Centaines de médecins de divers pays dénonçant la dictature en marche sous couleur de protection de la santé

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Laetitia
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Re: Centaines de médecins de divers pays dénonçant la dictature en marche sous couleur de protection de la santé

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Cela crie vengeance devant Dieu !!! Plus le châtiment est retardé, plus il sera terrible !!
Des bébés avortés pour la fabrication de vaccins ?

Les cellules fœtales humaines sont-elles encore utilisées aujourd'hui pour produire certains vaccins, comme l'a admis sous serment le Dr Stanley Plotkin, médecin américain et développeur de vaccins, dans la vidéo « The King of Vaccines » (« Le roi des vaccins ») ? Comment les scientifiques obtiennent-ils des tissus vivants et que signifie l'avortement pour le bébé concerné ? Hanna s'est penchée sur ces questions. 

8 septembre 2020

Bonjour, Je suis Hanna ! Aujourd'hui pour la première fois sur « Présentation privée ». Avant de commencer, je voudrais tous vous remercier parce que vous restez accrochés et que vous ne vous laissez pas abattre ! Les personnes qui ne s'entêtent pas à croire les médias, mais qui s'informent, qui se font leur propre opinion et ne se taisent pas – simplement les personnes qui nagent à contre-courant – ces personnes sont vraiment très précieuses ces temps-ci. Merci à tous de rester à l'écoute ! Vous êtes vraiment super ! Je préfèrerais vous dire tout de suite : « Éteignez cette vidéo. » Je ne veux imposer le contenu de mon émission à personne ! C'est tellement choquant et tellement dégoûtant. D'un autre côté, je me dis : « Tout le monde doit le savoir – surtout parce que c'est tellement atroce. Ça ne doit en aucun cas rester caché !!! » – et c'est pourquoi je suis maintenant devant la caméra. Alors, regardez cette vidéo jusqu'à la fin et transmettez-la absolument ! Il y a quelques jours, je suis tombée sur une vidéo en anglais qui m'a vraiment choquée intitulée « The King of Vaccines », en français « Le roi des vaccins ». Ici, vous voyez le Dr Stanley Plotkin, un médecin américain et développeur de vaccins. Il a travaillé par exemple au développement de vaccins contre la rubéole, le rotavirus et la rage. Dans cette vidéo, le Dr Plotkin répond sous serment à la question : « Des bébés avortés pour la fabrication de vaccins ? » Parce qu’il faut savoir qu’on a besoin de cellules vivantes pour fabriquer certains vaccins... Il peut s'agir de cellules de poulets, de singes, ou même d'humains. Je pense qu'il est préférable que je le laisse parler lui-même. Regardons ça ensemble.

Question : Concernant votre travail sur les vaccins, combien de fœtus ont été utilisés pour cela ?
Dr. Plotkin : Mon propre travail ?
Deux Question : Je vais vous dire ce qui est marqué comme preuve numéro 41.. Connaissez-vous cet article, Dr Plotkin ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Êtes-vous cité comme l'auteur de cet article ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Cette étude a été menée à l'Institut Wistar, n'est-ce pas ?
Dr. Plotkin : Oui. Question : Vous étiez à l'Institut Wistar, n'est-ce pas ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Combien de fœtus ont été utilisés dans l'étude décrite dans l'article ?
Dr. Plotkin : Un grand nombre...
Question : Cette étude parle de 74 fœtus, n'est-ce pas ?
Dr. Plotkin : Je ne me souviens pas combien exactement
Question : Passez à la page 12 de l'étude.
Dr. Plotkin : Eh bien... 76.
Question : 76 ? Et ces fœtus étaient tous âgés de 3 mois et plus lorsqu'ils ont été avortés, correct ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : ... et il s'agissait de fœtus ayant un développement normal, n'est-ce pas ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Quels organes avez-vous récoltés sur ces fœtus ?
Dr Plotkin : Eh bien, je n'en ai pas prélevé moi-même, mais le personnel a récolté toute une série de tissus.
Question : Et ces morceaux ont ensuite été coupés en plus petits morceaux, n'est-ce pas ??
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Et ils ont été cultivés ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Ok… et certains de ces morceaux de fœtus étaient des hypophyses... ... et ceux-ci ont ensuite été découpés en d'autres morceaux ?
Dr. Plotkin : mhm
Question : Y compris les poumons du fœtus ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Même la peau ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Les reins ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : La rate ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : le cœur ?
Dr. Plotkin : Oui.
Question : Et la langue ?
Dr. Plotkin : Je ne me souviens pas exactement, mais probablement que oui.
Question : Je veux m'assurer que je comprends bien. Ce n’est qu'une étude, dans toute votre carrière. Permettez-moi de vous poser à nouveau cette question : Avec combien de fœtus avez-vous travaillé pendant toute votre carrière ?
Dr Plotkin : Hé bien je ne me souviens pas du nombre exact, mais je me souviens que c’était un grand nombre, quand nous avons commencé à les étudier, avant même de décider de les utiliser pour des vaccins.
Question : Cette seule étude comprend 76 fœtus. Combien d'autres études avez-vous faites pour lesquelles vous avez utilisé tout un panel de fœtus et...
Dr Plotkin : Oh, je ne me souviens plus combien !
Question : Savez-vous que l'une des objections à la vaccination du plaignant dans cette affaire est l'utilisation de tissu fœtal avorté dans le développement des vaccins et le fait qu'un des composants est bien réellement votre produit ?
M. Plotkin : Oui, je suis conscient de ces objections.

