Le cercle du diable

[Gilbert Chevalier]

Au vu de ce qui se passe aujourd’hui, on peut se demander si ce n’est pas la fin de la conciliaire, comme aime à l’appeler son patron lui-même dans ses différents actes, spécialement le dernier sur le synode 2018. De fait, elle semble en convulsion depuis les dernières affaires, spécialement l’affaire Viganò. Mais non, elle continue son chemin maçonnique.

Ceux qui connaissent mal la Secte, le plus grand nombre, n’y comprennent rien, et ils sont d’autant plus vulnérables. Aujourd’hui, la maçonnerie domine pratiquement le monde entier, et ce qui est nouveau, c’est que sa tête se trouve au Vatican. Depuis quand ? Depuis le 26 octobre 1958. Ce jour-là fut élu le dernier Pape légitime : la fumée blanche l’atteste. Que s’est-il passé ensuite ? Les deux Témoins, Hénoch et Élie, nous l’apprendront. Mais à partir de ce jour, le conclave devint irrégulier, l’Obstacle, le Pape légitime, fut écarté, de quelle manière ? Ce n’est pas à moi de le dire ! Et l’Obstacle écarté, le premier usurpateur put s’installer, ce qui se vérifia par la deuxième fumée blanche du 28 octobre.

Depuis lors, c’est le cercle du diable dont le centre est Vatican II.

En effet, que fait François Bergoglio ? Il agit comme ses cinq prédécesseurs, savoir qu’il applique Vatican II à la lettre.

Ceux qui essaient de séparer François de ses cinq prédécesseurs se trompent puisqu’il est avéré que tous les documents des papes conciliaires se réfèrent tous à Vatican II. Ne pas comprendre cela, c’est séparer la cause de l’effet et l’effet de la cause, et c’est tourner indéfiniment dans un cercle sans issue, le cercle du diable.

Mickey-Catho
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