEGE ATTENTAT DANS TOUTE L'HISTOIRE DU CHRISTIANISME : LA
RÉFORME LITURGIQUE MIEUX CONNUE SOUS LE NOM DE "MESSE DE PAUL VI".


Cette nouvelle messe est, dans son rite, tout à fait contraire à la foi catholique, elle est un relent de l'hérésie protestante. Cette nouvelle messe est hérétique et sacrilège, contraire à la vraie foi, à la piété, à l'adoration dûe à Notre Seigneur.

Au mépris des saintes lois de l'Église, plus particulièrement celle du Saint Concile de Trente, Paul VI ordonna une réforme liturgique.

Pour se convaincre du changement de foi, il suffira de lire l'Instruction générale du Nouvel Ordo Missae :


"La Cène dominicale ou messe, est la synaxe sacrée ou assemblée du peuple de Dieu se réunissant sous la présidence du prêtre pour célébrer le Mémorial du Seigneur. C'est pourquoi vaut éminemment, pour l'assemblée locale de la Sainte Église, la promesse du Christ :"Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je serai au milieu d'eux." 40.

On ne saurait imaginer une définition de la messe plus hérétique et plus apostate que celle-là. Dans cette définition
tous les dogmes de la messe sont niés plus particulièrement celui de la transsubstantiation ; celui donc de la présence
corporelle de Jésus dans l'Eucharistie car, dans le nouvel "ordo missæ" il s'agit d'une présence spirituelle comme l'affirme
la citation de l'article 7.


Nous savons que Paul VI n'a pas rédigé lui-même ce texte mais il y a apposé sa traîtresse signature.

Voyons maintenant ce qu'en dit le Saint Concile de Trente :

"L'auguste sacrifice de la Messe n'est pas seulement un sacrifice de louanges et d'action de grâce, ni un simple mémorial de Celui qui a été offert sur la Croix, mais un vrai sacrifice de propitiation...Si quelqu'un dit que le sacrifice de la messe n'est qu'un sacrifice de louanges et d'action de grâces, ou une simple commémoraison du sacrifice de la croix...Qu'il soit anathème." 41.

"Si quelqu'un nie ce changement étonnant et sans exemple de toute la substance du pain au corps et de toute la
substance du vin au sang - alors cependant que demeurent les apparences du pain et du vin - conversion que l'Église
Catholique appelle excellemment "transsubstantiation" ; qu'il soit anathème."
42.


A SUIVRE...


39. "Saint Pie V, un pape pour notre temps", Pierre Tilloy, éd. Forts dans la Foi, 1974.
40. Instruction générale du Nouvel Ordo Missae, article 7, 3 avril 1969.
41. Concile de Trente, canon 3, Session XXIIe, chap. 9.
42. Concile de Trente, canon 2, Session XIIIe, "Decretum de SS Eucharistiae."
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Re: L'INFÂME TRAHISON, par Gabrielle Rochon

Message par InHocSignoVinces »

Prenez maintenant votre "Prions en Église" (Éd. NOVALIS, Univ. d'Ottawa) à la page de la consécration ; vous lirez
ceci : "Récit de l'institution" alors que le prêtre récite les paroles de la consécration à haute voix sur le même ton récitatif
que s'il vous racontait l'histoire du petit chaperon rouge. Tout cela ne vous a-t-il jamais frappé ?


Et le latin, (dont les missels d'autrefois donnaient la traduction dans la langue du pays) langue d'une beauté et d'une
précision exceptionnelles qui protégeait d'une manière si parfaite la pureté de la Foi, langue essentielle pour conserver
l'unité, a été honteusement sacrifié sous le faux prétexte d'une meilleure compréhension et d'une plus grande participation
des fidèles ; ayant comme "beau" résultat que la plupart des catholiques ne savent plus aujourd'hui ce qu'est la
messe ! C'est devenu pour eux une réunion sociale qui se déroule sous la présidence d'un prêtre qui ressemble à un
maître de cérémonie et qui regarde bêtement ses fidèles se perdre dans ce culte impie, où l'homme déifié foule au pied
son doux Sauveur et tout cela sous prétexte de communication et de fraternité ! Non, l'utilisation du latin et le fait de
réciter les paroles de la consécration à voix basse ne sont pas des menus détails :


"Si quelqu'un dit que le rite de l'Église Romaine, où l'on prononce à voix basse une partie de la consécration, doit être
condamnée : ou que la messe doit n'être célébrée qu'en langue vulgaire (de chaque pays) : Qu'il soit anathème."
43.