Après avoir vu ce film, il m'a vraiment fallu un certain temps pour digérer ce contenu. J'aurais pu pleurer. L'idée que des petits êtres humains soient mis en pièces et utilisés pour fabriquer certains vaccins, c’est tout simplement horrible à mon avis. C'est inhumain, même si ces êtres sont encore si petits. Cela m'a tellement touchée que je voulais savoir comment ça se passe actuellement, j'ai donc pris le temps de faire quelques recherches. « Comment les vaccins sont-ils fabriqués aujourd'hui ?» Sur le site allemand « Médecins en faveur de la vie », j'ai trouvé des informations expliquant comment cette production de vaccins fonctionne réellement. Voici un lien pour vous permettre de le lire. En général, on distingue les vaccins contre les maladies bactériennes et les vaccins contre les maladies virales. Si on veut développer des vaccins contre les bactéries, on doit multiplier les bactéries. Tout ce dont on a besoin c’est de l'eau, des sels, du sucre et des acides aminés. Cependant, les cellules sont nécessaires pour produire des vaccins contre les maladies virales, telles que l'hépatite A, la rubéole et la varicelle. Tout simplement parce que les virus ne se multiplient que dans les cellules vivantes. Il peut s'agir de cellules provenant de tissus de poulets, de reins de singes, etc., ainsi que de tissus provenant de fœtus humains avortés. Les vaccins actifs contre les trois maladies infectieuses virales que je viens de mentionner sont - et je cite le Dr Elisabeth Leutner, de « Médecins en faveur de la vie » : «...toujours produits en Allemagne et dans toute l'Europe exclusivement à l'aide de lignées de cellules fœtales humaines. » Et maintenant, pire encore. Je cite à nouveau la Dr Elisabeth Leutner : « Comme les cellules fœtales ne survivent pas longtemps sans action immédiate, les scientifiques et les avorteurs doivent travailler ensemble pour obtenir le tissu convoité. » Le Dr Ward Kischer, embryologiste humain américain, dit quelque chose de très similaire : « Pour obtenir 95% des cellules, il faut préparer le tissu vivant en cinq minutes. En une heure, la détérioration des cellules se poursuit, rendant les spécimens sans valeur. » Les avorteurs et les – je vais les appeler comme ça maintenant – « extracteurs d'organes » travaillent main dans la main, pour ainsi dire, parce que ça doit être fait rapidement, sinon les organes ne sont plus « utilisables ». Est-ce que j'ai bien compris ? Cela signifie-t-il que les bébés sont encore en vie lorsque les organes sont prélevés ? Tout ça est plutôt pervers, non ? Et maintenant, nous passons à l’étape suivante. Je me suis demandé ce qu'un tel avortement fait au bébé concerné. Penses-tu qu'il ne remarque rien de tout cela ? Je suis tombée sur une vidéo adaptée au cours de mes recherches : « Le cri silencieux » du Dr Bernard Nathanson. En utilisant des images échographiques pendant un avortement le Dr Nathanson, gynécologue, montre dans ce film ce que signifie l'avortement pour le bébé. Le bébé essaie de se défendre, il fait des mouvements frénétiques, le rythme cardiaque augmente de 60 à 70 battements par minute, la bouche du bébé est ouverte, comme s'il voulait crier... Comme si le bébé sentait ce danger mortel. C'est totalement inimaginable, ce qu'on fait là à des bébés en croissance et sans défense ! Je ne sais pas quoi dire. Jetons un coup d'œil à un petit extrait de la bande annonce de ce film. Vous pourrez alors certainement comprendre ce que je ressens : « Maintenant, le cœur bat beaucoup plus vite et les mouvements de l'enfant deviennent frénétiques. Il a le sentiment que sa sécurité est menacée. Il s'éloigne, sur le côté gauche de l'utérus. Dans une tentative désespérée d'échapper aux instruments impitoyables que l'avorteur utilise pour détruire sa vie. » C’est horrible, non ? J’avais à cœur d'inclure brièvement cet aspect aussi. Voilà. Dans ma vidéo, vous avez maintenant vu, comme le titre le dit déjà, que des bébés avortés sont utilisés pour produire certains vaccins. Et ça n’en reste malheureusement pas là. Le développement se poursuit sans relâche. Ces cellules humaines ne sont pas seulement utilisées pour les vaccins, mais aussi dans la recherche et la production de médicaments. Chers amis, il y a encore beaucoup à dire, mais je pense que cela suffit pour l'instant. Laissez ces informations s'infiltrer et faites passer le mot. Il est tellement important que les yeux des gens s'ouvrent et prennent conscience de ce qui se passe ici sur terre. C'est tellement atroce ! Ne restons plus silencieux à ce sujet ! Il faut que tout le monde le sache. Et je suis sûre que c'est maintenant le temps où la lumière vient. La lumière est toujours plus forte que les ténèbres !
de haf.
Sources / Liens :  https://www.youtube.com/watch?v=YqgW7O4BKvA
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Abbé Zins
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Re: Centaines de médecins de divers pays dénonçant la dictature en marche sous couleur de protection de la santé

