LE SECRET DIABOLIQUE DE LA MESSE DE PAUL VI - Dr. Franco Adessa (collaborateur du Père Luigi Villa)

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Re: LE SECRET DIABOLIQUE DE LA MESSE DE PAUL VI - Dr. Franco Adessa (collaborateur du Père Luigi Villa)

Message par InHocSignoVinces »

Le 2 mars 1939, Pacelli devint le pape Pie XII et Montini
conserva sa charge à la Secrétairerie d’État, aux côtés de Mgr
Domenico Tardini.


En 1939, en Pologne, à cause de la haine qu’il ressentait envers
les Allemands et l’Allemagne, Montini exposa un point de
vue du Vatican
tout à fait personnelconseillant à la Pologne
d’ouvrir le feu sur l’armée allemande.



Lorsque la guerre éclata, Montini organisa le Service de Recherches
et d’Informations pour les prisonniers de chaque Pays
et la Commission pour les Secours qui deviendra ensuite la
Commission Pontificale d’Assistance.


Pendant toute la durée de la guerre, Montini, prêtre diplomate le
jour et intriguant la nuit, aura des relations étroites avec le personnel
des services d’intelligence militaire de l’Office of Strategic
Services
(OSS) (le précurseur de la CIA) de même
qu’avec le personnel des services de renseignement britannique
et soviétique. L’Office of Strategic Services (OSS), en
échange, s’engageait à remplir de dollars le trésor du Vatican,
ainsi que les caisses de la Mafia sicilienne et de la Franc-maçonnerie,
pour accélérer l’invasion de la Sicile.


Montini était chargé d’obtenir des renseignements, à travers
les jésuites du Japon,
dont les alliés se servirent pour identifier
les objectifs stratégiques à bombarder dans ce pays.

(*Nota: ahora se entiende mucho mejor la predilección de
Montini por su gran amigo y espía el Padre Arrupe, a quien premió
haciéndole Prepósito General de los Jesuitas poco tiempo después
de usurpar el papado)



En 1943, Montini perdit ses deux parents: le 12 janvier mourut
son père; le 15 mai, sa mère.


Montini dédia une pierre tombale à sa mère, dont il fut lui-même
l’auteur, sur laquelle figure une composition de symbolisme
ésotérique qui témoigne d’une terrible réalité:
la prédestination
de Mgr. Montini comme patriarche du monde, Chef
des Illuminés de Bavière ou mieux, la Deuxième Bête de
l’Apocalypse de saint Jean.



A SUIVRE...
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Message par InHocSignoVinces »

En 1944, à la mort du Card. Maglione, Pie XII ne nomma pas
de nouveau Secrétaire d’État, et ainsi Mgr. Montini et Mgr.
Domenico Tardini restèrent pro-Secrétaires d’État jusqu’en
1954, date à laquelle Montini fut chassé de Rome par le pape
Pie XII en personne.



En été 1944, à l’insu de Pie XII, Mgr. Montini entama des négociations
de haut niveau avec les communistes italiens. Son
objectif était de former une alliance entre le parti démocrate
chrétien, les socialistes et les communistes.
Le 10 juillet 1944,
eut lieu une rencontre entre Mgr. Montini et Palmiro Togliatti,
le leader incontesté du Parti Communiste italien. Ce fut le premier
contact entre le Vatican et un chef du communisme.



En 1945, à la veille de la conférence de Yalta, Mgr. Montini
rencontra le communiste Eugenio Reale dans le but d’organiser
une rencontre entre Togliatti et le Pape.


Tandis que Mgr. Montini donnait libre cours à son antifascisme
dans ses contacts secrets avec de hauts représentants du
communisme, sa famille manifestait cette passion politique de
gauche d’une manière encore plus troublante.



Dans un article écrit par l’avocat Salvatore Macca, ancien
président du tribunal de Brescia, intitulé: “Les Montini aidèrent
le terroriste communiste Speziale à tuer les gens avec
des bombes”,
on lit des informations sur l’activité du partisan
communiste Leonardo Speziale, qui, avec des antécédents et
des condamnations pénales pour crimes de sang, blessures et
meurtres volontaires, s’évada de prison en France et rentra en
Italie pour s’installer à Brescia, chez la famille Montini. Le 31
octobre 1943 à Brescia, Speziale avec une bombe provoqua la
mort du directeur de la prison judiciaire, père de cinq enfants, et
d’un soldat de dix-neuf ans, tous deux déchiquetés par l’explosion,
et puis il regagna la maison de Montini pour le dîner.