Luther et tous les autres hérésiarques ont dû tressaillir de joie en voyant cette nouvelle "messe", eux qui toute leur vie ont tenté mais en vain de détruire l'Auguste Sacrifice de la Messe. De l'extérieur ils ne pouvaient y arriver, il fallait que le traître soit placé à l'intérieur de l'Église ; tel a été le sinistre rôle de Paul VI.

Lisez aussi ces nombreuses déclarations qui suivirent l'apparition de la "Messe de Paul VI". Le frère Max Thurian de
Taizé (protestant) parle des fruits que va apporter la "nouvelle messe" :

"Ce sera peut être que des communautés non-catholiques pourront célébrer la sainte Cène avec les même prières
que l'Église catholique. Théologiquement c'est possible."
44.

Et ce protestant de Strasbourg :

"Je n'ai pu trouver dans la nouvelle liturgie catholique quelque chose qui put me choquer." 45.

C'est donc dire qu'avant, la Sainte Messe le choquait. Et encore cette grande revue protestante qui se réjouit :

"Les nouvelles prières eucharistiques catholiques ont laissé tomber la fausse perspective d'un sacrifice offert à
Dieu."
46.

Pour terminer avec ces déclarations, lisons encore celle du Consistoire Supérieur de l'Église d'Augsbourg, d'Alsace et
Lorraine après sa réunion de Strasbourg du 8.12.1973 :

"...Nous estimons que, dans les circonstances présentes, la fidélité à l'Évangile et à notre tradition ne nous permet pas
de nous opposer à la participation des fidèles de notre Église à une célébration Eucharistique Catholique.



A SUIVRE...


43. Concile de Trente , canon 9, Session XXIIe, chap. 9.
44. Journal "La Croix", 30 mai 1969.
45. Pasteur Mathis, cité par le Courrier hebdomadaire de Pierre Debray, no. 165 du 27 février 1970.
46. Journal "La Croix", 10 décembre 1969.
47. Dernières Nouvelles d'Alsace, no. 289 du 14 décembre 1973.
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Message par InHocSignoVinces »

Le caractère de la célébration :

Il faut cependant agir avec beaucoup de discernement et de sagesse. Il ne faudrait accepter l'invitation d'une autre
Église qui si l'on peut, personnellement, reconnaître dans sa pratique Eucharistique, la célébration de la Cène telle que le
Seigneur l'a instituée. Étant donné les formes actuelles de la célébration eucharistique dans l'Église Catholique et en raison
des convergences théologiques présentes, beaucoup d'obstacles qui auraient pu empêcher un protestant de participer à sa célébration eucharistique, semblent en voie de disparition. Il devrait être possible à un protestant de reconnaître dans la célébration Eucharistique Catholique,
la Cène instituée par le Seigneur. En particulier il nous appartient de veiller aux points suivants : le caractère Évangélique de la célébration
à laquelle le protestant pourrait participer doit être manifeste.


Nous tenons notamment à la communion sous les deux espèces, non seulement par fidélité à l'Évangile et à la réforme, mais parce que cette pratique s'oppose pour nous à une certaine apparence de cléricalisme.

Nous tenons à l'utilisation des nouvelles prières eucharistiques dans laquelle nous nous retrouvons et qui ont l'avantage de nuancer la théologie du Sacrifice que nous avions l'habitude d'attribuer au Catholicisme. Ces prières nous invitent à retrouver une théologie évangélique du Sacrifice."
47.


Ca ne peut être plus clair ; si eux protestants, se retrouvent et retrouvent l'expression de leur foi dans la "messe" de
Paul VI, comment faites-vous, vous catholiques qui ne partagez pas la foi protestante, pour vous y retrouver dans cette soi-disant messe ?


Où étiez-vous Cardinaux, Évêques, Prêtres à ce moment aussi terrible dans l'histoire de l'Église ? Pourquoi avez-vous gardé le silence ? Pourquoi avez-vous dit à vos fidèles d'obéir ? De quel droit, en vertu de quelle autorité, leur disiez-vous d'assister à cette parodie sacrilège de la messe ? Est-ce la peur de déplaire à Paul VI, la peur des sanctions, des représailles qui a motivé votre odieux et traître silence ? Ou serait-ce que vous n'aviez déjà plus la Vraie foi catholique ? Nous laissons à Dieu le jugement d'une telle conduite.