Message par Abbé Zins »


COVID19LOISMASQUESOPINIONS
“ÇA VA TROP LOIN !!!” Le témoignage d’une enseignante qui appelle ses collègues au rassemblement et à la “résistance”
17 septembre 2020
20 commentaires
temoignage enseignante


« Que font les prof. ? Que font les prof., les parents, les lycéens, ….. ?

Je suis enseignante contractuelle depuis 11 ans à l’éducNat.

J’ai eu plusieurs vies avant celle-ci, toujours dans le privé.

Je suis arrivée à l’éducNat. mue par une énOorme envie de transmettre et aussi parce que je suis une « mère à gosses », … j’adore être avec les enfants (de tous âges) … j’adore évoluer avec eux, être un guide pour eux et surtout, surtout, j’adore apprendre avec eux.

Je ne me suis jamais autant remise en question que depuis que j’enseigne et je peux ici remercier (infiniment) tous mes élèves, tant ils m’ont appris, tant ils m’ont apporté !

Mais, … ça n’est pas le sujet du jour.

Ma démarche est simple, je souhaite témoigner publiquement de mon action, de mon positionnement, de là où j’en suis aujourd’hui et ainsi, peut-être, RASSEMBLER.

J’ambitionne, à travers ce témoignage, de rallier tous les enseignants, les parents et les élèves qui, comme moi, trouve que ÇA VA TROP LOIN !!!

J’ambitionne, au sein du monde de l’ENSEIGNEMENT français, au sens le plus large, d’aider à la création d’un ÉNORME mouvement pour agir ensemble et mettre fin à cette immonde masQUarade.

…………………………[ÉNORME mouvement] … c’est mon côté positif !!!

Alors voilà, qu’ai-je fait, vilaine fille, sale renégate, fonctionnaire qui refuse de fonctionner ?

Lors de la pré-rentrée du 31 août, je me suis rendue aux divers RDV donnés par la direction, sans masque. Sur la TOTALITÉ des personnels du lycée présents en ce jour de pré-rentrée, j’étais la seule à visage découvert : déprime absolue !

Je croise quelques collègues qui m’encouragent et affirment que c’est moi qui a raison !

Lors de la grand-messe de rentrée en salle de conférence, je me place quasiment au premier rang face à l’équipe de direction. Le proviseur déroule son programme et en arrive au détail du protocole sanitaire.

