Accéder au contenu
par JCL » jeu. 14 juin 2018 23:36
par chartreux » lun. 11 juin 2018 11:37
JCL a écrit : ↑jeu. 07 juin 2018 16:45 "pseudo Eglise" mais apparaissant tel que la vraie aux yeux du monde entier et de la quasi totalité du peuple catholique, etc etc ...une telle chose ,une telle situation, un tel cas ,je pense n'a jamais été traité ni tranché directement ,complètement, explicitement, ni quand à la conduite à tenir en pareil éventualité
JCL a écrit : ↑jeu. 07 juin 2018 16:45 des Principes et des Parole divines qui je pense ont une implication plus générale, telles que le Sabbat a été fait pour l'homme et non l'homme pour le Sabbat, faisant que le roi David a pu simplement pour survivre en fuite manger des pains de proposition ,sauf erreur, normalement strictement réservé aux prêtres pour le culte
par Si vis pacem » jeu. 07 juin 2018 23:23
JCL a écrit : ↑jeu. 07 juin 2018 9:25 Je n'ai pas beaucoup de temps libre, je reprends plus sérieusement quand je peux.
Si vis pacem a écrit : ↑mar. 05 juin 2018 23:37 Avoir SA messe et SES sacrements selon de tels critères : Sacre valide (tout comme, par exemple, les orthodoxes sur lesquels l'Église s'est prononcée) ;Évêques conciliaires, désobéissant à une autorité qu'ils reconnaissent par ailleurs (aucun doute sur leur catholicité n'est-ce pas ???) ;ou Évêques douteux (entre la peste et le choléra …)ne vous interpelle-t'il pas ? :
par JCL » jeu. 07 juin 2018 16:45
par chartreux » jeu. 07 juin 2018 13:34
JCL a écrit : ↑jeu. 07 juin 2018 9:25 De même que l’Écriture seule ne suffit pas les textes du magistère passé seules, du moins en certaines questions et parties peuvent être interpréter différemment selon les uns et les autres
JCL a écrit : ↑jeu. 07 juin 2018 9:25 c'est que ce n'est pas forcement du libéralisme d'interpréter différemment le magistère
JCL a écrit : ↑jeu. 07 juin 2018 9:25 d'une chapelle l’autre on trouve des personnes apparemment compétentes qui ont toutes ,plus les unes que les autres d'arguments tirés du magistère ou d'auteurs de référence illustre ou de docteurs reconnu orthodoxe, en faveur de leur propre point de vue. Et tout cela prend des pages et des pages et demanderait des heures et des heures d'étude, qui,je pense, sont hors de portée du commun des mortels
par JCL » jeu. 07 juin 2018 9:25
par Si vis pacem » mar. 05 juin 2018 23:37
JCL a écrit : ↑lun. 21 mai 2018 22:46 Vous dite que "si justement" c'est du libéralisme , cela m'intéresse ,vous considérez que tout ceux qui ont recours à des sacres valides mais de part le biais d' Évêques conciliaires désobéissant à une autorité qu'ils reconnaissent par ailleurs, ou d' Évêques douteux , pour avoir la messe et les sacrements sont , au fond, des libéraux ?
Si vis pacem a écrit : ↑jeu. 31 mai 2018 21:56 Don Sarda y Salvany – Le libéralisme est un péché. Paris, 1915, pp. 24-25 a écrit : Si l'on considère l'intime essence du libéralisme dit catholique, ou, pour parler plus vulgairement, du catholicisme libéral, on voit que, selon toute probabilité, elle est due uniquement à une fausse interprétation de l'acte de foi. Les catholiques libéraux, si l'on en juge par leurs explications, font résider tout le motif de leur foi, non dans l'autorité de Dieu infiniment vrai et infaillible qui a daigné nous révéler le seul chemin qui peut nous conduire à la béatitude surnaturelle : mais dans la libre appréciation du jugement individuel, estimant telle croyance meilleure que toute autre. Ils ne veulent pas reconnaître le magistère de l’Église comme le seul qui soit autorisé par Dieu à proposer aux fidèles la doctrine révélée et à en déterminer le véritable sens. Bien au contraire, se faisant juges de la doctrine, ils en admettent ce qui leur paraît bon, et se réservent le droit de croire le contraire, toutes les fois que d'apparentes raisons leur sembleront démontrer comme faux aujourd'hui ce qui leur était paru vrai hier. Pour réfuter cette prétention il suffit de connaître la doctrine fondamentale de fide exposée sur cette matière par le saint concile du Vatican.