Et arriva, pour couronner cette réforme, les gestes d'apostasie publique par la permission d'intercommunion. Le 21 décembre 1966 à Assise, Miss Barbara Olsen (presbytérienne) reçut l'autorisation de Paul VI de communier à la messe de son mariage, sans abjuration de ses hérésies." 48.


A SUIVRE...


47. Dernières Nouvelles d'Alsace, no. 289 du 14 décembre 1973.
48. Documentation Catholique 1968, pp. 1727-28.
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Message par InHocSignoVinces »

Le cardinal Samoré, suivant son maître Paul VI, autorisa le 6 septembre 1968 à Médellin (Colombie) le frère Giscard
de Taizé (protestant), l'évêque anglican Reed, le pasteur luthérien Bahman et les pasteurs Green et Naylor, du conseil
national des Églises du Christ à communier à la messe de clôture ! Oh ! nous savons que Paul VI a déploré par après les
"actes d'inter-communion contraires à la juste ligne œcuménique."
49.

Comme c'est navrant ! Allait-on un peu trop vite pour lui ? Et Dieu, Lui, n'a-t-il aucune importance ? "Ne jetez pas les
perles devant les pourceaux"
a dit Jésus (Matt.7,6)) Les perles ce sont les Sacrements ; les pourceaux sont le symbole
de ceux qui se sont séparés de l'Église et qui professent une doctrine hérétique.

Mais ce qu'il y a de plus touchant, c'est qu'après avoir gémi quelque peu, PAUL VI nomma le cardinal Samoré, préfet
de la Sacré Congrégation pour la discipline des Sacrements, et ce deux mois plus tard !
50.

Oh ! comble de l'hypocrisie ! Ensuite ce ne fut qu'une série de documents officiels d'évêques qui permettaient les "Inter-commmunions" chose qui ne pouvait passer sans l'approbation plus ou moins tacite de Paul VI.

Voilà ! Nous pensons que nous avons cité suffisamment de faits pour que toute personne de bonne volonté cherchant sincèrement la vérité puisse comprendre.

Jean-Paul II ne cesse de clamer depuis son "élection" qu'il veut suivre les traces de Paul VI "son père spirituel", qu'il veut assumer son héritage.

Pour montrer au lecteur que Jean-Paul II ne fait pas mieux que Paul VI et qu'il ne fait que continuer son œuvre de destruction, un coup d'œil rapide sur la première année de son "pontificat" suffira, nous l'espérons, à démontrer à qui veut savoir que, sous les dehors d'une personnalité attachante et d'un homme apparemment pieux, se cache un loup ravisseur extrêmement dangereux. 51.

Le douze mars 1979 Jean-Paul II accordait une audience à l'Organisation mondiale Juive. A cette occasion on aurait
pu s'attendre à une exhortation de sa part dans le but d'amener ces membres de la religion juive à la foi en Jésus-Christ
ou au moins à une profession de foi sans équivoque en la divinité du Christ. Mais non, son discours s'est orienté de façon
à ne pas les heurter, à ne pas les déranger dans leurs erreurs, toujours ce faux prétexte de la charité, cette 'charité'
diabolique qui laisse les âmes dans leurs erreurs, les encourage, ce qui est un relent dangereux d'apostasie. Voici ce qu'il
dit :


"Chers amis...nos deux communautés religieuses sont étroitement liées au niveau même de leur identité religieuse
respective...si proches l'une de l'autre."


Franchement qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres, entre le Judaïsme qui nie obstinément Jésus-Christ Fils de Dieu, qui cherche à détruire la religion catholique, la foi en Jésus Sauveur, et d'autre part le vrai catholicisme qui croit et confesse Jésus, Fils de Dieu, vrai Dieu et vrai homme, Sauveur annoncé par les Prophètes ?

Saint Augustin dit : "L'Ancien Testament renferme les figures qui devaient disparaître en présence des réalités apportées par le Christ. C'est ainsi qu'il a accompli la Loi et les prophètes qui portaient que Dieu devait donner un Nouveau Testament." 52.

Non ! Rien ne nous lie au Judaïsme ! Toujours dans le même discours, Jean-Paul II veut que les catholiques "comprennent les difficultés que l'âme juive, justement imprégnée d'une très haute et très pure notion de la transcendance divine, éprouve devant le mystère du Verbe incarné..."