Là, il me fait remarquer que je n’ai pas de masque, … me dit qu’il pourra m’en procurer un, si je n’en ai pas.

Je le laisse achever son chapitre et lève la main.

Il me donne la parole et là, j’annonce très officiellement, devant ma direction et mes tous mes collègues réunis que je suis OBJECTRICE DE CONSCIENCE (je porte même, pour l’occasion, un t-shirt que j’ai spécialement fait imprimer), …. que je refuse de porter le masque et que je refuse également d’exiger de mes élèves qu’ils le portent.

Il m’explique que dans ces conditions, je ne serai pas autorisée à pénétrer dans l’enceinte du lycée et que donc cela allait m’empêcher d’occuper mes fonctions.

Je lui réponds que oui, en effet, c’est ce qu’il semble se profiler.

À la fin de cette séance, je rejoins mon proviseur et lui signale que je me tiens à sa disposition, lui précisant que j’ai un argumentaire à lui transmettre.

Après un court laps de temps, nous traversons, tous deux les couloirs du lycée et il me reçoit dans son bureau.

Je lui donne en mains propres « Mes Arguments » pour expliquer ma position. Il m’explique que je risque des sanctions disciplinaires que je vais recevoir une injonction d’obtempérer, etc…. et je ré-affirme que l’heure est trop grave, qu’il ne s’agit en aucun de ma petite personne, mais que l’enjeu est bien plus colossal et que même avec un CRS derrière chaque épaule et un LBD sur la tempe, je ne PORTERAI PAS le masque.

… et je quitte le lycée.

Le soir même, je visionne le discours de R. Kennedy Junior. Je décide de transférer ce discours à mon proviseur, avec les mots ci-après :
(J’apprécie beaucoup mon proviseur, mais je sais qu’il n’est pas en capacité, lui, de dysfonctionner.)

« Monsieur bonsoir,
S’il fallait expliquer mon geste de ce matin…..
Mais, je sais que vous savez qui je suis.
Sachez que quoi qu’il arrive, je vous conserve toute mon estime …..je comprends, Ô combien, votre délicate position.
Avec mon plus sincère respect,
Bien cordialement »

Le lendemain (le 1er septembre), il me fait parvenir un courrier par l’intermédiaire du mail de son secrétariat (courrier ici).

Et, en fin d’après midi, il m’appelle, sur mon portable.

Il commence par me remercier pour mon petit mail, que cela l’a beaucoup touché ; conversation très émouvante, durant laquelle il essaie, sans trop y croire, de me ramener à la raison. Il me dit qu’il m’apprécie beaucoup et qu’il est extrêmement désolé de la situation et qu’il ne trouve pas juste que je quitte le lycée dans ces conditions, … etc.

Le 8 septembre dernier je reçois, comme attendu, un courrier de la rectrice qui me met en demeure de rejoindre mon poste (courrier ici).

J’ai répondu hier (le 15 septembre) à ce dernier courrier (ici).

Dans toute cette histoire, je perds beaucoup !

Beaucoup d’amis, certaines personnes de ma famille, l’estime de beaucoup de mes collègues, …. Certains, mêmes, me croient devenue folle !

Bien évidemment, mon salaire d’enseignante, car je suis aujourd’hui sous le coup d’une retenue sur salaire pour abandon de poste.

Mais ce qui me fait pleurer TOUS LES JOURS c’est la séparation d’avec mes élèves : j’ai littéralement le sentiment de les avoir lâchement abandonnés …. Ça, c’est le plus dur !

Mais, j’ai gagné en estime de moi !

Je suis droite dans mes bottes et à aucun moment je ne doute.

C’est pourquoi, j’ai décidé de créer une adresse mail : EEResistance@gmail.com

Afin que TOUTES CELLES ET CEUX QUI se reconnaissent dans le combat qui est à mener se manifestent.