Voici la version de Speziale sur l’hospitalité des Montini: «Maman
et papa Montini savaient que j’étais l’un de ceux qui
mettaient les bombes dans les casernes des nazi-fascistes –
j’en ai moi-même fabriqué beaucoup chez eux – et pourtant ...
ils m’ont gardé chez eux continuant à m’offrir l’hospitalité mais
surtout solidarité et affection. Catholiques étaient également
les membres de la famille dans l’atelier desquels, comme je
l’ai déjà rappelé, on confectionnait les bombes que nous utilisions
lors des attentats. Ils le faisaient parce qu’ils étaient
convaincus de ce choix, conscients du risque qu’ils couraient.
Pas du tout des exaltés!”. (...)



Il explique encore, ce Speziale, qu’à Valtrompia il avait réussi à
former un premier groupe de partisans, “numériquement fort
mais mal équipé ... qui fut pourvu du nécessaire grâce à la précieuse
collaboration des frères Giacomino et Franco Montini
della Stoccheta».



Le terroriste Leonardo Speziale reçut par la suite le prix de ses
activités: le 26 décembre 1944, il fut nommé inspecteur militaire
pour la Vénétie, poste qu’il exercera jusqu’à la fin du
conflit.


A SUIVRE...
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Message par InHocSignoVinces »

A cette époque, dans la région de la Vénétie, on note la présence
continue de l’homme de confiance de Mgr. Giambattista Montini:

Loris Capovilla, qui, ordonné prêtre le 23 mai 1940, après
le 8 septembre 1943 collabora avec la Résistance partisane.
Don Loris Capovilla, avec les lettres de créance de son frère
chef de la cellule communiste de Mestre, se retrouva enfoncé
jusqu’au cou dans un passé sombre de violences liées à la
guerre civile dans le nord de l’Italie.



Dans la période 1944-1945, Don Capovilla deviendra le noir
ange gardien de Mgr. Angelo Roncalli, gérant un enchevêtrement
d’affaires et d’activités politiques clandestines.



Après la guerre, selon un rapport secret des services de sécurité
de la Fiat,
l’action politique de Capovilla prit forme et, grâce
aux syndicats et au parti communiste italien, commença à
occuper une place prépondérante dans le processus de communistisation
de la Nation italienne, de “l’ouverture à gauche” au glissement
à gauche de l’ensemble du bloc occidental des pays européens.



Le 11 avril 1953, le corps de Wilma Montesi fut retrouvé sur
une plage au sud de Rome, léché par les vagues. L’affaire
“Montesi” éclata lorsqu’on découvrit que la jeune fille avait
participé à une messe noire suivie d’une orgie dans un domaine
de chasse aux environs de Rome.



Le marionnettiste de ce scandale était le marquis Ugo Montagna,
que Guy Carr, l’un des principaux spécialistes de la francmaçonnerie,
identifia comme le chef politique des Illuminés de Bavière en Italie,
chargé de contrôler Mussolini et d’attendre le moment propice pour
imprimer un virage à gauche dans la politique italienne.


En 1954, le “Cas Montesi” disparut de la circulation, mais, suite
à la mise en accusation de Pietro Piccioni, il eut pour résultat
de couper court à la candidature à la présidence de la démocratie
chrétienne de son père, Attilio Piccioni, qui «... en tant que
secrétaire démocrate-chrétien, dirigea la campagne électorale
fatidique de 1948, luttant courageusement contre le
danger communiste ...».



L’Italie était prête pour “l’ouverture à gauche ” tant souhaitée
par Mgr. Giambattista Montini. « Avec l’Église qui se mettait de
façon inattendue au service de Karl Marx » ,
il arriva que
«Amintore Fanfani, fortement inspiré par Mgr. Loris Capovilla
fut chargé de développer le programme de “l’Ouverture
à gauche” en Italie».



