La Croisade des Zouaves Pontificaux

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Abbé Zins
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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :



- Henri de Chateaubriand, zouave pontifical. Georges V de Chateaubriand "s'illustra dans les Croisades".

- Emmanuel de Kergariou, engagé aux Zouaves Pontificaux le 8 janvier 1867. Guillaume de Kergarion était à la Croisade de 1248.

- Edmond de Lorgeril, engagé le 24 janvier 1861, réengagé le 26 octobre 1867. Alain de Lorgeril était à la Croisade de 1248.


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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :



-Edgard (zouave pontifical le 4 février 1861), et Casimir et Maurice de Raffélis Soissan engagés le 9 novembre 1867) étaient d'une famille de Croisé.

- Henri de Rougé, engagé aux Franco-Belges le 13 décembre 1860. Olivier de Rougé était à la Croisade de 1248.

- Henri du Roure, engagé aux Zouaves Pontificaux le 8 mars 1867. "Albert d'Aix nous apprend que Host de Roure accompagna Raymond de Saint-Gilles dans la première Croisade et qu'il fut tué à Ramla."

- Anatole de Villeneuve Bargemon, engagé aux Zouaves Pontificaux le 22 novembre 1867. Il est issu d'une illustre famille de Provence qui compte parmi ses membres : Raymond de Villeneuve, qui participa à la huitième Croisade et devint chancellier de Philippe, Empereur de Constantinople en 1273 ; Hélion de Villeneuve, qui fut grand maître de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem au quatorzième siècle.


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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :



- Emmanuel de Riancey, engagé en 1867. Oscar de Poli (1) rapporte à son sujet : « Du côté maternel, les Riancey sont les derniers descendants des sires de Tournebroche, Comtes de Bourval, Vicomtes de Valmont,Barons de Sainte Marguerite etc.

La tradition veut qu'un d'eux ait été des Chevaliers qui délivrèrent Louis VII à la Croisade, quand le Roi combattait seul contre sept Sarrasins.... Heureuses les maisons où, de père en fils se lègue, chaque fois plus glorieuse, l'arche sainte des traditions de famille ! »
.


- Antoine de Bermond, engagé en 1861. « Pierre de Bermond, un des ancêtres du jeune zouave, qui avait épousé Constance de Toulouse, fille du Comte Raymond, et qui s'illustra aux Croisades, avait inscrit ces mots sur sa bannière : Plus fidei quam vitae - belle devise qui ne reste pas lettre morte.» (2)



(1) "Les soldats du Pape", 4e. Ed. p. 284.

(2) ibid. p. 285.


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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :



- Charles de Lambilly, au service du Saint-Siège de 1852 à 1870 !

« Le Comte Charles de Lambilly, chef de bataillon au régiment des zouaves (en 1867), appartient à une maison d'ancienne chevalerie bretonne, alliée aux maisons de Beaumanoir, de Quélen, de Vauguyon, de la Forest d'Armaillé, de Ferron du Quengo, de Troguindy, de Harscouet de Saint Georges, de Roquefeuil, de Sesmaisons, de Piré de Rosnyvinen, de la Motte-Rouge, etc. Le sire de Lambilly se trouvait au nombre des Croisés bretons qui suivirent saint Louis en Palestine en 1248 ; le Croisé de Castelfidardo et de Mentana ne peut rien envier à son illustre ancêtre.» (1)


- Georges (qui servit en 1860) et Gabriel de Villiers de l'Isle-Adam (engagé en 1867).

« Gabriel de Villiers de l'Isle-Adam, digne descendant d'un grand maître de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem, et digne frère de ce Georges de Villiers, -qui eût inventé la bravoure si elle n'existait pas,- va prendre dans le régiment des zouaves, la place si bien remplie à Castelfidardo par son frère.» (2)

Le grand maître Villiers de l'Isle-Adam fit avec 600 Chevaliers, 5.000 soldats et l'aide de la population de Rhodes une résistance acharnée contre l'invasion de l'île en 1522 par les 140.000 hommes de l'armée de Soliman le Magnifique. Sa prouesse lui valut la considération du Sultan qui, au lieu de réduire en esclavage les vaincus, accepta de les laisser partir avec les honneurs de la guerre.



Le XVIe Siècle est loin de la première Croisade. Mais n'est-ce pas toujours la même lutte entre les deux Cités ?



(1) Oscar de Poli, "Les soldats du Pape", 4e. Ed. p. 246.

(2) ibid. p. 286.


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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :



- Paul Ferlet de Bourbonne, « dont un des ancêtres fit, avec saint Louis, la Croisade de 1248 ». (1)


- Urbain de Quélen, engagé en 1861.

« Urbain de Quélen devait mourir des huit blessures qu'il reçut à Monte-Libretti. Digne héritier d'une ancienne maison chevaleresque de Bretagne, digne fils des Croisés et de ce Jean de Quélen qui fut le compagnon de du Guesclin, ce noble enfant devait sortir de la vie à son premier pas dans la jeunesse, mais non sans avoir donné à son nom un grand et nouvel éclat, une ineffaçable illustration.»