Don Sarda y Salvany – Le libéralisme est un péché. Paris, 1915, pp. 24-25 a écrit : Si l'on considère l'intime essence du libéralisme dit catholique, ou, pour parler plus vulgairement, du catholicisme libéral, on voit que, selon toute probabilité, elle est due uniquement à une fausse interprétation de l'acte de foi. Les catholiques libéraux, si l'on en juge par leurs explications, font résider tout le motif de leur foi, non dans l'autorité de Dieu infiniment vrai et infaillible qui a daigné nous révéler le seul chemin qui peut nous conduire à la béatitude surnaturelle : mais dans la libre appréciation du jugement individuel, estimant telle croyance meilleure que toute autre. Ils ne veulent pas reconnaître le magistère de l’Église comme le seul qui soit autorisé par Dieu à proposer aux fidèles la doctrine révélée et à en déterminer le véritable sens. Bien au contraire, se faisant juges de la doctrine, ils en admettent ce qui leur paraît bon, et se réservent le droit de croire le contraire, toutes les fois que d'apparentes raisons leur sembleront démontrer comme faux aujourd'hui ce qui leur était paru vrai hier. Pour réfuter cette prétention il suffit de connaître la doctrine fondamentale de fide exposée sur cette matière par le saint concile du Vatican.
par Si vis pacem » jeu. 31 mai 2018 21:56
JCL a écrit : ↑sam. 19 mai 2018 11:03 PS A propos de : Si vis pacem a écrit : ↑jeu. 01 mars 2018 19:38 JCL a écrit : ↑mar. 20 févr. 2018 21:26 Il me semble qu'il y a du vrai dans toutes [c]es positions ... Votre proposition est tout ce qu'il y a de plus libérale … Je pense que la situation exceptionnelle actuelle, à l'intérieur et à l'extérieur de l’Église, la complexité théologique des questions en suspens non "tranchable" par une autorité en exercice, les discussions contradictions et désaccords forts des spécialistes et des divers chefs de "chapelles" se réclamant tous de l'enseignement traditionnel et orthodoxe de l’Église de toujours justifie, il me semble, une sorte de tolérance et indulgence qui n'est pas assimilable à du libéralisme.
Si vis pacem a écrit : ↑jeu. 01 mars 2018 19:38 JCL a écrit : ↑mar. 20 févr. 2018 21:26 Il me semble qu'il y a du vrai dans toutes [c]es positions ... Votre proposition est tout ce qu'il y a de plus libérale …
JCL a écrit : ↑mar. 20 févr. 2018 21:26 Il me semble qu'il y a du vrai dans toutes [c]es positions ...