A SUIVRE...
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Dans la période 1944-1945, Don Capovilla deviendra le noir
ange gardien de Mgr. Angelo Roncalli, gérant un enchevêtrement
d’affaires et d’activités politiques clandestines.
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Message par InHocSignoVinces »

Montini était prêt à promouvoir le “virage à gauche” de la politique
italienne, qu’il comptait mener avec ses hommes du parti
Démocrate-Chrétien, parti auquel lui-même et toute sa famille
s’était dévoué religieusement, mais un événement inattendu se
produisit.



L’expulsion de Mgr Giambattista Montini de la Secrétairerie
d’État, le 1er novembre 1954, et le silence significatif de
Pie XII à son égard, après sa nomination comme archevêque
de Milan, créa une situation nouvelle pour Montini et pour
la Haute Franc-Maçonnerie. Montini en fut secoué. Le prédestiné
de la Haute Franc-Maçonnerie à occuper le trône de
Pierre et le sommet de l’Ordre des Illuminés, avait été exilé
et avait la porte barrée au cardinalat et donc à la papauté.



Au début de 1955, commença la correspondance épistolaire personnelle
de Montini avec Mgr. Roncalli. Pour la Haute Franc-
Maçonnerie, le seul moyen était d’amener Roncalli à la papauté
pour résoudre le problème du cardinalat de Mgr. Montini,
ce qui lui ouvrirait ensuite la voie au pontificat.



En 1956, Don Luigi Villa, lors de sa première rencontre avec
Padre Pio, reçut la mission de consacrer toute sa vie à la défense
de l’Église du Christ contre les oeuvres de la Franc-Maçonnerie
ecclésiastique et, après avoir reçu le mandat pontifical de Pie
XII
pour ce travail, il se mis à disposition du Card. Ottaviani,
préfet du Saint-Office, du Card. Parente et du Card. Palazzini.


L’intervalle entre l’expulsion de Mgr. Montini de la Secrétairerie
d’État et la mort de Pie XII fut très délicat pour la Franc-Maçonnerie,
car Pie XII risquait de rester en vie trop longtemps.


Voici la version de Don Villa sur ce qui se disait et ce qui se savait
au Saint-Office: «Nous pensons que Pie XII a été tué
pour deux raisons:
si Pie XII avait vécu encore un an et demi,
le plan de la Franc-Maçonnerie mondiale de mettre à la
tête de l’Église leur homme Montini aurait fait naufrage. Pie
XII, en 1960, aurait certainement publié le Troisième Secret de
Fatima, qui contenait la phrase suivante:
«Satan parviendra
effectivement à s’introduire jusqu’au sommet de l’Église»;

de plus, la Franc-Maçonnerie n’aurait pas pu imposer Roncalli
en tant que “pape de transition” car, à cette époque, il souffrait
déjà d’un cancer et on ne lui avait donné que cinq ans de
vie. Et Montini ne serait jamais devenu cardinal et donc pas
non plus pape».



Revenons maintenant au “Cas Montesi”: «Le Vatican fut également
effleuré par la crise, car on découvrit que l’aventurier
Montagna était intime du médecin personnel du pape,
Riccardo Galeazzi Lisi (qui sera chassé des sacrés palais pour
avoir photographié Pie XII en train de mourir et pour avoir vendu
les images à un hebdomadaire à scandale
)».



Mais c’est Ugo Montagna qui organisa la messe noire et l’orgie
bacchanale qui a suivi, accompagnée d’actrices-prêtresses anglaises,
françaises, américaines et italiennes, qui causa la mort
de Wilma Montesi et il
“utilisait le chantage pour forcer de
nombreuses personnes à céder à la volonté de ses maîtres,
les Illuminés”.



Et quel traitement les Illuminés pouvaient-ils réserver à un Pie
XII qui, s’il était resté en vie encore un an et demi, aurait pu saper
leur projet suprême de placer leur chef sur le trône de Pierre ?