Quatre Quelen servirent dans la Croisade de 1248. Trois frères périrent à "La Massoure".

Quatre fils du survivant participèrent avec leur père au siège de Tunis. Trois y succombèrent !



(1) Oscar de Poli, "Les soldats du Pape", 4e. Ed. p. 295.

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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :



- Victor de Vigier de Mirabal, Volontaire de 1860. Voici un texte instructif cité par Oscar de Poli (1), concernant la famille de Mirabal et ses liens avec les Croisades :

« Tous les renseignements contenus dans ce chapitre sont empruntés à l'intéressant travail d'un homme de coeur, d'esprit et de foi, le Révérend Père Rigaud, directeur du grand séminaire de Poitiers, auteur de savants et émouvants ouvrages sur Rome et Jérusalem.

Ce travail porte pour titre : Hier et aujourd'hui.

« Nous étions dernièrement à Paris, dit le pieux écrivain, au sein d'une famille poitevine, naguère encore florissante, éprouvée maintenant par de cruels revers de fortune, mais conservant dans l'adversité les principes religieux qui élèvent l'âme et la consolent, en lui donnant des espérances meilleures que celles de la terre.

Des biens de ce monde, cette famille ne possède plus guère que deux choses : son vieil honneur chevaleresque et son livre généalogique.»



(1) Oscar de Poli, "Les soldats du Pape", 4e. Ed. p. 362s

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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :


Nous avons feuilleté ce livre illustré par les plus grands noms de la vieille France, et nous y avons trouvé la pièce suivante, qui nous a paru intéressante à divers points de vue.

C'est un testament portant la date de 1335, conservé dans son intégrité, et dont le style seulement a été rajeuni.


« Testament de très noble et très puissant homme Baudoin de Vigier de Mirabal, chevalier seigneur de Vigier, de Ronfort et autres châteaux.

Sachent tous que j'ai écrit mon testament de ma propre main, et que j'en ai donné un exemplaire à chacun de mes enfants, afin que, par une certaine émulation, ils servent mieux le Roi et la Religion.

On m'a imprimé le sceau de la Sainte Trinité, et je veux mourir dans l'Eglise Catholique, comme je l'ai promis et le promirent mes aïeux, qui, depuis le Baptême du grand Clovis, suivirent et protégèrent la Religion, non seulement en défendant les Gaules sous Charles Martel, mais en triomphant de l'Asie et de l'Afrique sous nos Rois qui, ayant passé la mer, abattirent les Sarrasins par de grandes et innombrables victoires.

Je donne à Roger, mon fils aîné, la baronnie de Vigier en entier, et, de plus, tous les biens que je possède sur les confins de la Belgique.

A Robert, mon second fils, je donne le château de Ronfort, en entier, avec tous les biens que j'ai à la gauche de la Loire, et à Charles, mon troisième fils, le château de Saint-Martin, avec les biens qui sont à la droite de la Loire.

Mais si Roger ne suivait pas notre Roi Philippe de Valois au Royaume de Jérusalem, pour quelque raison que ce soit, de maladie ou de mort, je donne la baronnie à Robert, à la même condition, et je lui substitue pareillement Charles, voulant que les barons de Vigier se dévouent à la Croix et aux Lys dans la suite comme auparavant.

Allez donc, chers fils, à travers les mers, chercher les traits et les ennemis ; suivez votre magnanime général, et n'ayez point honte de verser le sang humain ; car vous portez une guerre sacrée.

Mais je n'ai pas employé l'expression qui convient : non, vous ne portez pas, vous repoussez la guerre.

Originaires d'Asie, les Sarrasins, après avoir soumis l'Afrique et l'Espagne, semant le ravage dans la France avec des armées de barbares féroces, parvinrent jusqu'à ce fleuve (la Loire), et quoique entièrement écrasés près de Tours et en d'autres endroits, battus par terre et par mer, ils occupent encore les Espagnes, d'où, après avoir levé de nouvelles armées, ils reviendront de nouveau nous attaquer à l'improviste.

Car il est notoire à tous que les Sarrasins, par un orgueil affreux, se destinent à l'empire de l'univers. Il ne s'agit donc pas de savoir si vous aurez la paix ou la guerre, mais si vous aimez mieux porter ce fléau chez vos ennemis que de l'admettre chez vous, où vos pères furent réduits de combattre pour leurs autels et pour leurs foyers.

Vous devez mes chers fils, être encore poussés par un motif d'émulation, vu que dans nos armes il nous a été accordé des Lys comme symbole de fidélité, avec cette inscription : nusquam liliis defuit.

Et assurément vous manqueriez aux Lys, si vous ne suiviez pas notre Roi à la guerre d'outre-mer.

