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L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Papes

Publié : mer. 08 nov. 2006 12:06
par Abbé Zins
L'hypocrite et habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Papes :
Mgr L a écrit : « Au cours des séances, nous avons voulu plusieurs fois faire définir des notions ;

on nous a répondu : "Mais nous ne faisons pas ici de dogmatisme, nous ne faisons pas de philosophie, nous faisons de la pastorale".

Qu'est-ce que la liberté ? Quest-ce que la dignité humaine ? Qu'est-ce que la collégialité ?

On en est réduit à analyser indéfiniment les textes pour savoir ce qu'il faut entendre par là

et on ne parvient qu'à des approximations,

car les termes sont ambigu
s.



Et ce n'est pas par négligence ou par hasard ;

Schillebeeckx l'a avoué : "Nous avons mis des termes équivoques dans le concile et nous savons ce que nous en tirerons après".

Ces gens là savaient ce qu'ils faisaient.


Tous les autres conciles qui ont eu lieu au cours des siècles étaient dogmatiques. Tous ont combattu des erreurs.»

(Mgr L., à propos de V 2, Lettre aux catholiques perplexes, p. 140)
Méditons attentivement ces paroles du Pape Saint Pie X :
Saint Pie X, Encyclique [i]Pascendi[/i] a écrit : « Une tactique des modernistes... en vérité fort insidieuse, est de

ne jamais exposer leurs doctrines méthodiquement et dans leur ensemble, mais de les fragmenter en quelque sorte et de les éparpiller çà et là,

ce qui prête à les faire juger ondoyants et indécis, quand leurs idées, au contraire, sont parfaitement arrêtées et consistantes...

A les entendre, à les lire, on serait tenté de croire qu'ils tombent en contradiction avec eux-mêmes, qu'ils sont oscillants et incertains.

Loin de là : tout est pesé, tout est voulu chez eux
...

Telle page de leur ouvrage pourrait être signée par un Catholique ; tournez la page, vous croyez lire un rationaliste...



Et ils vont leur route ; réprimandés et condamnés, ils vont toujours, dissimulant sous des dehors menteurs de soumission une audace sans bornes.

Ils courbent hypocritement la tête, pendant que, de toutes leurs pensées, de toutes leurs énergies, ils poursuivent plus audacieusement que jamais le plan tracé.

Ceci est chez eux une volonté et une tactique : et parce qu'ils tiennent qu'il faut stimuler l'autorité, non la détruire ;

et parce qu'il leur importe de rester au sein de l'Eglise pour y travailler et y modifier peu à peu la conscience commune..

(Saint Pie X, Encyclique Pascendi Dominici gregis, 8/9/1907)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : jeu. 09 nov. 2006 11:48
par Abbé Zins
Pie IX a écrit : « Persévérez dans la foi.. mais ne vous laissez jamais détourner de votre but,

soit par les pièges multipliés de l'erreur,

soit par les discours subtils et mielleux de ceux qui, confiants dans leur propre sagesse,

traitent parfois d'inopportune telle ou telle doctrine de l'Eglise,

croyant avoir trouvé une sorte de moyen terme à l'aide duquel ils pourront amener à de mutuels embrassements

la vérité et l'erreur qui se combattent sans cesse,

estimant comme une oeuvre de prudence de ne s'attacher pleinement ni à l'une ni à l'autre,

de peur que la vérité ne trouble l'erreur dans sa possession,

ou que l'erreur ne dépasse les limites qu'on a cru follement pouvoir lui assigner

(Pie IX, Bref, 2/1875, aux membres des Conférences de Saint Vincent de Paul d'Angers)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : ven. 10 nov. 2006 11:04
par Abbé Zins
Pie VI a écrit : « Nous avons établi de suivre religieusement et prudemment les illustres exemples que nous ont laissés,

pour réprimer de semblables périls et nocives nouveautés,

nombre de Nos très saints Prédécesseurs, comme aussi de très grands Evêques et des Synodes Généraux.

Ceux-ci connaissaient la capacité des novateurs dans l'art de tromper.

Pour ne pas offusquer les oreilles catholiques, ils cherchent à

masquer les entrelacs de leurs tortueuses manoeuvres par des manières de parler trompeuses,

de sorte que, par le choix des termes, l'erreur s'inscrive de façon plus douce dans les âmes,

et que la vérité une fois corrompue par de légers changements ou additions,

la confession de la foi qui opérait le salut
,

conduise par un détour subtil à la mort.


Cette manière de procéder camouflée et mensongère
est vicieuse dans quelque mode d'expression que ce soit.

A plus forte raison est-il impossible de la tolérer dans un synode

dont la gloire principale consiste précisément à enseigner avec limpidité la vérité,

en excluant tout danger d'erreur.