Nous en venons à nous poser la question suivante: Mgr. Montini,
qui devait devenir le chef suprême de l’ordre des Illuminés
de Bavière et s’asseoir sur le trône de Pierre, et qui avait comme
obstacle un Pie XII pouvant survivre jusqu’en 1960,
connaissait-
il le marquis Ugo Montagna ?
Mgr. Montini savait-il que
Riccardo Galeazzi Lisi était un intime de Montagna ? Était-il au
courant de l’utilisation faite par Montagna de ses messes noires
et de ses orgies bacchanales pour exercer son chantage sur
ses “intimes” ?



Dans le livre de Franco Bellegrandi: “Nichitaroncalli-Controvita
di un Papa”,
nous lisons cette phrase: «On allait encore
plus loin, en avançant que le Monseigneur (Montini) avait
même assisté à certaines messes noires.
C’est le père Lombardi
qui a annoncé la nouvelle au pape Pie XII».



A SUIVRE...

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Le marquis Ugo Montagna, principal
Agentur des Illuminés en Italie, avait une
influence considérable sur le médecin personnel
de Pie XII, Riccardo Galeazzi Lisi,
un grand pouvoir de chantage pour l’avoir
entraîné dans des messes noires et des orgies
bacchanales organisées par lui.
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Message par InHocSignoVinces »

Dans un article daté du 22 juin 2008, d’Alberto Bertotto, on
parle d’une confidence de la fille de Pound, Mary de Rachelwitz,
au professeur Antonio Pantano, à savoir que la mission
homicide des killers USA qui devaient tuer Benito Mussolini
aurait été organisée par Angleton, suite à un “input” du
pro-secrétaire d’État Vatican, Mgr. Giovanni Battista Montini,
“secondé par son fidèle Togliatti”.



J.J. Angleton avait assumé la charge de chef du X-2, le bureau
italien du contre-espionnage de l’OSS (Office of Strategic Services)
de 1944 à 1947, et il était notoire qu’il utilisait abondamment
le réseau d’informations qu’avait mis en place le Saint-
Siège: un service de renseignement qui, à cette époque, était
dirigé par le “pieux” Monseigneur Giambattista Montini.



L’un des plus grands experts de la conspiration des Illuminés,
Guy Carr, dans son livre “The Red Fog over America”, écrit:
«On sait qu’Ugo Montagna, à l’arrivée des forces alliées, et en
vertu de son “amitié”, organisa la fuite de Mussolini et la de Petacci.
(...) Cependant, il les trahit secrètement, en les livrant à
un Illuminé du parti communiste, qui les fit intercepter ...».



À la lumière de ces faits, il nous est maintenant plus difficile de
penser que Mgr. Montini ne connaissait pas le marquis Ugo
Montagna ...



Le pape Pie XII mourut le 9 octobre 1958.


Le 26 octobre 1958, les princes de l’Église élirent le cardinal
Giuseppe Siri de Gênes successeur du Pape Pie XII.
Le nou-
veau Pape accepta la charge, devenant le 262ème vicaire du
Christ, et informa les Cardinaux qu’il avait pris le nom de Grégoire
XVII.
Puisque, conformément au droit canonique, la démission
d’un pape dûment élu et ayant accepté la charge est
nulle, Grégoire XVII est resté le véritable Vicaire du Christ
jusqu’à sa mort en 1989. (*Nota: esta información final yo
personalmente la encuentro difícil de creer por completo, pero
aquí simplemente me limito a exponer lo que dice el artículo)



Mais les Illuminés avaient d’autres préférences et d’autres programmes.
À ce propos, rappelons la révélation faite à Franco
Bellegrandi
par le comte Paolo Sella di Monteluce, économiste,
homme politique, écrivain et journaliste:

«En septembre 1958, environ sept ou huit jours avant le conclave,
je me trouvais au Sanctuaire d’Oropa, lors d’un des dîners
habituels du groupe d’Attilio Botto (...). Ce jour-là, un personnage
que je connaissais comme une haute autorité maçonnique
en contact avec le Vatican était invité. Il me dit que “... le
prochain pape ne serait pas Siri, comme on le murmurait dans
certains cercles romains, car c’était un cardinal trop autoritaire.

Un pape de conciliation serait élu, le patriarche de Venise
Roncalli avait déjà été choisi.