Mon frère, Robert de Vigier, Chevalier de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, vous y conduira ; je vous y conduirais moi-même, mes chers fils ; mais vous savez que je suis hors d'état de servir, depuis que je fus percé de traits à Cassel, lorsque j'arrachai mon père, environné par l'armée des Belges et blessé à mort.

Je veux que mon corps soit porté dans l'église de Vigier, près du corps de mon père, Herbert de Vigier, en son vivant Chevalier, Baron de Vigier, où tous mes ateux paternels, Chevaliers et Barons de Vigier, depuis l'abjuration des idoles, ont été inhumés, excepté Guyon, quartateul depuis mon père, qui mourut en Asie, consumé par la fièvre, pendant le siège de Damas, sous Louis le Jeune.

Je veux être enterré avec le luminaire, les cérémonies et les prières accoutumés, tant avant qu'après la sépulture.

Et je munis le présent testament de mon seing. Baudoin.


Au château de Saint-Martin, le ler. juin de l'an 1335.»



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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :


« Deux choses nous paraissent surtout dignes de remarque dans ce testament ; d'abord l'idée politique si nettement exprimée à propos des expéditions d'outre-mer.

On sait que les historiens révolutionnaires, et par conséquent hostiles à la vieille France Catholique, n'ont vu dans les Croisades que le résultat du fanatisme religieux, et dans les Chevaliers que des pourfendeurs grossiers et d'ignorants coureurs de prouesses et d'aventures guerrières.

La pièce que nous venons de citer prouve le contraire. Indépendamment des motifs religieux qu'elle formule avec tant de noblesse, elle présente des idées politiques de l'ordre le plus élevé : c'est la France, c'est la Chrétienté tout entière qu'il s'agit de sauver de la barbarie, en attaquant chez lui un ennemi aussi ambitieux que redoutable.

Les principales considérations invoquées par les historiens catholiques pour venger l'honneur des Croisades, sont indiquées d'une manière très explicite dans le testament du vieux Chevalier du XIVe. siècle.

La seconde chose qui nous a frappé dans ce document, c'est le dévouement à la cause de Dieu et de l'Eglise, dévouement manifesté énergiquement par le tribut volontaire du sang.

Le Chevalier Baudoin compte des Croisés parmi ses ancêtres ; il veut que cette tradition se perpétue dans sa famille, que les Barons de Vigier se dévouent à la Croix dans la suite comme auparavant ; c'est pourquoi il impose solidairement à ses fils l'obligation de s'enrôler dans la guerre sainte.

Le projet de Croisade de Phillippe de Valois n'ayant point eu de suite, la dernière volonté de Baudoin de Vigier ne fut point exécutée alors ; mais elle l'a été de nos jours par l'un de ses descendants après un laps de cinq cent ans.

Nous parlons d'évènements contemporains : oui, nous avons sous les yeux une véritable Croisade ; seulement, l'ennemi et le théâtre de la guerre ont changé.

Ce n'est plus l'islamisme qu'il s'agit de combattre, mais la révolution ; ce n'est plus Jérusalem qui est l'objet de la lutte, mais Rome.»


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2) Les descendants de Chevaliers Croisés :


« Cette Croisade, la plus sainte de toutes, a commencé en 1860.

A cette époque fut réalisé le voeu magnanime exprimé dans le testament ci-dessus.

Le Baron Victor de Vigier de Mirabal, à peine âgé de 16 ans, s'engagea au service du Saint-Père, et, depuis sept ans, son dévouement ne s'est pas démenti.

Soldat de Castelfidardo et de Bagnorea, où il vient de recevoir une glorieuse blessure, il a vaillamment fait son devoir.

Le jeune Croisé du XIXe.S. va prendre lui-même la parole, dans deux lettres destinées aux intimes communications de la famille et de l'amitié.

On y verra fidèlement suivie la tradition des ancêtres, et la réalisation de cette maxime : NOBLESSE OBLIGE.

Nous croyons inutile de dire que ce même hommage doit être rendu à la plupart de ses compagnons d'armes.».


Dans la suite, nous aurons l'occasion de citer des passages des courriers qu'il écrivit à sa famille.


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3) Similitudes de noms avec des Chevaliers Croisés :


— Roger de Beaufort, engagé aux Zouaves Pontificaux le 26 novembre 1867, appartient-il à la maison de Beaufort ou Beauffort qui fournit des soldats aux Croisades et des Chevaliers aux Ordres du Temple, de Malte, de Rhodes et de Saint Jean de Jérusalem ?

— Louis et Maurice d'Andigné, engagés en 1867, sont-ils parents de Jean d'Andigné qui était à la Croisade de Philippe-Auguste ?

— Auguste (engagé aux Franco-Belges le 13 septembre 1860), Eugène, Gaston et François de Chabannes (engagés aux Franco-Belges et aux Zouaves Pontificaux respectivement les 1 et 8 décembre 1860 et le 8 mars 1867) sont-ils des descendants de Gui de Chabannes, Chevalier de la Croisade de 1248 ?


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