Il semble que pour Jean-Paul II, "comprendre" signifie silence ; comme si l'incarnation du Fils de Dieu ne donnait pas
une idée aussi haute et aussi pure de la transcendance divine. Se taire, renier Jésus, ne pas parler du Verbe incarné,
eh bien non ! Car le bien des âmes ne peut se faire en taisant la vérité, en rougissant de Jésus-Christ : Il est la lumière, la vérité, le salut attendu par Israël !

Qu'aujourd'hui encore, après tant de preuves de la divinité du Christ, les Juifs se refusent toujours à Le reconnaître ; eh bien, quoiqu'en pense Jean-Paul II, c'est difficile à comprendre.

Et Jean-Paul II continue :

"Juifs et chrétiens nous sommes tous sûrs et obéissants à la volonté de Dieu, le Dieu des patriarches et des prophètes...Shalom."

Voilà à nouveau le Christ crucifié, le Christ rejeté, méprisé et d'un seul coup, mises sur le même pied d'égalité la foi juive et la foi catholique ; comme si cela était possible de faire la volonté de Dieu tout en niant son Fils, tout en rejetant le salut que Dieu a destiné aux hommes, comme si Dieu accordait la vie éternelle en dehors de son Fils bien-aimé ! Mon Dieu, quel mystère d'iniquité, quelle ruse, quelle perfidie dans un seul discours. Dans quel abîme de ténèbres et d'aveuglement ces hommes sont-ils tombés, pour renier ainsi leur Seigneur et Maître.

St. Augustin dit :

"Dites donc clairement que vous ne croyez pas à l'Évangile car, en ne croyant qu'à ce qui vous convient dans l'Évangile, c'est plutôt à vous-mêmes qu'à l'Évangile que vous croyez." 53.


A SUIVRE...


49. Documentation Catholique 1968, p. 1641 et Documentation Catholique 1970, p. 182.
50. Osservatore Romano du 2 novembre 1968.
51. Nous prions le lecteur de bien vouloir prendre note que toutes les références pour les discours de Jean-Paul II que
nous allons citer se retrouvent dans la Documentation Catholique et l'Osservatore Romano.
52. Saint Augustin, cité par Saint Thomas D'Aquin dans la "Chaîne d'or", tome 1, p. 269, éd. Louis Vivès, 1854.
53. Saint Augustin, cité par Saint Thomas D'Aquin dans la "Chaîne d'or", tome 1, p. 268, éd. Louis Vivès, 1854.
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Re: L'INFÂME TRAHISON, par Gabrielle Rochon

Message par InHocSignoVinces »

Mais il n'y pas que les Juifs : les Musulmans aussi sont si près de nous que c'est à se demander comment l'Église Catholique, avant le sinistre concile de Vatican II, a pu faire pour ne pas s'en apercevoir !

Lors de son voyage en Ankara Jean-Paul II n'a rien trouvé de mieux que d'aller s'incliner devant la tombe d'ATATURK,
responsable du massacre de plusieurs milliers de catholiques ! Décidément Jean-Paul II s'est promis d'imiter Paul VI en
tout ; lisez de discours impensable, effrayant qu'il prononça à Ankara :


"Les Musulmans ont comme nous la foi d'Abraham dans le Dieu unique, tout-puissant et miséricordieux...La foi en
Dieu que professent les descendants spirituels d'Abraham, Chrétiens, Musulmans et Juifs, quand elle est sincèrement
vécue, qu'elle pénètre la vie, est un fondement assuré de la dignité, de la fraternité et de la liberté des hommes et un
principe de rectitude morale de la vie en société. Et il y a plus ; par suite de cette foi en Dieu Créateur et transcendant,
l'homme se retrouve au sommet de la création...Le principe d'une collaboration en vue d'un progrès de l'homme, de
l'émulation dans le bien, de l'extension de la paix et de la fraternité dans la libre profession de la foi propre à chacun."


Vraiment il a de l'audace, c'est une bien cynique comédie qu'il joue. Rectifions maintenant les faussetés que contient
ce discours.

Notre foi en Dieu n'a rien de semblable à celle des musulmans. Ce n'est pas notre intention de donner ici un cours sur
la religion Islamique mais seulement de souligner trois points qui vous feront réaliser que notre foi n'a rien de semblable
avec celle des Musulmans.54.