A la question: “Choisi par qui ?” “Par nos Francs-Maçons représentés
au Conclave”,
me répondit sereinement la haute autorité
maçonnique.
“Il y a des Francs-Maçons au Conclave ?”.
“Bien sûr, répondit-il, l’Église est entre nos mains”.
“Alors qui est-ce qui commande dans l’Église ?”.

Après un bref silence, la voix de la haute autorité maçonnique
scanda; “Personne ne peut dire où sont les sommets. Les
sommets sont occultes”.


Le lendemain, le comte Sella transcrivit dans un document officiel,
qui est maintenant dans le coffre-fort d’un notaire, les nom
et prénom de ce personnage et son étonnante déclaration avec
l’année, le mois, le jour et l’heure. Ce qui quelques jours plus
tard s’avéra tout à fait exact».



A SUIVRE...
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Re: LE SECRET DIABOLIQUE DE LA MESSE DE PAUL VI - Dr. Franco Adessa (collaborateur du Père Luigi Villa)

Message par InHocSignoVinces »

Sous quelles menaces a-t-on obligé le Pape Grégoire XVII à
démissionner ? La version officieuse était celle de menaces de
mort contre le cardinal Giuseppe Siri et de l’extermination
de toute sa famille, mais la plus efficace était celle de l’extermination
de tout le sommet de la hiérarchie ecclésiastique. La
bombe atomique existait déjà et ses effets avaient été démontrés
les 6 et 9 août 1945 au Japon.


Le premier essai nucléaire des États-Unis eut lieu le 16 juillet
1945 dans un lieu appelé “Trinity”!

Rappelons-nous qu’en mars 1945, le Japon avait communiqué
sa capitulation sans condition aux États-Unis qui,
ignorant
toutefois cette capitulation, continuèrent à bombarder les
villes japonaises car le gouvernement Roosevelt voulait prolonger
la guerre pour développer la bombe atomique et l’essayer
ensuite sur la “race jaune” et donc démontrer au monde
entier le pouvoir et les capacités de destruction acquis par les
États-Unis.


Le 6 août 1945, vers 8 h 15, la première bombe atomique jamais
larguée dans l’histoire de l’humanité, explosa à une altitude
de 580 mètres au-dessus du centre d’Hiroshima. En
quelques instants, la ville fut réduite à une plaine aride. Trois
jours après seulement, le 9 août, une nouvelle bombe atomique
de plus grande puissance fut larguée sur Nagasaki, ville déjà
frappée par des bombardements incendiaires et construite sur
une série de collines qui limiterait l’efficacité de la bombe atomique.

Cette seconde bombe était destinée à frapper Kokura, l’un des
principaux arsenaux de la marine japonaise,
et alors pourquoi
fut-elle larguée sur Nagasaki,
alors que le président Truman,
dans son journal, avait écrit de ne l’utiliser que sur des objectifs
militaires ? D’après les recherches effectuées, il semble que pour
le bombardement atomique de Nagasaki, il n’y a officiellement
aucun responsable au-dessus du grade de “colonel”!


Avec vingt-quatre heures de retard, le président Truman envoya
un nouvel ordre à l’aviation: “désormais, aucune bombe ne devrait
être larguée sans son consentement explicite”.


Quelle blague!

70% des catholiques japonais vivaient à Nagasaki. Nagasaki
et Hiroshima étaient les villes dans lesquelles vivaient
presque tous les catholiques du Japon.
Ainsi, les
deux premières bombes atomiques américaines ont été
bien sûr larguées sur la “race jaune”, mais POUR TUER
PRESQUE TOUS LES CATHOLIQUES DU JAPON !


Quelle était donc la véritable intention de ces deux premières
bombes atomiques larguées sur le Japon et dont
personne dans les hautes sphères, ne voulait s’assumer la
responsabilité ?



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Message par InHocSignoVinces »

Herbert George Wells, porte-parole éternel de l’establishment
anticatholique, publia son livre “Crux Ansata”
dans lequel il préconisait ouvertement la destruction du
Vatican: «Pourquoi ne bombardons-nous pas Rome? ...
Un bombardement total (comme celui de Berlin) de la
capitale italienne semble non seulement souhaitable, mais
nécessaire».