EEResistance, cela signifie : Enseignants En Résistance

Je pense qu’il est grand temps que le milieu éducatif sorte de sa trouille, se réveille, se mobilise et à l’instar des policiers indignés, fasse entendre sa voix ! »

——

Pour contacter l’enseignante à l’origine de ce témoignage : EEResistance@gmail.com

Courriers cités dans l’article :

“Mes arguments”

Courrier du proviseur

Courrier de la rectrice

Réponse de l’enseignante





DÉCLARATION SOLENNELLE DE REFUS DU PORT DU MASQUE
Monsieur Le Proviseur, Mesdames les proviseures adjointes,
Mes chers.ères collègues.
J’annonce officiellement, ce jour et devant vous tous et toutes réunis.es mon refus de porter le masque et
d’éventuellement obliger mes élèves à le porter.
Je fais valoir, ici, mon droit citoyen de m’opposer à des procédés qui dérivent gravement vers des
pratiques surdimensionnées et totalitaires quand l’état d’urgence sanitaire n’est plus et que cette
« épidémie » ne fait plus de malades !
Pas de démocratie qui se respecte sans vigilance citoyenne, je fais, ici, acte de vigilance citoyenne et je
mets en garde contre les dérives EN MARCHE :
« … car, il apparaît de façon assez incontestable que le pouvoir a emprunté une forme de pente
naturelle qui est celle de la volonté du contrôle social ; toutes ces mesures impliquent une docilité de la
population, dont on attend que, harcelée et violentée par la police et la justice elle se tienne sage.” […]
Sur le plan juridique, dès lors que le pouvoir impose ces contraintes, il porte atteinte aux libertés
fondamentales. Il ne peut le faire que si ces atteintes sont proportionnées à l’objectif d’intérêt général
poursuivi. (Régis de Castelnau, Avocat) »
Où est l’intérêt général, quand on met à genou toute une économie, un pays que l’on musèle ses citoyens
et « Est-il bien raisonnable, au moment où la mortalité du Covid-19 se stabilise à une dizaine de décès par
jour [...] d’imposer les mêmes masques qu’on déconseillait de porter au moment où le virus faisait
régulièrement plus de mille décès par jour ? » (Philippe de Laitre, jeune médecin généraliste).
Je suis allée vérifier quelques données :
Ici, https://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=epidemies
Le réseau Sentinelles (www.sentiweb.fr) est un réseau de recherche et de veille en soins de premiers recours
(médecine générale et pédiatrie) en France métropolitaine. Créé en 1984, il est développé sous la tutelle
conjointe de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de Sorbonne Université.
J’observe que cette année l’épidémie des des syndromes grippaux (toutes causes confondues) est plutôt plus
faible que les années passées, ….

(....)

DÉCLARATION SOLENNELLE DE REFUS DU PORT DU MASQUE

Là, https://www.insee.fr/fr/statistiques/se ... #Graphique
Je me rends compte que le taux de mortalité toutes causes confondues cette année est tout à fait
comparable aux années précédentes, ….

(....)

DÉCLARATION SOLENNELLE DE REFUS DU PORT DU MASQUE

Enfin, ici https://geodes.santepubliquefrance.fr/# ... ot&s=2020-
08-27&t=a01&view=map2
… je me rends compte, qu’au moment où un peu partout la panique REmonte et que les conditions de vie
se durcissent, le taux de positifs en France (pas de malades !) est de 4,2% mais serait de 2,6% si l’on isolait
St Martin !!

M C
Le 31 Août 2020
Enseignante en design,
Lycée E.B. de DR
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Laetitia
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Re: Centaines de médecins de divers pays dénonçant la dictature en marche sous couleur de protection de la santé

Message par Laetitia »


RHÔNE : LE CONSEIL DE L'ORDRE CONVOQUE UN MÉDECIN OPPOSÉ AU PORT DU MASQUE
Le Dr Patrick Bellier estime qu'il est "inutile" de porter une protection sanitaire dans la mesure où il n'y "a plus d'épidémie".
Un pneumologue de Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône) est convoqué le 18 septembre devant le Conseil départemental de l'Ordre des médecins pour avoir refusé que des patients portent un masque, a-t-on appris mardi auprès du médecin et de l'Ordre.

"Je suis pneumologue, il faut que je voie la tête des gens !", s'est insurgé auprès de l'Agence France-Presse (AFP) le Docteur Patrick Bellier, objet de plusieurs plaintes de patients auxquels il avait demandé d'ôter leurs masques.