En outre, s'il y a là un péché,

on ne saurait l'excuser, comme on le voit faire, sous le fallacieux prétexte que

les affirmations d'un passage apparaissant choquantes

sont développées à d'autres moments de manière orthodoxe,

et même se trouvent à d'autres occasions dûment corrigées ;


comme si précisément,

cette possibilité d'affirmer et de nier, ou de mettre au goût de chacun

- ce qui fut toujours la frauduleuse astuce des novateurs pour consolider l'erreur -

avait une efficacité non seulement pour promouvoir l'erreur, mais aussi pour l'excuser.»


(Pie VI, Const. Ap. Auctorem fidei, 28/8/1794)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : dim. 12 nov. 2006 16:49
par Abbé Zins
Les Papes dénoncent donc l'habile et hypocrite duplicité des hérétiques.

Les hérésiarques insinuent leurs erreurs

1° sous le voile d'expressions ambigues,

2° en les disséminant au milieu de phrases justes,

3° en réaffirmant en même temps la vérité contraire à l'erreur qu'ils insinuent, ceci :

a) pour donner le change aux esprits simples,

b) pour désarmer la dénonciation de leurs insinuations perverses en pouvant ainsi prétendre en cas de mise en garde qu'on leur fait dire ce qu'ils ne disent pas, et

c) rendre ainsi plus difficile la tâche des défenseurs de la Vérité pour détourner de leurs pièges les âmes innocentes

qui n'imaginent même pas qu'une telle duplicité malicieuse puisse être possible.



Ensuite, les Papes expliquent la seule méthode efficace pour dévoiler ces insinuations ambigues de l'erreur :

dénoncer ouvertement la signification perverse, sans se laisser impressionner ou désarmer par les réaffirmations de la vérité

qui s'y trouvent mêlées pour donner le change,
Pie VI a écrit : « ce que l'on ne saurait excuser.. sous le fallacieux prétexte que les affirmations d'un passage apparaissant choquantes sont développées à d'autres moments de manière orthodoxe, et même se trouvent à d'autres occasions dûment corrigées ; comme si précisément, cette possibilité d'affirmer et de nier, ou de mettre au goût de chacun - ce qui fut toujours la frauduleuse astuce des novateurs pour consolider l'erreur - avait une efficacité non seulement pour promouvoir l'erreur, mais aussi pour l'excuser.

Un artifice très blâmable pour l'insinuation de l'erreur doctrinale

est celui qu'a déjà dénoncé notre prédécesseur Saint Célestin (Ep. 13), en le découvrant dans les écrits de Nestorius, Evêque de Constantinople,

et qu'il mit en évidence pour le réprouver avec plus de sévérité.


Ses textes une fois examinés avec soin, cet imposteur fut surpris et confondu,

tandis qu'il se débattait dans un flot de paroles,

mêlant des choses vraies avec d'autres obscures, confondant à l'occasion l'une et l'autre,

de sorte qu'il pouvait aussi bien confesser des choses niées que posséder une base pour nier les sentences confessées.



Pour mettre à jour de telles embûches,

renouvelées avec une certaine fréquence à toutes les époques,

il n'y a pas d'autre voie que celle-ci :



quand il s'agit de rendre visibles les sentences,

qui sous un voile d'ambiguïté renferment une erreur de sens suspecte ou dangereuse,


il faut dénoncer la signification perverse

sous laquelle se camoufle l'erreur opposée à la vérité catholique.»


(Pie VI, Constitution Apostolique Auctorem fidei, 28/8/1794)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : lun. 13 nov. 2006 12:54
par Abbé Zins
« Aussi, après que ce Synode...

ait fait sortir des ténèbres ce qui s'y tenait caché depuis assez longtemps,

il n'est personne de ceux qui cultivent avec piété et sagesse la souveraine Religion, qui n'ait aussitôt

remarqué en cela le conseil des auteurs qui, après avoir disséminé en de multiples libelles les germes de doctrines dépravées, se sont appliqués à leur donner comme un corps,

et à relever des erreurs proscrites en dérogeant à la foi et à l'autorité exprimées dans les Décrets Apostoliques qui les avaient proscrites
...»


(Pie VI, Constitution Apostolique Auctorem fidei, 28/8/1794)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : mar. 14 nov. 2006 22:26
par Abbé Zins
« L'auteur et le consommateur de la foi, Jésus, étant Celui que l'Apôtre nous ordonne (Hb. 12,2) de contempler,

de songer attentivement avec quelle et combien de patience Il a supporté la contradiction des pécheurs à son encontre,

en sorte que, fatigués par les périls et labeurs, nous ne défaillons point un instant en nos âmes et manquions de nous écrouler.