En fait, pendant la Seconde Guerre mondiale, les bombes
alliées frappèrent le Vatican à deux reprises. Alors, le pape
Pie XII rassembla les cardinaux et leur conseilla de
se préparer à lui élire un successeur en dehors de l’Italie
au cas où il serait tué.


En mai 1945, le conflit armé en Europe avait pris fin, mais
les tactiques d’intimidation violentes exercées par les
ennemis de l’Église contre le pape ne s’arrêtèrent pas
avec la fin de la guerre.


De nombreux faits indiquent que, depuis 1949, les puissances
séculières tentaient d’intimider le pape Pie XII
sous la menace d’une bombe nucléaire sur le Vatican
pour contraindre à un changement dans l’enseignement
de l’Église, qui faisait obstacle au programme du
gouvernement émergeant de l’Antéchrist.



Dans le cadre de l’offensive de la franc-maçonnerie contre
l’Église, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale,
l’écrivain anticatholique, Avro Manhattan, lança sous
forme de livre une menace publique contre le pape dans
laquelle il annonça hardiment: «L’Église catholique intervient
dans les affaires des instances politiques avec
la même énergie, la même audace, la même ruse et la même
détermination qu’elle l’a fait pendant l’entre-deux-guerres.
... Les bombes atomiques, qui ont balayé en
quelques secondes Hiroshima et Nagasaki de la surface
de la terre et ont mis le Japon à genoux, devraient
constituer un avertissement pour toutes les forces qui
s’occupent de l’avenir de l’humanité et les méthodes
des principes non négociables des époques passées sont
dépassés pour toujours. À moins d’ouvrir de nouveaux
horizons, de concevoir de nouvelles méthodes et d’encourager
un nouvel esprit, les systèmes économiques, les
doctrines sociales et les régimes politiques, ainsi que les
institutions religieuses, feront inévitablement précipiter
sur eux-mêmes et sur toute l’humanité l’anéantissement
final total ... L’Église catholique ne ferait pas exception
à la règle et, comme toutes les autres institutions
du monde, elle devrait prêter attention à cet avertissement
et, pour rester en phase avec l’esprit du XXe
siècle, ELLE DEVRAIT S’EFFORCER DE SUIVRE
UN NOUVEAU PARCOURS».



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Message par InHocSignoVinces »

Alice B. Bailey, l’ancienne grande prêtresse de ce qu’on
appelle aujourd’hui le “New Age”, en 1957, un an avant la
mort du pape Pie XII, décrivit, en termes clairs, comment
les puissances mondiales tentèrent de terroriser secrètement
l’Église avec leurs armes nucléaires. Cela a ouvert
la voie à une “ONU des religions du monde”, en
tant qu’ingrédient nécessaire du “Nouveau Gouvernement
Mondial” et à la création d’une seule culture et
d’une seule humanité mondiale.



Alice Bailey fonda l’organisation internationale maçonnique-
satanique: “Lucifer Trust” (= la cour de Lucifer),
plus prudemment appelée “Lucis Trust”, qui dirige
l’ONU. Bailey écrit à propos de sa “nouvelle religion”:
«Le Christ ressuscité et non le Christ crucifié sera la
note distinctive de la nouvelle religion ...».



«... Et une nouvelle église de Dieu, issue de toutes les religions
et de tous les groupes spirituels, mettra fin aux
grandes hérésies de la séparation».
Mais pour y parvenir,
Bailey a exigé «de rejeter catégoriquement les
dogmes en tant que ferments de discorde et de guerre,
c’est-à-dire tous les énoncés par lesquels on forme de prétendues
vérités».



Par ailleurs, les programmes de l’ONU et du gouvernement
mondial qui concernent l’homme et son destin nous
sont décrits avec une sincérité sans merci par le célèbre
mondialiste et philosophe anglais Bertrand Russell.



En 1902, à l’âge de 18 ans, Russell écrivait à son ami Gilbert
Murray, qui devint plus tard le premier président de
la Société des Nations: «... la seule chose que je sens, qui
mériterait d’être faite, serait de tuer le plus de gens
possible, afin de réduire la conscience mondiale globale».



La solution qu’il propose est celle de la guerre: «La guerre
pourrait devenir si destructive que, pour une fois et
pour n’importe quel taux de croissance démographique,
il n’y aurait aucun danger de surpopulation».



