V2 truffé d'hérésies bien pires que la "liberté religieuse"

Paulus
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Re: V2 truffé d'hérésies bien pires que la "liberté religieu

Message par Paulus »

Cette phrase du conciliabule est redoutable : c'est la proclamation du culte de l'homme. C'est à la fois une apostasie et une idolâtrie.

Nullam partem avec les conciliabulaires !

Paulus humilis catholicus
luern
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Re: V2 truffé d'hérésies bien pires que la "liberté religieu

Message par luern »

L'inénarrable Catésthisme de l'Eglise "Catholique" de Ratzi, fait 2OOO pages, comme la logorrhée de v2 fait 2OOO pages, le compendium n'a pas pu accoucher d'aucun catéchisme pour enfants:
voici donc des preuves: les escrocs intellectuels ,ou escrocs tout court, ont besoin de manifester "beaucoup d'aisance dans du vide" .
Mais si on leur demande de définir leurs affirmations, en trois mots, il n y a plus personne !

Les hérésies sont nombreuses, et derrière les trois grands griefs tradionnels relevés, on peut discerner des apostasies plus irréductibles. Il me semble qu'il faut s'orienter sur la piste de la substitution de religion à une autre, sous couvert de langage identique. Dans cette voie, je vous livre cet extrait
du fameux CEC de Ratzi 1° Partie 1° Section 1° Chapitre, § 4,

Le CEC est un modèle d'escroquerie,parmi la littérature de Ratzi dont le satanique "Pan est éros".

Relisez depuis le § 1 jusqu'au § 5 : vous voyez qu'il débute par des affirmations au-dessus de tout soupçon ; mais en apparence seulement, car l'exposé prépare à la subite inversion de sens, et à brûle-pourpoint, en effet, vous avez un paragraphe suivant, où l'inversion se révèle par un style ambigu.
et c'est cette ambiguïté subtile, et calculée au millimètre près, et intercalée entre deux affirmations apparemment orthodoxes, qui est mortelle pour la Foi, et qui révèle que le personnage est luciférien,
Ces textes nécessitent un travail fondamental, mais je pense, susceptible d'être très fécond.
IV. Comment parler de Dieu ?

39 En défendant la capacité de la raison humaine de connaître Dieu, l’Église exprime sa confiance en la possibilité de parler de Dieu à tous les hommes et avec tous les hommes. Cette conviction est le point de départ de son dialogue avec les autres religions, avec la philosophie et les sciences, et aussi avec les incroyants et les athées.

40 Puisque notre connaissance de Dieu est limitée, notre langage sur Dieu l’est également. Nous ne pouvons nommer Dieu qu’à partir des créatures, et selon notre mode humain limité de connaître et de penser.

41 Les créatures portent toutes une certaine ressemblance de Dieu, tout spécialement l’homme créé à l’image et à la ressemblance de Dieu. Les multiples perfections des créatures (leur vérité, leur bonté, leur beauté) reflètent donc la perfection infinie de Dieu. Dès lors, nous pouvons nommer Dieu à partir des perfections de ses créatures, " car la grandeur et la beauté des créatures font, par analogie, contempler leur Auteur " (Sg 13, 5).

42 Dieu transcende toute créature. Il faut donc sans cesse purifier notre langage de ce qu’il a de limité, d’imagé, d’imparfait pour ne pas confondre le Dieu " ineffable, incompréhensible, invisible, insaisissable " (Liturgie de S. Jean Chrysostome, Anaphore) avec nos représentations humaines. Nos paroles humaines restent toujours en deçà du mystère de Dieu.

43 En parlant ainsi de Dieu, notre langage s’exprime, certes, de façon humaine, mais il atteint réellement Dieu lui-même, sans pourtant pouvoir l’exprimer dans son infinie simplicité. En effet, il faut se rappeler qu’" entre le Créateur et la créature on ne peut marquer tellement de ressemblance que la dissemblance entre eux ne soit pas plus grande encore " (Cc. Latran IV : DS 806), et que " nous ne pouvons saisir de Dieu ce qu’Il est, mais seulement ce qu’Il n’est pas, et comment les autres êtres se situent par rapport à Lui " (S. Thomas d’A., s. gent. 1, 30)
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Abbé Zins
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Re: V2 truffé d'hérésies bien pires que la "liberté religieu

Message par Abbé Zins »

Dans ce passage du "CEC" :

IV. Comment parler de Dieu ?,

on dirait que les auteurs de ce texte "ignorent" que Dieu s'est révélé et défini Lui-même au travers de la divine Révélation ?

Luern pourrait-il nous dire s'ils corrigent en d'autres passages cette fâcheuse impression ?
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