Il est particulièrement nécessaire de nous armer et de nous réconforter de cette salutaire pensée, quand c'est à l'encontre du Corps même du Christ, qu'est l'Eglise (Col. 1,24),que s'enflamme plus ardemment la furie de l'incendie de cette conjuration qui ne s'éteint jamais :

afin que, réconfortés par le Seigneur et protégés en la puissance de sa vertu par le bouclier de la foi,

nous puissions résister au jour mauvais, et éteindre tous les éclairs de ce feu très impie (Eph. 6,10-16).


Dans cette agitation des temps, en cette occurrence d'événements si perturbant, c'est un grave devoir pour tous les bons

de prendre part au combat contre tous les ennemis, quelqu'en soit le genre, du Nom Chrétien,


plus grave encore pour Nous, à qui a été confié la charge pastorale du soin et de la direction de tout le Troupeau, auquel incombe un zèle plus grand que tous les autres pour la Religion Chrétienne (Saint Sirice, Ep. 1)..


Et en ces épreuves qui arrivent de tous côtés, s'ajoute aux autres douleurs comme un comble, que Nous sommes abreuvé de tristesse là même d'où Nous devrions recevoir des consolations.


En vérité, quand un préposé de la Sacro-Sainte Eglise de Dieu, sous le nom même de Prêtre du Christ

détourne le peuple du chemin de la vérité vers le précipice d'une doctrine dépravée,

et cela dans la grande Ville
,

alors assurément il y a de quoi se lamenter en gémissant et mettre en oeuvre une plus grande sollicitude (Saint Célestin I, Ep. 12).

Car il y a eu, non aux confins de la terre, mais au milieu de la lumière de l'Italie, sous les yeux de Rome, auprès du domaine Apostolique, un Evêque...

circonvenu par la perverse sagesse de maîtres en fourberies,

qui a commencé, en ce qui se rapporte à ce que les précédents Evêques ont promu et fixé en conformité avec la règle ecclésiastique et la louable et convenable forme de l'institution Chrétienne,

non pas, comme il le devait, à les honorer, protéger et perfectionner, mais au contraire,

sous l'apparence d'une fictive réforme, à les perturber, ébranler et renverser complètement.»

(Pie VI, Constitution Apostolique Auctorem fidei, 28/8/1794)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : mer. 15 nov. 2006 11:15
par Abbé Zins
Saint Pie X a écrit : « Ce qui exige surtout que Nous parlions sans délai, c'est que,

les artisans d'erreurs, il n'y a pas à les chercher aujourd'hui parmi les ennemis déclarés.

Ils se cachent et c'est un sujet d'appréhension et d'angoisse très vives, dans le sein même et au coeur de l'Eglise, ennemis d'autant plus redoutables qu'ils le sont moins ouvertement.


Nous parlons, Vénérables Frères, d'un grand nombre de Catholiques laïques, et, ce qui est encore plus à déplorer, de Prêtres, qui, sous couleur d'amour de l'Eglise, absolument courts de philosophie et de théologie sérieuses, imprégnés au contraire jusqu'aux moelles d'un venin d'erreur puisé chez les adversaires de la foi catholique, se posent, au mépris de toute modestie, comme rénovateurs de I'Eglise ;

qui, en phalanges serrées, donnent audacieusement l'assaut à tout ce qu'il y a de plus sacré dans l'oeuvre de Jésus-Christ, sans respecter sa propre personne..

Ennemis de l'Eglise, certes ils le sont, et à dire qu'elle n'en a pas de pires

on ne s'écarte pas de la vérité.

Ce n'est pas du dehors, en effet, on l'a déjà noté, c'est du dedans qu'ils trament sa ruine ;

le danger est aujourd'hui presque aux entrailles mêmes et aux veines de l'Eglise : leurs coups sont d'autant plus sûrs qu'ils savent mieux où la frapper..



Vous n'ignorez pas, Vénérables Frères, la stérilité de Nos efforts ; ils courbent un moment la tête, pour la relever aussitôt plus orgueilleuse.

Ah ! s"il n'était question que d'eux, Nous pourrions peut-être dissimuler ; mais

c'est la Religion Catholique, sa sécurité qui sont en jeu.

Trêve donc au silence, qui désormais serait un crime !

Il est temps de lever le masque à ces hommes-là et de les montrer à l'Eglise universelle tels qu'ils sont...»


(Saint Pie X, Encyclique Pascendi Dominici gregis, 8/9/1907)

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : jeu. 16 nov. 2006 14:13
par Abbé Zins
Saint Ambroise a écrit : « Il est évident qu'ils agissaient ainsi pour transformer l'Evangile du Christ, en changeant la Tradition,

afin que ceux-ci deviennent Juifs sous le nom du Christ.»
(Saint Ambroise in Galates 1,7)
Saint Jean Chrysostome a écrit : « Il s'est servi des termes les plus propres à effrayer, à frapper les Galates.