Mais la guerre l’a déçu. En effet, il écrivit plus tard: «La
guerre a jusqu’à présent été décevante à cet égard ... mais
peut-être que la guerre bactériologique sera plus efficace.

Si une peste noire pouvait se déclarer dans le monde
entier, à chaque génération, les survivants pourraient
procréer librement sans trop peupler cette planète»
.


Mais ce qui le fascine le plus, c’est la bombe atomique:
«Il n’est pas du tout improbable que les grandes puissances
militaires du monde connaissent leur destruction
pour leur incapacité à s’abstenir de la guerre».
Et à
ce monde, terrifié par la menace d’un holocauste nucléaire,
Russell propose un remède: changer sa propre matrice
religieuse, morale et culturelle et s’éloigner de toute
considération de vérité et de justice, afin d’accepter un
gouvernement mondial avec sa politique génocidaire.



Le sujet le plus important à utiliser, pour Russell, «c’est la
psychologie des masses (...) les psychologues du futur
devront avoir des classes d’enfants auxquels ils inculqueront
la conviction que la neige est noire !».



Et l’objectif à atteindre, Russell l’explique en ces termes:
«Apprendre à se soumettre à la loi, même lorsqu’elle
est imposée par des étrangers que nous méprisons et
que nous haïssons, et que nous savons être complètement
étrangers à toute considération de justice».



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Message par InHocSignoVinces »

À la lumière des écrits de personnages comme Alice Bailey,
H.G. Wells, A. Manhattan, B. Russell, le calendrier
des “test” des différentes armes nucléaires, pour 1958, revêt
maintenant une importance considérable.
L’incroyable
augmentation du nombre d’explosions de bombes nucléaires
(par les États-Unis et l’URSS) s’est vérifiée précisément
en 1958, plus qu’au cours toute autre année
antécédente.



En fait, on a eu plus d’explosions d’armes nucléaires au
cours des 18 jours compris entre la mort de Pie XII et le
triomphe des forces maçonniques au Conclave qui a
suivi, qu’il n’y en avait eu au cours d’un laps de temps
analogue depuis le premier test nucléaire des États-Unis en
1945.



Les tests nucléaires de l’Union soviétique commencèrent
le 24 septembre 1957 et se poursuivirent sporadiquement
et d’une petite puissance jusqu’au début du mois d’octobre
1958. Du 10 au 25 octobre 1958, exactement la période
pendant laquelle les cardinaux s’isolèrent dans la chapelle
Sixtine pour élire le pape, les essais nucléaires
augmentèrent de façon notable, à la fois en nombre et
en puissance.



Pour ne pas être en reste, les Américains firent leur part
pour maintenir à un niveau élevé la terreur nucléaire
jusqu’à l’élection du nouveau pape. Au cours de la même
période, les États-Unis procédèrent à des tests nucléaires
sans précédent par type et par nombre. Du 28 mai
1957 au 29 octobre 1958, il y en eut 77.



Selon l’ancien consultant du FBI, Paul L. Williams, des
documents “déclassifiés” par les services de renseignement
américains confirment que “Dans le conclave de
1958, (...), au troisième tour de scrutin, Siri – selon des
sources du FBI – obtint les votes nécessaires pour être
élu Pape Grégoire XVII.



La fumée blanche sortit de la cheminée de la Chapelle
pour informer les fidèles qu’ils avaient un nouveau Pape.
Radio Vatican annonça la nouvelle avec joie à 6 heures du
matin. L’annonceur déclara: «La fumée est blanche. Il
n’y a absolument aucun doute. Un Pape a été élu».



«Mais le nouveau pape ne se présenta pas au balcon. Ensuite,
les doutes commencèrent à surgir à savoir si la fumée
avait été blanche ou grise ... Dans la soirée, Radio
Vatican annonça que les résultats étaient restés incertains
...



Mais les annonces faites au monde étaient valides. Au
quatrième tour de scrutin – toujours selon les sources du
FBI – Siri obtint encore les suffrages nécessaires pour
être réélu souverain pontife. Mais les cardinaux français
annulèrent les résultats, affirmant que l’élection de
Siri provoquerait des troubles et le meurtre de plusieurs
évêques importants derrière le rideau de fer. Enfin,
le troisième jour de ballotage, Roncalli reçut le soutien
nécessaire pour devenir le Pape Jean XXIII».



