C'est ce qu'on appelle « Droit dans le tas ! »

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Gilbert Chevalier
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C'est ce qu'on appelle « Droit dans le tas ! »

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Une LOGE MAÇONNIQUE DIRIGE le VATICAN

Interview parue dans le journal Rivarol n°3349


Par Johan Livernette, le 29 octobre 2018

Retrouvez ci-dessous une interview parue dans l’excellent journal Rivarol ( https://www.rivarol.com/ ) le mercredi 24 octobre 2018.

« Depuis plusieurs années, Johan Livernette combat le système judéo-maçonnique par ses ouvrages, ses conférences et son site Internet ( https://lacontrerevolution.wordpress.com/ ). Ce Toulonnais vient de sortir un nouveau livre intitulé Une loge maçonnique dirige le Vatican ( https://johanlivernette.wordpress.com/l ... e-vatican/ ). Un ouvrage qui synthétise la crise dans l’Église depuis la mort de Pie XII il y a soixante ans.

RIVAROL : Pourquoi avez-vous écrit ce nouveau livre ?

Johan LIVERNETTE : La situation à Rome étant alarmante et la crise dans l’Église très grave, il m’a semblé nécessaire d’informer de manière complète sur ce qui s’y passe depuis la mort du pape Pie XII en 1958. Les soixante ans d’église conciliaire sont retracés dans Une loge maçonnique dirige le Vatican, dans un esprit de synthèse. Cela est important car il nous faut aller à l’essentiel, ne pas perdre le lecteur ou se perdre dans des futilités. Ce sujet n’a d’ailleurs rien de futile. Il importe au plus haut point car notre foi et même notre salut en dépendent.

R. : La cause première de cette crise remonte-t-elle au concile Vatican II ?

J. L. : Combiné à l’infiltration juive et maçonnique, le libéralisme est à l’origine de cette crise. Mon livre remonte à l’année 1958 car le concile Vatican II (ou Vatican d’eux) est encore aujourd’hui le cœur du problème. C’est la raison pour laquelle il est analysé en détails sur de longues pages sur la base de ses textes et documents, dans un esprit critique très proche de ceux qui s’y étaient opposés au siècle dernier (Mgr Lefebvre, Mgr de Castro Mayer…). L’aspect révolutionnaire de ce concile est mis en avant. Il est fondamental pour bien comprendre qu’il y a un avant et un après Vatican II. Contrairement à ce qu’a essayé de faire croire le félon Benoît XVI, il n’y a pas de continuité mais une rupture avec la tradition catholique. Ainsi, la considération de l’église romaine actuelle, qui est l’église du dernier concile, s’en trouve changée. La conclusion suivante s’impose : cette église conciliaire de Vatican II n’est pas l’Église catholique.

R. : Accordez-vous une réelle importance à l’infiltration maçonnique au Vatican ? Qu’en est-il de la présence et de l’influence des francs-maçons ?

J. L. : Oui, en effet. Cette infiltration de francs-maçons mais aussi de marranes s’est avérée décisive. C’est simple : pas d’infiltration = pas de révolution. Pas de concile Vatican II, pas de révolution conciliaire, pas d’antipapes à la solde de la synagogue. Le rôle prépondérant de la judéo-maçonnerie du B’naï B’rith est abordé dans le chapitre traitant du concile. Sur ce sujet, les écrits de Léon de Poncins sont très précieux. La charité nous oblige à crier au loup qui s’est infiltré au milieu du troupeau. Surtout quand ce même loup parvient à diriger ce troupeau en le menant à sa perte. C’est ce qui s’est hélas produit dans la cité du Vatican. Dénoncer ce complot judéo-maçonnique contre l’Église est donc une nécessité.

R. : À quand faites-vous remonter cette infiltration maçonnique au Vatican ?

J. L. : Déjà, rappelons que ce plan de destruction de l’Église avait été planifié, par de hauts initiés -dont les Rothschild-, dans les arrières-loges de la Haute-Vente lors de la première moitié du XIXe siècle. Les documents prouvant cette conspiration furent publiés en 1859 par l’historien Jacques Crétineau-Joly dans son livre L’Église romaine en face de la révolution (aux éditions Saint-Rémi : http://saint-remi.fr/fr/judaisme-franc- ... ution.html ). Cette infiltration maçonnique a commencé bien avant le concile. Elle fut déterminante dans le projet de subversion de l’Église romaine. C’est bien connu : l’ennemi agissant à l’intérieur de notre camp est bien plus dangereux que celui qui agit à l’extérieur. Nous n’avons donc pas à ménager nos ennemis. Nous devons les dénoncer sans mettre de gants, très directement, avec le plus de vigueur possible. J’ai consacré un chapitre entier sur cette infiltration maçonnique dans Une loge maçonnique dirige le Vatican. Des listes de francs-maçons ecclésiastiques et des documents importants y sont diffusés. Je pense notamment aux lettres de Marc Winckler et à l’article de Félix Lacointa. Il y a aussi diverses déclarations de monseigneur Marcel Lefebvre, de Malachi Martin et du journaliste Pier Carpi qui sont sans équivoque. Après avoir fait le tour de la question, cela ne fait plus aucun doute : la maçonnerie ecclésiastique a pris la direction du Vatican. Sa mainmise est incontestable. C’est elle qui a permis au lobby LGBT de faire pression sur Rome. Cette maçonnerie ecclésiastique est donc parvenue à noyauter le collège des cardinaux après l’avoir longuement infiltré. Sans elle, nous n’en saurions pas là.