I) Dans la religion de l'Islam, le fatalisme est un "dogme", c'est-à-dire que Dieu a créé des êtres pour le ciel et d'autres
pour l'enfer sans que ces êtres ne puissent rien y faire.
Dites-nous, vous qui devez enseigner la vérité, où voyez-vous, dans cet enseignement de l'Islam, la foi en Dieu miséricordieux ?

II) Toujours dans l'Islam, ceux qui sont élus ne vont pas au ciel pour jouir de la vision béatifique, non ; le "bonheur"
des élus consiste dans la possession d'Éphèbes et de Houris, avec lesquels ils pourront satisfaire éternellement une
bestiale sensualité ! Franchement, l'idée que se fait du ciel Jean-Paul II est bien basse !

III) Dieu est si puissant qu'Il peut faire les contradictoires, c'est-à-dire que de Dieu peut venir également la vérité et le
mensonge. Dès lors, affirmer que chrétiens et musulmans ont la même foi en Dieu Tout-Puissant et Miséricordieux est
une hérésie doublée d'un exécrable blasphème.


Juifs et Musulmans ne sont pas les descendants spirituels d'Abraham car Abraham est le père des croyants en Jésus-Christ. La postérité qui lui a été promise c'est celle de tous les croyants, non pas de n'importe quelle religion mais seulement de celle que Jésus a fondée : la religion catholique. Le lecteur lira avec un grand profit ce texte de Saint Paul :

"Ce n'est pas que la parole de Dieu soit devenue caduque. En effet, ce ne sont pas tous les descendants d'Israël qui
sont d'Israël ; pour être la postérité d'Abraham, tous n'en sont pas non plus les enfants ; mais c'est en Isaac que tu auras
une postérité à ton nom (Gen. 21.12) C'est-à-dire, ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais
ce sont les enfants de la promesse qui comptent comme postérité."
(S. Paul aux Romains IX, 6-8)


"Comprenez-le donc ; ceux-là sont fils d'Abraham qui sont des hommes de foi. Aussi l'Écriture prévoyant que Dieu justifierait les Gentils par la foi, a-t-elle prédit à Abraham cette bonne nouvelle : "Toutes les nations seront bénies en toi." Ainsi ce sont les hommes de foi qui sont bénis avec Abraham le croyant. Quant à ceux qui sont pour les œuvres de la loi, ils sont tous sous le coup de la malédiction car il est écrit : "Maudit soit quiconque ne s'en tient pas fidèlement à tout ce qui est écrit dans le livre de la loi pour le mettre en pratique" (Deut. 27.26) Et que par la loi nul ne soit justifié devant Dieu, c'est chose manifeste, car ce "qui est juste par la foi vivra" (Hab. 2.4) Or la loi n'a pas son principe dans la foi, au contraire "Celui qui mettra cela en pratique en vivra" (Lev. 18.5)

Le Christ nous a racheté de la malédiction de la loi en devenant pour nous malédiction car il est écrit : "Maudit quiconque est suspendu au gibet"(Deut.21.23) Cela pour qu'en Jésus-Christ la bénédiction donnée à Abraham passât aux Gentils et qu'ainsi nous reçussions, grâce à la foi l'Esprit promis. Frères, une comparaison d'ordre humain : quand une disposition a été prise en bonne et due forme, ne fut-ce que par un homme, personne ne l'annule ni y ajoute. Or c'est à Abraham que les promesses ont été faites et à sa descendance. On ne dit pas "et à ses descendants" comme pour plusieurs, mais comme pour un seul : "et à sa descendance" qui est le Christ." (S. Paul aux Galates 3, 7-16)


A SUIVRE...


54. "Forts dans la Foi", n° 47, pp. 312-312.
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Re: L'INFÂME TRAHISON, par Gabrielle Rochon

Message par InHocSignoVinces »

Et tout au long de ce discours impie, l'homme est le centre, la préoccupation, la fin dernière ; Jésus, sa doctrine, son
Église ne sont que des pacotilles à côté de ce dieu moderne que Jean-Paul II veut à tout prix servir, caresser de douces
paroles, le dieu de Vatican II : l'HOMME.
Continuons, le 14 juin 1979 s'adressant à des membres du Rotary International,
Jean-Paul II déclara :

"Chers amis...En vous engageant toujours davantage pour la cause de l'homme vous apprécierez toujours mieux la
dignité et la grandeur incomparable de l'homme aussi bien que sa fragilité réelle. L'Église est une alliée résolue de tous
ceux qui travaillent au bien-être de l'homme. Que Dieu soutienne le Rotary International dans la noble cause qui est la
sienne."