Le père Paolo Perrotta, dans son récit “mainstream” sur
l’élection de Jean XXIII, révèle qu’il est conscient que le
Conclave de 1958 aurait pu être la cible d’un attentat
nucléaire et il écrit: «Si tous les cardinaux avaient été
tués, comme c’est possible aujourd’hui avec une bombe
atomique, le droit d’élire les évêques de Rome reviendrait
au corps qui l’a possédé à l’origine et dont les
cardinaux sont les représentants, à savoir le clergé de
la Ville éternelle».



Dans son essai de 1972, “L’élection du pontife romain”,
Giuseppe Siri écrivait: «Aujourd’hui, certaines superpuissances
ont un trop grand intérêt à posséder, en leur
faveur, la plus haute autorité morale au monde. Et elles
feraient tout ce qui est en leur pouvoir pour atteindre
cet objectif. Les pressions pour renverser la substance
de la loi du Conclave seraient motivées par le désir
d’obtenir précisément ce résultat».



Dans une déclaration au journaliste français Louis Hubert
Remy
en 1985, le Card. Giuseppe Siri déclara: «Ce secret
(du conclave) est horrible. (...) Des choses très graves se
sont passées. Mais je ne peux rien dire».



A SUIVRE...
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InHocSignoVinces
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Re: LE SECRET DIABOLIQUE DE LA MESSE DE PAUL VI - Dr. Franco Adessa (collaborateur du Père Luigi Villa)

Message par InHocSignoVinces »

Le 28 octobre 1958, le franc-maçon Angelo Roncalli, décrit
par Avro Manhattan comme le “candidat du Kremlin”,
apparut soudainement au balcon papal et sur la scène
mondiale comme le “Pape” Jean XXIII.
En réalité, sur la
scène mondiale apparut l’anti-pape Jean XXIII.



C’était la première fois, depuis 1378, que les cardinaux
trompaient les gens à l’extérieur du conclave quant à
l’identité du prélat élu pape, avec pour conséquence involontaire
de provoquer le Grand schisme d’Occident qui
dura des décennies et créa une série d’antipapes.



Une fois le Card. Giuseppe Siri remplacé par le Card.
Angelo Roncalli sur la chaire de Pierre, et après que les
structures du Vatican aient été totalement placées sous
le talon des puissances mondiales maçonniques,
en l’espace
de 48 heures seulement,
les États-Unis et l’Union
soviétique annoncèrent simultanément la suspension de
leurs programmes respectifs de tests nucléaires.
La
connexion des deux événements en dit long si on la voit
dans le contexte de ce qui s’est passé dans l’Église immédiatement
après le conclave de 1958.



Le pontificat de l’anti-pape Jean XXIII n’était qu’un
pontificat de “transition”, qui servait exclusivement à élever

Mgr. Montini au cardinalat pour l’imposer comme successeur.


Le franc-maçon Jean XXIII était un simple pion et un
exécutant des indications que Montini, de par sa position
d’archevêque de Milan, lui avait transmises par l’intermédiaire
de son homme de confiance,
Mgr. Loris Capovilla.
Mais Jean XXIII était aussi l’exécuteur des “ordres” ou
des “suggestions” provenant des sommets de certaines
puissantes loges maçonniques.



Dans le livre “The eclipsed Church” de Louis-Hubert
Remy, l’auteur se rend à New York pour interviewer le père
jésuite Malachi Martin. A la question: «Jean XXIII
était-il un franc-maçon ?»,
le jésuite répondit: «Sur l’appartenance
de Jean XXIII à la franc-maçonnerie,
toutes les preuves sont dans les archives du Vatican,
conservées jalousement par le cardinal Angelo Sodano».



A une autre question, faite en septembre 1996: «Jean
XXIII était-il un initié ? Certains documents l’appellent
“frère”. Qu’en pensez-vous?».
Malachi Martin a répondu:
«Oui, il a été initié par Vincent Auriol».


A SUIVRE...

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