R. : Votre travail s’apparente-t-il à celui de feu Don Luigi Villa ?

J. L. : Un peu oui. Il est étendu à la totalité des chefs de l’église conciliaire. Concernant Paul VI et Jean-Paul II, le travail de l’abbé Villa m’a bien aidé. Ce dernier étant décédé en 2012, il n’a pas connu Bergoglio au pouvoir au Vatican. J’imagine ce qu’il aurait écrit à son sujet s’il était encore vivant ! Après réflexion, Une loge maçonnique dirige le Vatican aurait très bien pu être dédié à cet homme d’Église qui fut un grand combattant contre la franc-maçonnerie ecclésiastique.

R. : Quels objectifs vous êtes-vous fixés avec l’écriture de ce livre ?

J. L. : Dans un premier temps, un objectif de vérités historique et dogmatique, afin d’en finir avec l’église conciliaire issue de Vatican II, après avoir démasqué ceux qui ont opéré cette révolution destructrice. L’idée est de démontrer qu’une nouvelle et fausse religion est professée aujourd’hui à Rome et qu’il faut, plus que jamais, rester fidèle à ce que l’Église (d’avant Vatican II) a toujours cru et enseigné depuis Jésus-Christ et ses Apôtres. S’en référer aux Évangiles bien sûr, à la doctrine de saint Thomas d’Aquin, au concile de Trente, aux encycliques de papes comme Pie IX, saint Pie X, Léon XIII, Pie XI… tout en rejetant les nouveautés des modernistes de Vatican II. Il faut que cette contrefaçon de l’Église s’écroule ! Alors aidons-la à s’écrouler et le plus vite possible !

R. : Quel est, selon vous, le pire des chefs de l’église conciliaire ?

J. L. : Paul VI a fait énormément de mal en clôturant le concile tandis que Jean-Paul II, l’homme d’Assise, a fait beaucoup pour le judaïsme et l’œcuménisme. Ces deux marranes avaient une philosophie centrée sur l’homme. Cela dit, le plus abject de tous est selon moi Jorge Mario Bergoglio. Cet Argentin si anticatholique et si apprécié des juifs est particulièrement effrayant, dans ses actes comme dans ses diverses déclarations. Il est difficile de faire pire que l’infâme François ! Sa grossièreté, ses hérésies et son positionnement pro-migrants devraient avoir au moins une utilité : faire prendre conscience au grand public qu’il n’est en rien le pape de la sainte Église catholique. Le problème est qu’en ces temps d’apostasie, les peuples ne croient plus en rien. Ils ne sont pas formés, n’ont pas de défenses immunitaires. Ils ont de plus en plus de difficultés à distinguer le vrai du faux, le bien du mal, la vérité de l’erreur, la justice de l’injustice, l’authentique de la contrefaçon. Du coup, nos ennemis peuvent se permettre à peu près tout et n’importe quoi, en politique comme en religion. Le plan de destruction de la contre-Église avance sans véritable résistance. Et l’on se demande bien comment tout cela va finir et comment la situation pourra un jour se redresser.

R. : Justement, quelle est la solution à cette crise qui semble insoluble ?

J. L. : Cela passe inévitablement par le rétablissement de la vérité à Rome. Comment et par qui ? C’est une autre question. Car le problème paraît, à vue humaine, insoluble. Prier pour la conversion de Jorge Mario Bergoglio est légitime. Mais ce n’est pas pour autant la solution à tous les problèmes. Car François serait-il pour autant un authentique pape ? En tant que simples laïcs, nous n’avons hélas pas le pouvoir d’écarter tous ces imposteurs du Saint-Siège (Bergoglio en tête) du Vatican. Cela est bien dommage car tous ces francs-maçons ecclésiastiques n’ont rien à faire dans le collège des cardinaux. Tous ces félons font un tort incommensurable à l’Église ! Nous ne voulons pas de ces gens-là. Eux et leurs prédécesseurs conciliaires portent une responsabilité immense dans le désastre actuel. Nul doute qu’ils seront jugés par le Très-Haut à la hauteur de leurs méfaits. A notre niveau, à titre individuel, il est primordial d’appliquer les consignes de Monseigneur Henri Delassus dans La mission posthume de sainte Jeanne d’Arc ( http://saint-remi.fr/fr/vocation-de-la- ... hrist.html ) : prière et pénitence. Tout pouvoir vient de Dieu. Lui seul peut résoudre le problème en intervenant d’une manière ou d’une autre. Les francs-maçons font confiance en l’humain. Faisons confiance à Dieu et œuvrons selon Sa Volonté.

Propos recueillis par Jérôme BOURBON.

Pour commander Une loge maçonnique dirige le Vatican, veuillez envoyer un chèque de 23 euros (frais de port inclus) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante : Livernette Johan, BP 30042, 83040 Toulon cedex 9. »


Source : https://johanlivernette.wordpress.com/2 ... rol-n3349/

Ce livre est également disponible sur Amazon ici : https://www.amazon.fr/Une-Loge-Maconniq ... 2816204294
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