par Abbé Zins » mar. 28 févr. 2023 10:55
Dès lors, la demande publique à faire à Dieu est davantage celle-ci, faite à la fin d’un de mes sermons (21 octobre 1990) et publiée dans le n̊ 24 de ma revue (janvier 1991, p. 37, 39) :
« Après avoir reconnu avec le Prophète (Daniel 3,26s) que la cause de nos malheurs sont nos péchés, que nous avons péché, il nous faut, "compuncti corde", le coeur contrit, nous demander : « Quid faciemus ? » (Act. 2,37), que devons-nous donc faire à présent, qu’est-ce que Dieu attend de nous maintenant ?
Pourquoi a-t-Il montré Son Sacré-Coeur, pourquoi a-t-Il montré le Coeur Immaculé de Marie ? Pour nous faire comprendre que nous ne devons pas attendre la solution de moyens humains et naturels, mais que nous devons nous tourner vers Dieu et réclamer un secours surnaturel, l’intervention directe de Dieu.
Voilà donc la leçon qu’il nous faut garder de tous ces événements : demander l’intervention divine !
Et la demander par qui et comment ?
La demander par le Coeur Immaculé de Marie, et par le Sacré-Coeur de Notre Seigneur Jésus-Christ, tout particulièrement en récitant le Saint Rosaire, tant recommandé et réclamé par Notre Dame. Voilà ce que nous devons faire.
Dieu S’est en effet réservé la solution de cette situation humainement désespérée. (....)
Ce que nous savons, c’est que Dieu seul, par le Coeur Immaculé de Marie et le Sacré-Coeur de Jésus, peut nous donner le salut.
Aussi, publiquement, devant vous, devant surtout la Cour Céleste, à la face du monde, devant ceux qui voudront bien nous écouter, je témoigne, de toute mon intelligence et de tout mon coeur, que nous ne pouvons plus rien humainement.
Que Dieu seul peut nous venir en secours.
Ce que, par le Coeur Immaculé de Marie et le Sacré-Coeur de Jésus, j’implore - et vous invite à témoigner et implorer avec moi - la Très Sainte Trinité, en Lui disant comme les Patriarches et les Prophètes de l’Ancien Testament (Gen. 49,10) :
« Mitte, Domine, auxilium quod mittendum est » ; « daignez, Seigneur, envoyer le secours que Vous avez décrété d’envoyer », quel qu'il soit !
Et cela, pour la gloire de Votre Saint Nom, selon la multitude de Vos miséricordes, au Nom du Coeur Immaculé de Marie et du Sacré-Coeur de Votre Divin Fils Jésus. Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.»
[i][/i]
Dès lors, la demande publique à faire à Dieu est davantage celle-ci, faite à la fin d’un de mes sermons (21 octobre 1990) et publiée dans le n̊ 24 de ma revue (janvier 1991, p. 37, 39) :
[quote]
« Après avoir reconnu avec le Prophète (Daniel 3,26s) que la cause de nos malheurs sont nos péchés, que nous avons péché, il nous faut, "compuncti corde", le coeur contrit, nous demander : [i]« Quid faciemus ? »[/i] (Act. 2,37), que devons-nous donc faire à présent, qu’est-ce que Dieu attend de nous maintenant ?
Pourquoi a-t-Il montré Son Sacré-Coeur, pourquoi a-t-Il montré le Coeur Immaculé de Marie ? Pour nous faire comprendre que nous ne devons pas attendre la solution de moyens humains et naturels, mais que nous devons nous tourner vers Dieu et réclamer un secours surnaturel, l’intervention directe de Dieu.
Voilà donc la leçon qu’il nous faut garder de tous ces événements : demander l’intervention divine !
Et la demander par qui et comment ?
La demander par le Coeur Immaculé de Marie, et par le Sacré-Coeur de Notre Seigneur Jésus-Christ, tout particulièrement en récitant le Saint Rosaire, tant recommandé et réclamé par Notre Dame. Voilà ce que nous devons faire.
Dieu S’est en effet réservé la solution de cette situation humainement désespérée. (....)
Ce que nous savons, c’est que Dieu seul, par le Coeur Immaculé de Marie et le Sacré-Coeur de Jésus, peut nous donner le salut.
Aussi, publiquement, devant vous, devant surtout la Cour Céleste, à la face du monde, devant ceux qui voudront bien nous écouter, je témoigne, de toute mon intelligence et de tout mon coeur, que nous ne pouvons plus rien humainement.
Que Dieu seul peut nous venir en secours.
Ce que, par le Coeur Immaculé de Marie et le Sacré-Coeur de Jésus, j’implore - et vous invite à témoigner et implorer avec moi - la Très Sainte Trinité, en Lui disant comme les Patriarches et les Prophètes de l’Ancien Testament (Gen. 49,10) :
[i]« Mitte, Domine, auxilium quod mittendum est »[/i] ; [i]« daignez, Seigneur, envoyer le secours que Vous avez décrété d’envoyer »[/i], quel qu'il soit !
Et cela, pour la gloire de Votre Saint Nom, selon la multitude de Vos miséricordes, au Nom du Coeur Immaculé de Marie et du Sacré-Coeur de Votre Divin Fils Jésus. Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.»
[/quote]