"Je ne suis pas un extrémiste mais porter un masque, c'est inutile et ça m'emmerde !", a-t-il ajouté, confirmant une information du quotidien régional Le Progrès.
Des plaintes de patients
"Il y a eu des plaintes de patients et le Conseil de l'Ordre doit entendre le médecin sur ces faits pour l'écouter", a expliqué la présidente du Conseil départemental de l'Ordre des médecins Dr Elisabeth Gormand, en rappelant que le Conseil n'était "pas une chambre disciplinaire".

Selon le Dr Bellier, qui s'appuie notamment sur les "courbes d'hospitalisations en baisse", il n'y a "plus d'épidémie" de Covid-19. "Avec 7000 cas positifs par jour, il n'y a rien ! Il s'agit de porteurs sains sinon ce devrait être jonché de cadavres dans les rues !", a assuré le pneumologue.

"La deuxième vague? Elle aurait dû venir en juin, on ne la voit pas. En juillet, on ne la voit pas. En août, on ne la voit pas", constate-t-il.
"J'ai des preuves"
"J'ai des preuves, poursuit l'intéressé. Depuis que le masque est obligatoire, on assiste à quelques cas en plus (...). En Suède, où le port du masque n'est pas obligatoire, la décroissance continue."

Le masque aurait dû être "obligatoire en mars-avril", tandis que rendre le port du masque obligatoire actuellement "empêche la protection de masse", voire pourrait entraîner d'autres "épidémies" comme des pneumonies du fait du port continu du masque, a-t-il encore estimé, accusant les gouvernants d'"incompétence, surtout en matière médicale".

Le pneumologue prévoit que l'épidémie de coronavirus s'éteindra "toute seule" à l'image de la grippe espagnole au début du XXe siècle.
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Laetitia
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Re: Centaines de médecins de divers pays dénonçant la dictature en marche sous couleur de protection de la santé

Message par Laetitia »


TEMOIGNAGE. Maman d'une adolescente positive au COVID-19, de la détection à l’isolement, un cafouillage généralisé
Difficulté à se faire tester, flottement sur les consignes d’isolement et de prise en charge, nous avons recueilli le témoignage d’une mère de famille confrontée à la gestion du COVID-19. Elle habite Toulouse et souhaite garder l’anonymat, nous l’appellerons Marie.

L’histoire est somme toute banale en ces temps d’épidémie de COVID-19, une adolescente de 17 ans scolarisée en terminale à Toulouse se plaint de maux de ventre et de gorge.

"Ma fille a le nez qui coule, la gorge qui gratouille, des maux de tête, des symptômes habituels de la rhino-pharyngite, de l’angine ou encore de la gastro… Mais le doute s’installe. Alors dans le contexte hautement anxiogène de l’épidémie et pour jouer le jeu de la prévention, la décision est prise de faire passer à ma fille un test PCR. Le début d’une aventure incohérente où les limites du système deviennent concrètes".

Se faire tester : un vrai parcours du combattant
Marie est en télétravail donc elle garde son adolescente légèrement fatiguée à la maison. Elle raconte la suite :

"Je passe un coup de téléphone au labo près de la maison qui propose un premier rendez-vous 4 jours plus tard. A force d’insistance, en précisant, que ma fille a potentiellement des symptômes du COVID, le délai se réduit à deux jours.
Elle se remet dès le deuxième jour et veut repartir au lycée. Cependant, elle reste cloîtrée à la maison, en pleine possession de ses moyens et ne comprend pas pourquoi elle est privée de cours.
Forte de cette pression, je décide, pour diminuer les délais de dépistage, de me rendre au drive d’à côté. A 10h du matin, la file des patients s’étale sur plusieurs centaines de mètres. Un vigile en place pour surveiller que l’ambiance reste bon enfant, indique au bout de quelques minutes à tous ceux qui patientent qu’il est inutile d’attendre. Que le nombre de tests possible pour ce drive est déjà dépassé. Et que l’on peut revenir le lendemain matin, mais plutôt à 7h, car il y a déjà du monde qui fera la queue.
On repart penaudes. Et toujours vierges de test. Arrivées à la maison, une autre tentative auprès d’un autre labo reste infructueuse.

Quel âge à votre fille ? 17 ans. Réponse : On ne teste pas les adolescents, il faut qu’ils aillent au drive."

Bref, de labo en drive, les démarches n’aboutissent à rien. Finalement on se dit que l’on a de la chance d’avoir un rendez-vous pour le surlendemain."