Mgr Pie – Œuvres sacerdotales. Paris, 1891. Tome 01, pp. 358-360 a écrit : Il est de l’essence de toute vérité de ne pas tolérer le principe contradictoire. L’affirmation d’une chose exclut la négation de cette même chose, comme la lumière exclut les ténèbres. Là où rien n’est certain, où rien n’est défini, les sentiments peuvent être partagés, les opinions peuvent varier. Je comprends et je demande la liberté dans les choses douteuses : In dubiis libertas. Mais dès que la vérité se présente avec les caractères certains qui la distinguent, par cela même qu’elle est vérité, elle est positive, elle est nécessaire, et, par conséquent, elle est une et intolérante : In necessariis unitas. Condamner la vérité à la tolérance, c’est la forcer au suicide. L’affirmation se tue, si elle doute d’elle-même ; et elle doute d’elle-même, si elle laisse indifféremment la négation se poser à côté d’elle. Pour la vérité, l’intolérance c’est le soin de la conservation, c’est l’exercice légitime du droit de propriété. Quand on possède, il faut défendre, sous peine d’être bientôt entièrement dépouillé. Aussi, mes Frères, par la nécessité même des choses, l’intolérance est partout, parce que partout il y a bien et mal, vrai et faux, ordre et désordre ; partout le vrai ne supporte pas le faux, le bien exclut le mal, l’ordre combat le désordre. Quoi de plus intolérant, par exemple, que cette proposition: 2 et 2 font 4 ? Si vous venez me dire que 2 et 2 font 3, ou que 2 et 2 font 5, je vous réponds que 2 et 2 font 4. Et si vous me dites que vous ne contestez point ma façon de compter, mais que vous gardez la vôtre, et que vous me priez d’être aussi indulgent envers vous que vous l’êtes envers moi ; tout en demeurant convaincu que j’ai raison et que vous avez tort, à la rigueur je me tairai peut-être, parce qu’après tout il m’importe assez peu qu’il y ait sur la terre un homme pour lequel 2 et 2 font 3 ou 5. Sur un certain nombre de questions, où la vérité serait moins absolue, où les conséquences seraient moins graves, je pourrai jusqu’à un certain point composer avec vous. Je serai conciliant, si vous me parlez de littérature, de politique, d’art, de sciences agréables, parce qu’en toutes ces choses il n’y a pas un type unique et déterminé. Là le beau et le vrai sont, plus ou moins, des conventions ; et, au surplus, l’hérésie en cette matière n’encourt d’autres anathèmes que ceux du sens commun et du bon goût. Mais s’il s’agit de la vérité religieuse, enseignée ou révélée par Dieu lui-même ; s’il y va de votre avenir éternel et du salut de mon âme, dès lors plus de transaction possible. Vous me trouverez inébranlable, et je devrai l’être. C’est la condition de toute vérité d’être intolérante ; mais la vérité religieuse étant la plus absolue et la plus importante de toutes les vérités, est par conséquent aussi la plus intolérante et la plus exclusive.
Don Sarda y Salvany – Le libéralisme est un péché. Paris, 1915, pp. 31-32 a écrit : Le libéralisme est le triste crépuscule de la vérité qui commence à s'obscurcir dans l'intelligence, ou de l'hérésie qui n'en a pas encore pris entièrement possession. Nous remarquons en effet que, d'ordinaire, sont catholiques libéraux les catholiques qui cessent peu à peu d'être de fermes catholiques, et les libéraux purs qui, en partie désabusés de leurs erreurs, n'ont pas encore pleinement pénétré dans le domaine de l'intégrale vérité. C'est en outre le moyen subtil et très ingénieux que le diable met toujours en œuvre pour retenir à son service un grand nombre de gens qui, sans cela, auraient détesté véritablement, s'ils l'avaient bien connue, son infernale machination. Ce moyen satanique consiste à permettre à ceux dont nous parlons de tenir un pied sur le terrain de la vérité, à condition que l'autre sera complètement dans le camp opposé. C'est ainsi que ceux dont la conscience n'est pas encore endurcie évitent les salutaires horreurs du remords ; ainsi que les esprits pusillanimes et les vacillants, qui sont le plus grand nombre, évitent de se compromettre en se prononçant carrément ; ainsi que les habiles parviennent à figurer, quand il leur convient, pendant quelques instants dans chaque camp, s'arrangeant pour se montrer en amis et affiliés dans chacun d'eux. C'est ainsi qu'enfin l'homme peut appliquer un palliatif officiel et reconnu à la majeure partie de ses misères, de ses faiblesses et de ses inconséquences.
par chartreux » mer. 23 mai 2018 12:19
JCL a écrit : ↑mar. 22 mai 2018 13:40 Ça me paraissait suffisamment évident pour ne pas avoir plus à préciser, c'est tout.
JCL a écrit : ↑mar. 22 mai 2018 13:40 Je vous assure je ne suis pas un espèce "d'agent" de quoi ou qui que ce soit, je viens parler ici de ce qui me préoccupe dans l'espoir d'y trouver des éclaircissements et solutions à des troubles et problèmes qui se posent à moi de façon très concrète et pénibles
par JCL » mar. 22 mai 2018 13:40
Haut