Voilà un discours qui paraît bien anodin mais voyons ce que la Vraie Église Catholique pense du "Rotary International" et ce qu'est au juste cette association :

"On a demandé à cette suprême congrégation (Saint Office) si un catholique pouvait donner son nom à l'association
qui porte le nom de "Rotary Club ?"


Lors de la réunion plénière du 20 décembre 1950, les éminentissimes et révérendissimes cardinaux proposés à la défense de la foi et des mœurs, sur l'avis des consulteurs de la congrégation, ont décidé de répondre : Il n'est pas permis aux clercs de donner leur nom à l'association du "Rotary Club" ou de prendre part à leur réunion : il faut exhorter les laïcs à se conformer à ce que prescrit le numéro 684 du Code de Droit Canonique. Et voici le n° 684 :

"Qu'ils évitent, au contraire, les sociétés secrètes condamnées, séditieuses, suspectes ou celles qui s'efforcent de se soustraire à la légitime surveillance de l'Église." 55.

C'est bien là tout le problème ; car justement le "Rotary" fut fondé en 1905, à Chicago par l'avocat Paul Harris et celui-ci était alors franc-maçon.56

Sous le beau couvert de l'entraide et de la dignité humaine se cache l'organisation la plus perfide au monde : la Franc-Maçonnerie qui n'a d'autre but que le renversement de l'Église Catholique et l'instauration d'une religion universelle sous le contrôle d'un gouvernement mondial juif.

Rappelons-nous la condamnation que portait le Pape Pie IX sur cette société secrète ; il déclara excommuniés "ipso facto" les affiliés à la secte et ceux qui la favorisent.

Jean-Paul II sait tout cela et n'en continue pas moins son œuvre. Qu'est-ce que son discours sinon un encouragement
à cette secte maçonnique, un encouragement qu'il fait honteusement passer comme étant celui de l'Église Catholique.
Faisant ainsi partie de ceux qui favorisent une secte maçonnique, ne se trouve-t-il pas par le fait même excommunié de
l'Église ? Il semble bien que oui car dans son cas on ne peut prétexter l'ignorance.



A SUIVRE...


55. Catéchisme Catholique pour adultes, du Cardinal Gaspari, p. 531, éd. Nazareth, 1959.
56. Catéchisme Catholique pour adultes, du Cardinal Gaspari, p. 531, éd. Nazareth, 1959.
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InHocSignoVinces
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Re: L'INFÂME TRAHISON, par Gabrielle Rochon

Message par InHocSignoVinces »

Et que dire de son discours à l'O.N.U. ? Il serait trop long de l'analyser au complet ; prenons seulement ce passage
qui suffira à ceux qui ne sont pas aveugles volontaires :

"L'O.N.U....la tribune suprême de la paix et de la justice, siège authentique de la liberté des peuples et des hommes
dans leur aspiration à un avenir meilleur...Que peut-on souhaiter de plus à chaque peuple et à toute l'humanité ? A tous
les enfants du monde, sinon cet avenir meilleur ou le respect des droits de l'homme devienne une pleine réalité dans le
cadre de l'an 2000 qui approche."


Suprême injure envers l'Épouse bien-aimée du Christ, envers le Christ lui-même qui seul peut donner la paix, la justice et la liberté aux peuples en autant que ceux-ci se soumettent amoureusement à ses saintes Lois ; car la paix du monde n'est pas la paix de Dieu. En dehors de Jésus la paix, la justice et la liberté véritable n'existe pas ; Lui seul est l'auteur et le dispensateur de ces bienfaits.

L'O.N.U. n'est qu'un cirque où se décident les crimes les plus honteux et ignobles contre Dieu, ses Saintes Lois, son
Église et les hommes.


Que pouvait souhaiter Jean-Paul II qui est censé être un prêtre catholique ? De trouver Jésus, de trouver la lumière, la vraie foi qui, elle seule, donne un sens à la vie humaine. Son souhait est celui d'un athée qui ne pense et ne se préoccupe que du corps et qui ne croit la paix possible que par la seule bonne volonté des hommes.


A SUIVRE...
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