L’utilité de se faire tester
Au moment de se faire tester, l’adolescente n’a plus aucun signe de la maladie. Elle arrive au laboratoire à l’heure. Elle précise qu’elle a eu des symptômes et demande que ses analyses soient prioritaires.

"On ne sait jamais, si elle était positive, elle aurait pu contaminer, les jours précédents ses petits camarades de classe et sa famille rapprochée. Réponse, il n’y a pas de priorité, les délais sont de 5 jours.
6 jours plus tard, le résultat arrive.. Et là, patatras, il est positif….
Débute alors un engrenage ubuesque….
Le lycée est aussitôt alerté… Mais le résultat arrivant 6 jours après, il n’y a pas grand-chose à faire. Si ce n’est prolonger l’isolement d’un petit jour.
L’infirmière ne donne aucune consigne. Les parents doivent donc se tenir parfaitement informés. Et calculer les désormais sept jours au lieu de quatorze d’isolement.
En revanche, l’information circule vite. Le proviseur envoie un mail aux parents indiquant qu’il y a un cas de covid dans la classe. Sans plus d’information.
Sur le groupe de classe Snapchat, les élèves se déchaînent, voulant savoir à tout prix quel ou quelle est le ou la "coupable". La pression monte, avec tentative d'intimidation pour faire craquer l’élève « pestiféré » qui a respecté les consignes du test PCR en cas de symptômes, ce qui n’est pas forcément le cas des autres élèves qui se sont bien gardés de signaler leurs maux et de faire un test qui les auraient privés de lycée pendant plusieurs jours."
Un traçage bien rôdé, oui… mais
Pendant ce temps, laboratoire, ARS et CPAM contactent les parents. Réactivité impeccable, à ce stade, tout se passe bien.

"Nous avons le résultat du test de votre fille. Il est positif.
Il faut qu’elle reste à l’isolement pendant 7 jours… Ben comment dire, cela fait déjà 6 jours que le test a été fait. Ah oui, alors ça ne sert à rien…
Le reste de la famille doit se faire tester dans les meilleurs délais… Ah oui, et comment, le premier rendez-vous est dans 4 jours.
Normalement vous êtes prioritaires, indique le médecin de l’ARS. On va vous envoyer un sms qui vaut pour ordonnance.

Texto reçu :
ASSURANCE MALADIE : prenez rdv dès maintenant pour réaliser votre test COVID-19. Pensez à retirer vos masques en pharmacie et à vous isoler.

"Fort de ce sms, on pense pouvoir raccourcir les délais. Et bien que nenni. 4 jours minimum. Si le début du traçage (hormis les délais de test) avait l’air bien rodé, son efficacité s’arrête à la réalité des laboratoires qui ne peuvent assumer la quantité trop importante de demandes de test."

Effets collatéraux disproportionnés
Côté travail, Marie est renvoyée à son télétravail. Quant au papa, on lui propose un arrêt maladie d’office, sans qu’il y ait une seule tentative de savoir si le télétravail est possible.

"Pendant ce temps pour le seul jour d’isolement restant, l’adolescente reçoit la consigne de s’organiser pour ses cours en distanciel… Comme si le lycée était en capacité pour une seule élève et un seul jour de prévoir au débotté de l’enseignement à distance. Le confinement nous a montré les limites de l’exercice. La situation devient presque comique."

Les parents à l’isolement et en télétravail se demandent quand ils auront le résultat du test pour pouvoir rassurer leurs collègues qui s’affolent alors que distanciation sociale et port du masque ont été scrupuleusement respectés. Ils se demandent quand ils pourront retourner à des conditions normales de travail.

"4 jours de délais pour le test et 6 jours les résultats. Nous voilà donc à 10 jours. 10 jours d’incertitude pendant lesquels on vous regarde de travers au cas où vous auriez contaminé, on se demande bien comment, un collègue."

Un psychodrame dont on se serait bien passé
Presque 6 mois après le début de l’épidémie en France, Marie se sent plus rassurée par le discours des médecins qui affirment en savoir plus sur les traitements à donner aux cas graves. Mais elle ne comprend pas pourquoi ce traçage nécessaire pour endiguer la propagation du virus n’est toujours pas au point.
"Le constat est affligeant. Le désarroi dans lequel nous laisse cette si mauvaise anticipation s'ajoute au stress de l'incertitude générale provoquée par la crise sanitaire."
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