Ceux qui voulaient les séduire, ne s'y prenaient pas brusquement, mais peu à peu ils les écartaient du fond des choses,

tout en ayant l'air de respecter les noms.


C'est ainsi que le diable s'y prend pour nous tromper, il se garde bien de laisser voir ses pièges.

S'ils avaient dit aux Galates : Reniez le Christ, ceux-ci auraient pensé qu'ils avaient affaire à des séducteurs et se seraient tenus sur leurs gardes.

Mais comme ils leur permettaient, en attendant, de demeurer dans la foi, et qu'ils abritaient leur tentative de séduction sous le nom de l'Evangile,

ils sapaient en toute sécurité l'édifice de la Religion
.


Les mots qu'ils utilisaient, servaient à cacher, comme derrière un voile, leur travail souterrain.

Comme ils donnaient à leurs fausses doctrines le nom d'Evangile, Saint Paul les attaque sur l'emploi qu'ils faisaient de ce mot, et il le déclare sans détour : « Pour passer à un autre Evangile ; non pas qu'il y en ait un autre... ». Réflexion très-juste, car il n'y en a point d'autre.»


(Saint Jean Chrysostome in Gal. 1,6s)
Saint Bruno a écrit : « Eux veulent transformer, « mais même si nous », c.à.d. moi ou même Pierre, « ou un ange » malin venant « du ciel », se montrant sous une apparence resplendissante....

« vous évangélise autrement que nous vous avons évangélisés », qu'il soit apôtre ou ange,

celui-là non seulement j'ose le séparer du Corps du Christ, mais même « qu'il soit anathème »....»


(Saint Bruno in Gal. 1,8 )
Saint Jean Chrysostome a écrit : « Il n'a pas dit : S'ils enseignent le contraire, ou s'ils renversent ma doctrine,

mais : Quand même leur Evangile différerait qu'à peine du mien,

quand même ils ne s'attaqueraient qu'aux parties les moins importantes, qu'ils soient anathèmes.»


( Saint Jean Chrysostome in Galates 1,8 )

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : ven. 17 nov. 2006 10:35
par Abbé Zins
Pour Cevel :

En laissant de côté vos autres accusations gratuites, pouvez-vous me montrer où il y a de "l'antisémitisme" en ce fil ou dans d'autres ?

Est-ce cette explication de Saint Ambroise que vous tenez pour tel ? :
« Il est évident qu'ils agissaient ainsi pour transformer l'Evangile du Christ, en changeant la Tradition, afin que ceux-ci deviennent Juifs sous le nom du Christ.» (Saint Ambroise in Gal. 1,7)


Ferdinand a écrit :
Je m'interpose juste ici pour remercier l'abbé Zins de ces développements très intéressants et complets.
Merci de cet encouragement bien consolant.

Il me confirme qu'à côté de quelques intervenants tapageurs que ces textes d'autorité dérangent,

d'autres lecteurs discrets sont heureux de pouvoir en prendre connaissance.

Re: L'habile ambiguïté des hérésiarques dénoncée par les Pap

Publié : sam. 18 nov. 2006 13:13
par Abbé Zins
Saint Hilaire a écrit : « 5. Afin que l'on n'ignore plus quelle est la nature de ceci, je vais l'exposer brièvement. En raison de la grande bonté de Dieu, les temps sont resserrés. Car l'explication concise en est donnée dans les livres célestes...

Pour rendre ferme l'affirmation de l'erreur, on ne parle de la vérité qu'en termes ambigus, on préfère une opinion incertaine à la vérité : ainsi, le passage est déjà préparé pour l'Antéchrist..

(lui qui, selon l'Apôtre (II Cor. 11,14), par ses ministres se transformant en anges de lumière, abolira de presque toutes les intelligences et les consciences ce qu'il en est du Christ)..

qui se fera frauduleusement passer pour le Christ, au sujet duquel des explications contradictoires sont jusqu'à présent soulevées.

D'où ces opinions variées, d'où sous le couvert de l'unique foi envers le Christ de multiples exposés divers,

d'où récemment l'esprit diabolique d'Arius transfiguré en Ange de lumière, dont l'héritage a passé et est parvenu à tous ceux-ci, à Valens, Ursace, Auxence, Germinius, Gaïus.

Car eux-mêmes ont maintenant introduit un nouveau Christ, sous le couvert duquel l'Antéchrist puisse se glisser.»


(Saint Hilaire, Contra Auxentium)